Expérience partagée par nombre de parents d’EIP face à l’école…
Au hasard de mes lectures sur le net, voilà un témoignage qui m'a interpellée ce matin : "Le rendez vous avec l'école" 
Ou la réaction affligeante de l'équipe enseignante (directeur d'école + instituteur) face à des parents d'une petite fille à haut potentiel intellectuel, répondant à un très joli prénom (masqué, tout comme le lien vers son blog qui figurait ce matin en bas de page, à la demande de la maman). Réaction que connaissent bon nombre de parents d'enfants intellectuellement précoces lorsqu'ils vont solliciter l'aide de l'école.
Je le précise d'emblée à ceux qui opposeraient qu'il s'agit d'un cas particulier parmi tant d'autres où le dialogue est alors possible, où des solutions sont trouvées. Non, ce drôle d'échange stérile n'est pas une exception !!! 
C'est la triste réalité d'une majorité de familles dans cette situation, & chaque semaine, je reçois des 10aines d'emails de détresse me contant la même chose, la même déception des parents lorsqu'ils réalisent dans quelle impasse se trouve leur jeune zèbre.
Tout y est (malheureusement ! 
) : la méconnaissance des enfants surdoués, le rejet de toute chose mise en place pour elle (pour "ce genre d'enfants"...), le refus catégorique du saut de classe arguant de son "immaturité", le maître outré par le fait que l'on puisse attaquer sa manière de travailler (c'est le sentiment qu'il a : une remise en question de son travail, sans réfléchir plus loin que le bout de son nez), l'opposition à tous types de renseignements &/ou de prise de contact avec des associations de parents d'enfants HQI telles que l'AFEP, etc. 
Bref... voici le billet en question :
Nous avons eu rendez vous lundi 30 janvier avec la directrice et le maitre, la directrice n'a pas informé la psychologue scolaire comme je lui avais demandé plusieurs fois...
Par contre j'ai réussi à avoir la médecin scolaire au téléphone juste avant le rdv, elle va réunir une équipe pédagogique et faire tout son possible pour aider notre fille...En résumé pour le rendez vous:
Le maître a dit au début qu’il ne nous avait jamais dit de faire tester notre fille!!!!!!!!! pour 1h après nous dire “oui je vous ai dit ça, je me suis mal exprimé je m’en excuse”…de quoi devenir fous!!! nous sommes tout de même 2 à avoir bien entendu! (je pense que soit il a menti à la directrice…soit c’est la directrice qui lui a dit de dire celà).
QUE:
la précocité n'est pas le soucis de son mal être scolaire
son mal être ne vient pas de l'école (pourtant pendant les vacances au bout de 4 jours elle redevient notre zozo!)
La lettre de la psychologue ne veut rien dire, elle ne peut écrire qu'elle s'ennuie en classe car elle n'est pas elle même dans la classe...ils contestent les résultats! nous disent que nous avons trop stimulé notre fille! je leur ai expliqué que celà faisait 2 ans que notre fille demandait à apprendre à lire et déchiffrait d’elle même tout ce qu’elle trouvait! (je regrette vraiment de ne pas avoir voulu lui apprendre! car vu la méthode globale qu’ils font….ça aurait posé moins de soucis maintenant!)
la précocité ne pose pas de problèmes aux enfants au contraire...
ils ne peuvent pas s'occuper de chaque enfant individuellement...
l'idée d'un pper ou d’un pai (projet d’accueil individualisé) de ma part, ne peut pas exister pour ce "genre" d'enfant...impossible à faire!
changer un peu la façon de faire du maitre: "tant qu'elle ne finira pas son travail et ne le fera pas correctement, pas d'autres travaux!"
en émettant l'idée d'y mettre un peu plus d'affectif car le maitre crie tout le temps: "ce ne sera pas lui rendre service, dans la vie tout le monde n'est pas gentil"...
c'est à elle de faire des efforts pour s'adapter à l'école...
puis le maitre s’est mis à s’énerver et à parler très fort, en colère! en disant que nous remettions sa pédagogie en cause…(heu??? pourquoi il s’énerve là??? aurait on touché la corde sensible???)
pour le saut de classe:
elle est petite de taille donc pas mature! je leur ai dit que donc elle devait plutôt être en moyenne section vu qu'elle a la taille d'une enfant de 4, 5 ans!!et moi je devrais encore être au cm1 avec mes 1,50m en plaisantant biensur...
elle n'arrivera pas à suivre...
elle bouge trop quand elle restera sur sa chaise sans bouger, on verra...(ça c’est une des particularités d’un enfant à haut potentiel intellectuel, ils doivent bouger, faire plusieurs choses en même temps sinon leur cerveau ne fonctionne pas bien…)
je leur ai dit qu'il existe des circulaires de l'éducation nationale...des formations qui existent...réponse " non, on n'a pas de formations!"
je leur ai proposé que l'afep les contacte pour les renseigner sur les enfants précoces: "non! nous n'avons pas de temps pour ça! nous avons deja pas mal de matières, français, math, géo, histoire, on ne peut pas en plus se former sur les caractéristiques des enfants!"
et j'en passe...
le maitre n'avait pas remarqué que ma fille tenait son stylo avec le poignet complètement plié etc...il dit lui même que les exercices sont répétitifs et rébarbatifs même idiots! mais que c'est ça l'école, que notre fille doit s'y faire...
Ils ont eu un discours complètement contradictoire: au début OUI XXX a des problèmes d’apprentissages…puis 1h après NON tout va bien!
le mot final étant tout de même " mais ça va aller! elle est dans une belle école! les classes sont neuves et lumineuses!!!!!"
Là mes bras en sont tombés! j'aurai tant préféré que ma fille soit une petite école vieille et sombre avec des instituteurs lumineux et avec un peu de soleil dans le coeur!!!
je pense que nous n'arriverons à rien...et je suis moi même en colère devant tant d’ignorance de leur part! et également de discrimination! bref, le tout est que ma fille finisse l'année sans que ça dégénère...je fais tout mon possible pour trouver une autre école!!! il y a une école à Nice qui accepte les enfants précoces...le dossier d’inscription est envoyé…(celà nous demanderait d’être 4 jours sur st laurent du var…une autre vie quoi!) et je viens de recevoir le coup de fil de la directrice de l’école d’un village à coté de chez nous, à qui j’avais envoyé une bouteille à la mer! elle serait prête à prendre XXX l’année prochaine avec un projet d’accueil individualisé et surtout!!! elle m’a dit que TOUS les enfants devaient être aidés et qu’un enfant précoce ne devait surtout pas s’éteindre et qu’il fallait tout faire pour le stimuler…ce message m’a remonté le moral!!!
Donc voilà nous réfléchissons encore en attendant que les inscriptions soient acceptées…en attendant nous comptons le nombre de jours qu’il reste avant les grandes vacances!!!
et demain un article bien plus joyeux!!!! ouf!!!!!!!!!!!!!! mais voilà comme ça vous êtes au courant…j’ai mis du temps à l’écrire cet article…mais cela fait partie aussi de la vie de XXX…nous avons confiance en notre fille!!!! nous savons maintenant ce qu’elle a et allons pouvoir agir en conséquence…au mois de mai, elle aura aussi un bilan d’orthophonie…je ferai un article aussi pour vous expliquer les particularités des enfants à haut potentiel intellectuel…et je viens de lire un article très intéressant sur les 2 “styles d’enfants”: l’enfant à haut potentiel intellectuel, profil complexe (le plus représentatif de notre petit zèbre d’amour!) et du profil laminaire…
vous pouvez aussi avoir pleins d’infos sur: http://www.afep-asso.fr/ et http://www.enfantsprecoces.info/les-signes-caracteristiques-chez-lenfant-precoce/
100 commentaires à “Expérience partagée par nombre de parents d’EIP face à l’école…”
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Bonjour,
J’ai eu la même expérience il y a 3 mois. Tous ces mauvaises langues de la part des gens qu’on doit leur confier nos enfants, c’est frustant! J’ai passé mes jours et nuits à chercher les informations sur le Net. Je vous comprends.
Après avoir fait le test (par une psycologue privée), on a fait une lettre à l’Inspecteur pour demander le saut de classe. Il a accepter (CP au CE1). Aujourd’hui, mes enfants sont heureux. Je crois vraiment au potentiel des EIP qu’ils sont capables de s’adaptermalgré les dires des maitresses ( qu’ils sont pas matures , ils sont lents, etc..) . Je vous souhaite de bonne chance et de tomber sur la bonne personne ( qui n’était pas notre cas).
Bonjour,
Ce témoignage fend le coeur.
Pour avoir vécu une situation aussi ubuesque et avoir dû déployer des trésors d’obstination stratégique… et avoir maintes fois désespéré en redoutant la déscolarisation, je compatis.
Courage : nous sommes dorénavant dans une (autre !) école ordinaire, publique, et sommes toujours plus positivement surpris du positionnement face aux zébrillons. L’équipe enseignante est disponible, réfléchit et bouge, rapidement, pour s’adapter aux éléments que nous leur apportons et à ce qu’ils constatent.
C’est donc possible, forcément imparfait (heureusement ;-) et ça change la vie.
Quant aux textes : http://www.education.gouv.fr/cid49838/mene0900994c.html
pour le plus récent.
Je suis passée par là en école traditionnelle, mais aujourd’hui mes enfants sont dans une école spécialisée depuis un an et résultat: ils ne sont pas assez bizarres.. Trop équilibrés et du coup pas de dialogue possible… En fait, le dialogue est quelque chose de fragile qui ne s’installe que dans un climat de confiance et de respect mutuels… Non?
Appelle l’inspecteur. La méthode globale c’est révolu, ils se feront syphonner!!
Ouah, j’en ai le souffle coupé!…. Ce que je retiens d’aberrant : »on ne peut pas en plus se former sur les caractéristiques des enfants! » Il me semble qu’il faudrait d’abord et avant tout commencer par là !! C’est la base pour enseigner, connaître son public!! Il ne s’agit pas d’emplir des vases vides ou de formater des machines ! L’affect joue énormément sur le développement cognitif et chaque enfant, quel qu’il soit, a droit au respect de son rythme. J’avoue que je suis sidérée par tant de bêtise et surtout de mauvaise foi
Dans le même registre, une de mes connaissances qui est aussi prof m’a récemment accusée de surstimuler ma fille en lui permettant de surinvestir le développement intellectuel (et pourtant je refusais de lui apprendre à lire malgré ses demandes réitérées ) Je commence vraiment à voir les choses différemment en lisant les différents témoignages, j’y reconnais ma fille mais aussi mes inquiétudes. Il faut faire attention de ne pas tomber dans les pièges de la culpabilisation en cherchant à freiner l’enfant pour qu’il se sente à l’aise dans la norme. Ce qui importe, c’est de lui apprendre à s’aimer tel qu’il est et ne surtout pas l’inciter à craindre sa différence.
Bonsoir,
Qu’il est dur d’entendre de tels commentaires, mais hélas bien réels.
Je suis enseignante et j’ai d’abord travaillé en maternelle en multiâge, puis en cycle 3 en multiâge. Une façon de se mettre à la portée de tous les enfants, les plus rapide comme vos petits zèbres et les plus lents a qui il faut plus de temps. C’est vrai, l’enseignant n’a pas la pensée très flexible et pense qu’apprendre en frontal est plus facile… Il n’aime pas se remettre en question et n’apprécie guère que l’un des leurs puisse travailler autrement… Il pense que parent rime avec intrusion, critique, jugement et ne comprend pas que l’enfant ne peut s’épanouir que lorsque toutes les parties sont réunies et le dialogue ouvert…
Aujourd’hui, je suis enseignante en spécialisé (clis 1) et suis dans le multiâge. Chaque rythme est respecté pour chaque enfant avec sa spécificité. Ils apprennent essentiellement avec des jeux, des histoires. Ils communiquent, échangent, bougent, questionnent, vivent leurs apprentissages et aux dires des parents sont heureux de venir à l’école. Mais pour beaucoup de collègues, je ne fais pas la classe, des enfants qui bougent, qui échangent, qui argumentent, qui jouent… Ce n’est pas normal !
et pourtant…j’admire les enseignants qui fotn des classes multiniveaux.ages/particularités..
il y a tellement d’exemple d’enseignements atypiques qui fonctionennt du tonnere avec des eip, des enfants handicapés divers, (en allemagne l ya eu une classe ainsi, eip et handicapés, et en france donc JF Laurent a fait ça aussi cela Lyon, et ce projet a éét terminé alors que els resulats etaient plus que probants…les enfants ont besoin de nouveauté pour les apprentissages, on est au moyen age pour les eip (et pour tous d ailleurs) aujourd’hui ..quel dommage.
j’ai eu ce type de RV mem si moins appuyé. mais j’ai ressenti aussi le manque d’infios, les ides recues….puis ensuite j’ai apporté des docs et senti que ca genait un peu les insitis…
aujourd’hui docn mon petti père est heureux ds son collège mais bien parce qu’il est ds un super dispo pour eip (ds une classe normale mais bien accompagné).sinon, ça ne lui convenait pas du totu, jamais avant en primaire il ‘n a pu apprendre ds de bonnes conditions. il avait aussi un AVS mi tps, et oui on peut etre eip et avoir un accompagneemnt mdph, car le système n’est pas adapté…(e mien avait un trouble anxio depressif et agitation , rejet total de l’ecole.., donc..)
aujourd’hui j’ecoute bien des parcours comme ceux ci dessus et je rassure les parents (ou pas) mais en totu cas ca fait mal car c’est comme ça souvent et bcp encore….bcp trop!!
qu’on soit mal informé je concois, mais borné…soupir…
Isabelle,
je suis heureuse de voir que certain instituteur essai de comprendre et de trouvé des solution. Bravo! Malgré les critiques de vos collègues, que j’imagine ne doivent pas être évidente a supporter tout les jours, je vous encourage a persévérer car des profs comme vous font partie de l’avenir d’enfants comme les nôtres…Merci.
les dernières notes de Wilfried sont parlantes: 4,5 ; 6; 8; . désintérêt total pour ce qu’il fait , les notes plongent . On a beaucoup discuté pour le remotiver et quand je pense qu’il va falloir tenir jusqu’à juin , j’en suis malade d’avance et en plus affronter tous les profs du collège et leurs réflexions bien vaseuses . Là c’est les vacances et Wilfried s’épanouit jusqu’au 26 au soir. Après on repart en galère . J’espère que cette maman trouvera une solution satisfaisante . bon courage à elle
Les instits ne sont pas formés aux difficultés que peut vivre en enfant surdoué. Par contre, nous faire des heures et des heures pour dire ce qu’on peut déjà lire nous-mêmes dans les documents officiels, ça oui… L’innovation ne fait guère partie du quotidien de la formation des enseignants. Elle n’existe que dans les médias, et encore, quand elle y est.
Il y a un retard immense sur les sujets des échecs à l’école, et en pédagogie, comme le souligne Isabelle plus haut. On a encore des redoublements demandés sans suivi spécialisé concret à l’extérieur, sans accompagnement véritable des familles pour les aider à identifier ce qui peut causer l’échec à l’école, et pour l’accepter. Sans compter les méthodes inintéressantes qui datent de la Préhistoire, tous assis, tous en collectivité passive du matin au soir pour les enfants dont les deux parents travaillent. La chanson de Souchon est parlante à cet égard.
Bonjour,
Comme je vous comprend bien…Le mien a actuellement treize ans et chaque année cela recommence. Toujours les mêmes discours, il n’a qu’a s’adapter, ce n’est pas à l’école de s’adapter a lui, pas possible de sauter une classe tant qu’il ne prouvera pas de manière scolaire son haut potentiel. Cette année « on ne se balance pas » fait partie des premières règles de la classe, tant qu’il n’aura pas réussi cela il ne passera pas a autre chose! Il a des troubles associés, comme beaucoup d’entre eux,dont une hyper angoisse, et les écoles considère que tant qu’il ne se tiendra pas complètement a carreau, bien assis sur sa chaise, droit comme un i, etc etc…il restera un enfant mal élevé avec des parents bien trop tolérant… Que faire à part tourner en rond et recommencer chaque année!!
Je vous souhaite quand même bon courage, et merci de partager tout ceci avec nous je trouve que cela fait du bien de voir que nous ne sommes pas seul dans cette situation…
Bonjour,
J’ai déjà posté dans un autre endroit sur ce site, une piste pour tenter de résoudre ce type de difficultés avec le monde enseignant : le recours au référent académique EIP, (quand il existe) !! Renseignez-vous auprès de l’Inspection Académique pour savoir si il ou elle existe et faites une demande officielle (courrier) auprès de l’Inspecteur pour qu’il intervienne auprès des enseignants où est scolarisé le zèbre. Le référent est habilité à intervenir dans tous les niveaux, y compris collège, et demandez à élaborer, avec son concours, un PAI. Les enseignants n’auront alors pas d’autre choix que d’adapter leurs cours (bon gré, mal gré) !
Ce qui fait mal au cœur, c’est que depuis que je me suis frottée au problème il y a 16 ans, malgré toutes les informations qui circulent facilement maintenant, toutes les émissions de télé, les articles de journaux même grand public, on en est toujours au même point…
« Notre » parcours scolaire a consisté en de multiples changements de voies : maternelle publique (catastrophique), école Montessori (un peu ruineuse) : notre aîné a pu tranquillement sauter une classe et avancer presque à son rythme, jusqu’au CM2. La deuxième est retournée dans le public pour le CE2, ça a été laborieux et inintéressant, mais elle a su trouver de l’intérêt dans différentes choses extérieures. Puis les deux dans un collège privé en classe bi-lingue (apprentissage de l’anglais + l’allemand dès la 6e), où malgré un bon niveau général de l’ensemble de la classe, l’ennui fut au rendez-vous. Puis notre (bon) lycée de secteur où j’ai lâché prise en les laissant se débrouiller. Heureusement que mon mari a vérifié les maths de notre fille et lui a donné les explications qui lui manquaient pour éviter qu’elle coule.
Ah, j’oubliais quand même l’année de 3e de notre fils en pension dans un collège privé au Mans, qui propose une classe spécialisée EIP, où ont fini par atterrir tous les garçons précoces que nous connaissions…
hélas (ou pas!), l’instit a vu l’article et veut porter plainte pour diffamation si je ne le retire pas!!!! donc voilà je vais privatiser mon blog…je trouve celà tellement dommage que certaines personnes en demande de renseignements aussi bien sur l’adoption que sur les petits zèbres ne puissent plus arriver sur le blog…snifffff…
Comme quoi je sentais bien qu’il trouverait l’article mais en même temps j’ai bonne conscience car c’est la vérité!!!
franchement il ferait mieux de se poser des questions sur la douance! et de se remettre en questions! quelle tristesse!!!! vivement l’année prochaine!
C’est bien triste en effet de devoir « cacher » son blog, mais perso, ça me semble nécessaire pour avoir une liberté de parole totlae
Par « cacher son blog », je veux dire l’anonymer, tt simplement. Or, avec le prénom de l’enfant, il n’est pas anonyme, il peut même (trop) aisément se retrouver, d’autant plus qd le prénom est rare &/ou particulier
« franchement il ferait mieux de se poser des questions sur la douance! et de se remettre en questions! »
Je partage pleinement cet avis, mais sa réaction indique bien son état d’esprit, diamétralement opposé à une remise en question 
Oui !!!
Liberté, Egalité, Fraternité, le mamouth a oublié la signification de ces simples mots. Oui, nos enfants souffrent, cher monsieur l’enseignant qui s’estime diffamé. Oui, le risque de les voir se détruire ou se faire détruire est grand! Je rencontre les mêmes problèmes depuis 3 ans pour mon fils qui adorait l’école, qui adorait apprendre, qui adorait la vie. Aujourd’hui il me dit ne plus avoir confiance dans les adultes, s’invente maux de tête ou de ventre pour éviter l’école, explique à sa maitresse que ce qu’il aime c’est quand c’est difficile et n’aime pas rabacher. Et elle me regarde avec ses yeux de merlan frit très étonnée en me disant « je ne comprends pas mais je n’ai pas besoin de formation, je suis formée, je suis allée sur Internet! Eh oui, cher monsieur ces enfants là vous remettent à tout instant en question mais les questions c’est justement ce qui les fait avancer. A bon entendeur.
Aux parents, bon courage!
Pas très encourageant tout ça, aberrant même. Nous demain on doit aller voir l’école pour notre zébrinette de 6 ans qui est en cp… Mais à bien y réfléchir, ce n’est pas la première fois que l’on va aller « défier » l’école pour elle, pour son bien être. Il y a 2 ans, après une année en petite section, l’école maternelle a mis Zébrinette dans une classe double en petits -moyens… Nous, un peu, surprises, sommes allées voir la directrice pour lui faire part de notre étonnement, d’autant qu’il existait cette année-là une classe double moyens-grands que l’on pensait plus appropriée pour elle. La réponse qu’on nous a faite, c’est que l’équipe pédagogique avait pris le parti de mettre les enfants les plus autonomes et qui comprenaient vite ce qu’on leur expliquait dans cette classe !!! Et que l’on devait s’estimer heureuses que Zébrinette en fasse partie !!!! Bref, après plusieurs entrevues, l’école est restée sur ses positions et nous avons baissé pavillon pour que notre louloute passe une année sans plus de dégâts.
L’an dernier, au mois de mai, la maîtresse de grande section nous interpelle à la sortie un soir et nous dit « Que pensez-vous du cp pour Zébrinette l’an prochain???? » Bah disons que l’on fait encore confiance à l’école mais que plusieurs fois dans l’année, on avait essayé de lui tendre des perches à cette enseignante. Bref tout ça pour dire qu’elle allait alerter l’équipe de primaire pour avoir un oeil sur Zébrinette.
Cette année, nous avons nous aussi gardé un oeil sur elle, et on a bien fait. Premier RV avec la maitresse de cp au bout de 2 jours d’école. Elle dit : » j’ai bien vu que votre zébrinette est très performante en lecture et que les notions de mathématiques ne lui posent pas de pb. Je me donne une quinzaine de jours pour voir ce que cela donne ». Nous, plutôt d’accord.
Au bout des 15 jours, re-RV, et là, les lieux communs s’enchaînent, Zébrinette n’est pas assez mûre, elle ne finit pas son travail, elle ne veut pas du travail que je lui donne en plus, elle bavarde beaucoup,…. en somme, votre fille se plait dans sa classe, et arguments finaux, il n’y a pas de place en CE1 et il n’y a pas de saut de classe en cours d’année…. Fin de l’entretien.
Sauf que pour l’instant, je n’ai que mon ressenti pour dire que Zébrinette n’est pas à sa place. Alors, c’est décidé, nous allons prendre RV avec une psychologue spécialisée dans la précocité. Le RV a lieu le vendredi AM, jour de la sortie des classes pour les vacances de la Toussaint. Un mot dans le carnet de correspondance pour prévenir de l’absence. Absence pour laquelle la maitresse demandera à Zébrinette la raison et qui elle de répondre » Je vais voir une dame qui va me faire faire des jeux et des exercices pour voir ce que je suis capable de faire ou pas !! »
Résultat notre ressenti étai bien fondé puisque Zébrinette est THQI.
Alors demain, demande de rv pour mettre en place une équipe pédagogique autours d’elle.
Alors bonne ou mauvaise surprise, affaire à suivre.
Je compatis…..
Mais je croise les doigts et je positve pour que cette réunion pédagogique donne du ++++
J’ai vécu cette horrible sentence moi aussi. Il s’agissait d’un jury composé de tous les enseignants de l’école, même ceux n’ayant jamais eu mon fils, mais ce n’étaient pas les derniers à nous enfoncer (le mot est faible comparé à la réalité), de la psy scolaire (qui n’avait rien compris à mon fils et ne s’est aucunement remise en question) et de l’inspectrice.
On est donc passé au banc des accusassions qui ont même fini par devenir des attaques personnelles non dissimulées (« vous êtes une manipulatrice madame! » de l’inspectrice – quel professionnalisme!).
Et chacun de ces ignorants de donner leur avis sur notre éducation, sur ce qui est bon pour notre enfant et ne prenant pas du tout en compte ses capacités, ou le contexte.
J’étais très très en colère, j’ai failli quitter la pièce si mon mari n’était pas resté impassible. J’ai pris sur moi pour garder les meilleures relations possibles avec l’école pour le bien de notre enfant. Mais, 2 ans plus tard, on garde cette « casserole » .
Je confirme aussi qu’il vaut mieux éviter un bilan avec un psy scolaire, pour 2 raisons : j’ai travaillé avec un psy scolaire en stage pendant mes études : chaque problème d’un enfant est ramené à des difficultés dans les relations précoces mère-enfant, l’école ne peut pas être une source de mal être. De plus, celle qui a vu mon fils était complétement à coté et ne se remet nullement en question.
De plus, à quoi bon avoir eu recours à la psy scolaire à la demande de l’enseignante, si c’est pour n’apporter aucune mesure correctrice?
Bon courage aux parents qui doivent lutter au quotidien pour que l’école reconnaisse les besoins spécifiques de leur enfant à haut potentiel.
Marie
Je vous remercie d’avoir écrit votre témoignage car je me trouve dans une situation identique à la votre.
Mon fils est en moyenne section de maternelle dans notre petit village. Mon fils n »arrêtait pas de se braquer ou de ne plus s’alimenter pour aller à l’école. Il ne trouvait pas de motivation pour y aller.Son comportement à la maison me posait des questions car il posait beaucoup de questions, s’intéressait à beaucoup de choses qui n’étaient pas de son âge et jouer à des jeux de grands. A chaque période de vacances , nous avions des annotations très sévères envers notre fils dans son classeur. Alors qu il n’avait pas de problème à réussir ces exercices à la maison. Restant sur mon questionnement, je suis aller rencontrer la psy scolaire pour avoir des réponses à mes questions concernant peut-être une précocité chez mon enfant. Ces réponses ont été de me dire que je m’occupais trop de lui , que j’étais trop proche de lui et que s’était à cause de moi qu’il avait des difficultés à aller à l’école. Mon fils a passé des tests de précocité. Il n’est pas précoce pour la psy scolaire car il a un QI de 127. Alors qu’il est inscrit dans un e association pour EIP.
Pour finir, mon fils continue à avoir de temps en temps des braquages, un peu d’anorexie et de nous dire qu’il s’ennuie à l’école. Lorsque j’en ai reparlé avec la psy scolaire, toujours le même discours, la faute vient de moi.Alors j’ai laissé tomber les conversations avec elle et son institutrice. Toutes les deux m’ont dit que s’était normal de faire des erreur. lorsque c’est votre premier enfant. Je pense enlever mon fils del’école pour son bien-être psychique et physiologique.
Bonjour,
j’ai un petit zèbre de 8 ans hyperactif (sous Ritaline depuis 15 jours) qui nous a déjà fait deux dépressions avec envies suicidaires.
La maîtresse de CP avait caché sa précocité pour mieux le forcer à rentrer dans son moule.
La maîtresse de CE1 avait alertée dès novembre la directrice et les autres instit qu’il était maltraité par les autres, perturbé, malheureux et qu’il s’ennuyait en classe. Refus collégial.
Sur dénonciation de notre part à l’académie, il passe en mars en CE2 et voit enfin la psychologue scolaire qui n’avait jamais été prévenue malgré nos demandes.
L’instit nous convoquera rapidement avec la directrice pour nous expliquer qu’il devra « rentrer dans le moule », « qu’ils n’ont pas a accueillir des enfants comme lui ».
Mon fils n’aura eu aucun document, aucun enseignement sur les cours manqués en CE1 ou CE2.
J’ai du rattraper seul en 1 mois le 3ème trimestre de CE1 et les 2 premiers de CE2.
Pour le CM1, il a enfin un super enseignant, mais il est toujours persécuté en récré ou à la cantine et rien n’ai fait malgré nos demandes.
Il y a 1 mois, la directrice a sauté sur l’opportunité de le « virer » de la cantine en effectuant un signalement à l’académie et à la mairie, sans alerter qui que ce soit.
J’ai tout raconté à la mairie qui a engagé un accompagnant.
Mon enfant est attente de reconnaissance de handicap pour son hyperactivité qui a explosée, avec des troubles de l’attention. La MDPH a perdu le dossier, on recommence tout.
Il y a 15 jours, deux élèves l’ont ceinturé à la récré et porté des coups au visage, à l’abdomen, au bas ventre, sur la colonne vertébrale et aux reins.
La directrice a été alertée et ne nous a pas informés.
Nous avons découvert des hématomes sur les épines dorsale, la moitié de la ceinture dorsale…
Il a été encore maltraité les 4 jours suivants.
L’académie nous a expliqué que ce type d’évènement était prévisible, les autres enfants étant excédés par le notre, que les auteurs étaient en difficultés mais moins que le notre et que notre défiance envers l’école serait à l’origine de la prochaine régression de notre enfant…
Alors si vous connaissez une école digne de ce nom sur l’est Parisien, merci d’avance, on en peut plus!
Que dire !??? Je suis effarée à la lecture de votre message
Je suis en région lyonnaise, il m’est donc difficile de vous indiquer des établissements sur Paris & IDF, mais j’espère de tout coeur que des lecteurs parisiens pourront vous apporter de l’aide !
Sincèrement,
Alexandra
En tout cas merci de nous permettre à tous de nous exprimer librement.
Cela faut du bien de ne plus se sentir seul.
L’afep nous aide mais n’a pas de solution miracle.
Le « top », cela a été le CMP saisi par le centre hospitalier spécialisé qui au bout de 2 rendez-vous de 1H a déclaré que tous les diagnostiques de précocité, d’hyperactivité, d’intolérance à la frustration étaient faux, que c’était un enfant normal, avec sans doute des parents qui voulaient le modeler selon leurs désirs et un problème familial!
Le 155 au test de QI chez une pro reconnue, les avis de plusieurs psychologues et médecins, les tests de Conners, le placement sous Ritaline, du vent tout ça!
Bonjour beut,je souffre à la lecture de votre histoire .donne nous des nouvelles rassurantes,je l’espère .mon fils a été dit Precoce hier apres tellement de péripétie et d’accusation a mon encontre, mais j’ai bien l’impression que toute mise en place :test ,psy, tout ca c’est du vent comme tu dis .j’aimerais savoir ce qu’est devenue ton garçon depuis 2 ans ?
Bonsoir,
Que dire ? C’est effrayant !
Mais malheureusement pas étonnant. Nous n’avons pas vécu ces choses aussi poussées avec notre propre fils mais les réponses qui vous ont été faites par les personnels enseignants et académiques, me replongent dans de biens mauvais souvenirs.
Nous avons placé notre fils en école privée et les choses se sont arrangées. Il est plus asocial qu’hyperactif mais la relation aux autres a toujours été très compliquée à gérer pour lui (et pour cause !).
Où êtes vous en région parisienne ? Je pourrais vous donner quelques informations en privé si vous le souhaitez. N’hésitez pas à me contacter (si Alexandra peut vous fournir mon mail, je suis d’accord).
Vous pouvez essayer de contacter l’AFEP http://afep-antennes.nuxit.net/index.php?option=com_content&task=view&id=120&Itemid=169 ou AEP95 http://www.aep95.fr/
ou encore prendre contact avec cette école : l’école pour enfants précoces, rue Dombasle à Paris (XV e ), l’un des rares établissements pour petits surdoués de l’Hexagone
Quoiqu’il en soit, ne restez pas seuls face à votre combat, c’est un puits à énergie. Des associations sont là pour vous apporter leur aide, des adresses et une écoute attentive.
Je vous souhaite bon courage.
Cordialement.
Et, même si parfois, l’acte est difficile contre des enfants : dépôt de plainte évidemment. Il faut à tout prix, protéger le vôtre de ces actes de « torture » (le mot est fort mais je me place dans la tête de votre petit garçon de 8 ans, ce doit être terrible à vivre)
Mais non, mais non, je sais bien que ce n’est pas facile mais IL FAUT SE BATTRE et ne pas lâcher. C’est inhumain ce que ce petit zèbre et ses parents vivent mais IL FAUT SE BATTRE ET NON FUIR ! Pour, cet enfant pour qui c ‘est une leçon de vie (on ne fuit pas dans l’adversité mais on affronte) et aussi pour tous les autres, les nôtres. Alerter l’inspecteur académique, porter plainte pour maltraitance de mineur sous responsabilité d’adulte, saisir la Halde pour discrimination, alerter la presse, mais ne surtout pas apprendre à cet enfant à accepter d’être une victime. Ne pas baisser les bras. Courage !
Mais quelle horreur ! Ce qu’on vous a dit est honteux !
Lorsque notre fils s’est un peu fait harceler en classe de 5e, nous avons fini par aller déposer une main courante au commissariat. J’avais pris une photo de l’état de sa cuisse après le coup de compas qui y avait été planté anonymement pendant la récréation, et j’avais fait constater par le médecin de famille l’hématome provoqué par un violent coup de pied reçu pendant une bagarre avec un autre élève. Les policiers ont pris ma plainte au sérieux, mais je n’ai pas eu besoin de m’en servir parce que les choses sont rentrées dans l’ordre (le directeur du collège était compétent).
L’idée c’est de laisser une trace écrite chez la police, pour pouvoir monter d’un cran rapidement si ça recommence. Ce genre de menace vous fait prendre au sérieux par l’école en général. parce que la réponse de l’académie c’est vraiment se moquer du monde. Les adultes responsables mériteraient de voir leur nom cité dans la main courante d’ailleurs.
Je ne sais pas ce qu’elle vaut, mais j’ai vu qu’il existe une école pour EIP à Nogent-sur-Marne : http://www.arborescences.org/
Bon courage.
Et n’hésitez pas à tenter un passage par de l’école à la maison, il y a plein de groupes de soutien sur Facebook.
De la maltraitance pure et simple.
Pour un nom d’école, Living School, sans hésiter!! (en priant que ce soit du bon côté de Paris que je ne connais pas)
Living School, Ecole écocitoyenne privée innovante et bilingue, Paris 19ème.
http://www.livingschool.fr/fr/pages/lieux
Je vous souhaite de trouver une école digne de ce nom
Anna
Bonjour,
J’ai bien du mal à comprendre le comportement de la directrice et de l’académie. c’est vraiment du grand n’importe quoi !! Et ils se disent pédagogues…
Je suis dans l’Oise, et ma fille va à Compiègne en école privée à Guynemer. Si vous êtes dans le 77, peut-être n’est-ce pas très loin ?
je vous souhaite beaucoup de courage et de trouver une école rapidement qui accepte la précocité et l’hyperactivité de votre fils.
Bonjour Cécile,
J’ai rendez-vous ce vendredi 12 juillet avec Madame marais pour essayer de faire intégrer mon ado HP (reconnuseulement depuis fin janvier2013) en classe de redoublement 3ème et en internat au collège Guynemer. Oui, un redoublement, aberration de plus pour laquelle je me bats auprès de l’éducation nationale. J’ai tout tenté, jusqu’aux demandes d’aide auprès d’associations, en vain. A l’AFEP une bénévole du 91( pour ne pas la nommer) a été odieuse, et loin d’être neutre ou bienveillante. Lorsque je lui ai raconté tout notre parcours du combatant depuis 5 mois celle-ci m’a reproché de ne pas avoir fait les choses correctement (en la contactant plus tôt), et m’a dit très clairement que j’avais fais les démarches « à l’envers », qu’elle ne pouvait plus rien pour moi.
Nous découvrons tardivement sa haute potentialité et apprenons à faire face à toutes les réflexions des différents intervenants, jusqu’aux personnes qui optent pour une attitude compassionnelle totalement fausse..
Etes-vous pleinement satisfaite de la prise en charge de votre fille ? Le programme est-il vraiment adapté aux EIP ?
Merci d’avance pour vos conseils,
Bien à vous,
Nathy, maman d’un ado à la limite de la descolarisation.
Cécile dit :
10 janvier 2013 à 08:33
Bonjour,
J’ai bien du mal à comprendre le comportement de la directrice et de l’académie. c’est vraiment du grand n’importe quoi !! Et ils se disent pédagogues…
Je suis dans l’Oise, et ma fille va à Compiègne en école privée à Guynemer. Si vous êtes dans le 77, peut-être n’est-ce pas très loin ?
je vous souhaite beaucoup de courage et de trouver une école rapidement qui accepte la précocité et l’hyperactivité de votre fils.
Répondre
Bonjour,
Je devrais être choquée, mais vu ce que nous avons vécu, en province, je ne suis pas surprise.
Horrifiée en revanche par tout ce cirque parce que les instituts se sont appropriés un pouvoir que eux seuls reconnaissent.
Nous ont se bats en contre pied. En fait, on anticipe toujours quand nos filles ont un changement comme cela ils sont prévenus et doivent se tenir plus.
Mais c’est une situation personnelle.
bon courage car ce n’est pas facile, on se sent seul sur le terrains, mais je vous porte courage par la pensée
Bonjour,
j’ai vécu la même chose avec mon fils il y a quelques années, et je l’ai laissé dans son école car je n’avais pas d’autres solutions, mais j’ai eu l’aide d’une enseignante qui lui a fait sauté une classe, par contre l’arrivée en 6e au collège a été catastrophique, donc je vous conseille de mettre votre enfant dans le Privé le plus tôt possible (je ne suis malheureusement pas de votre Région je ne connais pas vos Etablissements) et encore mieux dans une classe EIP si ça existe chez vous,
ne laissez jamais tomber, accrochez-vous, mon fils est actuellement en 3e et il ne se fait plus frapper, il est reconnu par l’équipe enseignante grâce à la Référente EIP de l’Education Nationale, nous faisons partie de l’AFEP qui nous a bien aidé et soutenu,
je vous souhaite bon courage, je sais ce que c’est je suis passé par là, mais dites-vous que la roue tourne !
voici un lien vers les écoles « différentes »….. il y a certainement un tri à faire mais ça peut vous donner quelques pistes peut-être ?
http://www.demainlecole.org/association/repertoire-geographique-des-equipes-enseignantes-et-des-etablissements-a-pedagogie-differente.html
L’école Vitruve dans le 20e notamment est une école publique.
Bonjour, pour la scolarisation je vous invite à prendre contact avec l’association « arborescence ». Pour le suivi psychologique éventuellement Cogitoz à Paris et Marseilles.
Bon courage. Si j’ai d’autres idées je transmettrai.
Merci, je vais le faire rapidement.
Je suis sans voix.
Quelle violence, quelle souffrance.
Je pense d’une part qu’il est indispensable de mettre votre enfant en sécurité, visiblement il ne l’est pas dans sa propre école (ça me révolte).
Remonter l’information a l’académie ! Ruer dans les brancards !
Cette situation est INACCEPTABLE !!
Je pense a la pédagogie Montessori, mais il en existe d’autres, avez vous déjà songe a le sortir du système «classique» ?
Courage, je me tiens a votre disposition, n’hésitez pas.
Bonjour, traversant également pas mal de difficultés avec notre premier zèbre de 8 ans je ne peux qu’être sensible à votre problème. Il existe une petite école privée pas spécialisée dans les zèbres mais qui acceuille toutes sortes d’enfants avec une ambiance familiale qui est située rue du foin dans le 3ème arrondissement.
Courage!
C’est bien ce que l’on essaie de faire, sans grand succès.
J’ai une amie qui m’a orientée vers une proche avocate; la responsabilité pénale de l’école est pleine et entière.
L’académie est aussi en porte à faux.
Je les aient menacés de déposer plainte auprès du Procureur et d’alerter les médias s’ils ne trouvaient pas rapidement un autre établissement, avec des mesures adaptées.
Je serais fixé d’ici 15 jours.
Nous avons vécu une situation difficile également outre les remontrances habituelles des enseignants,notre zèbre se faisait frapper par ses petits camarade en ce2. Nous avons fait le choix de le scolariser dans une école montessori, il a repris énormément confiance en lui. Il est transformé.Je vous souhaite beaucoup de courage.
Je ne sais pas ce que vous entendez par l’est parisien, l’école de Nogent est bien mais c’est dans les 600 euros par mois… faut pouvoir…
A Melun il y a une école privée qui est sensible aux EIP et à l’écoute et le collège a une classe spéciale…
Je ne suis pasd´accord pour y avoir mis mon zebre thqi 9 mois. C’est assez n’importe quoi d’ailleurs aucun des enseignants n’a de formations d’instit ni n’a etait formé pour les eip. D’ailleurs peu d’enfants y restent à long terme seuls ceux dont les parents attendent des resultats de leurs hqi!!! Dans cette école il y a aussi des idées préconçues sur les rayures alors que chaque zebre est différent!!!! Et c’esy dommage l’idee était bonne au départ mais l’argent est le nerf de cette ecole pour survivre elle en a besoin donc influence de ceux qui payent!!!!
Bonjour, parlez-vous de l’école de Nogent ou de Malun?
Bonsoir,
Je suis consternée par ce témoignage , le système scolaire actuelle n’est vraiment pas adapté pour nos enfants,et nous a Valence nous n’avons aucune structure j.ai rencontrer aussi des difficultés, et en rencontre encore, maman de deux enfants EIP , ma fille a sauté son cm2 , avec une attitude desœuvrante de son instituteur qui jouer avec sa sensibilité , pour « tester sa maturité affective », malgré le bras de fer , elle a integré la 6eme et elle s’épanouie en Mon fils lui par contre n’a pas le goût de l.effort, mais nous l.avons inscrit en classe verte ( orientation sport), un emploi du temps idéal, une classe très dynamique
Il me semble qu.il existe des plusieurs écoles specialisé sur Paris, ou bien une ecole ou il cherche des elites, c’est le choix que nous avons fait pour notre fille, biensur ce sont des colleges prives,avez vous chercher sur le site de l.anpeip, je suis en train d’adhérer à cette association qui je pense peu vraiment aider les parents.
Je vous souhaite de tout cœur une issue a cette situation, mais je reste indignée devant la non réaction de la directrice de votre école !!!!!
Bon courage
Sylvie
Bonjour,
Il est urgent de le sortir de cette école. La première mesure est de le protéger, c’est-à-dire son intégrité physique et mentale. Cet enfant ne pourra pas se protéger et aller mieux dans une autre école si on le laisse se faire massacrer. Ceci n’a rien d’une fuite, c’est une mesure de protection urgente !!! Et bien sûr alerter toutes les instances possibles et inimaginables. Pourquoi ne pas aller porter plainte auprès de la police et faire constater les coups et blessures ? Mais pour cela, il faut protéger ce petit bout. Faites activer vos réseaux familiaux, amicaux, collégiaux pour vous soutenir.
Bonsoir, le parcours de ce petit zèbre apparait empli de souffrances et son suivi, bien que nous n’ayions que peu d’éléments semble décousu, incohérent… De ce point de vue, un rapprochement avec CogitoZ me parait une très bonne idée. Je suis d’accord avec Rabia, il ne faut pas baisser les bras, mais la priorité c’est de protéger cet enfant d’une situation apparemment insupportable. Lui trouver une école où on l’acceptera tel qu’il est et où il bénéficiera d’un regard bienveillant, c’est là l’URGENCE ! Ensuite, il sera toujours temps de dénoncer l’incompétence, voire la malveillance du personnel de l’école…
Le traitement par la Ritaline m’interpelle, mais je ne suis pas médecin… et je ne connais pas l’enfant. Là aussi, les spécialistes de CogitoZ pourraient vous éclairer.
Courage !
Bonsoir
Je suis boulversée par votre témoignage, ça me met la chair de poule, je trouve inadmissible la réaction de l’école et ce genre de chose ne devrait jamais arriver au sein d’une école.
Je ne connais pas d’école dans votre secteur, par contre la solution que personnellement j’ai trouvé pour ma fille et mon fils, c’est de faire le choix de les mettre en école privée et honnêtement je suis pleinement satisfaite de cette décision.
Ma fille est en 6ième EIP et j’en suis ravie et elle aussi puisqu’elle est avec des enfants comme elle et elle se sent comprise.
Courage et tout mon soutien vous accompagne
Bonjour
Je suis consternée!!!!!!!!
Je pense aussi qu’il n’y a pas à hesiter pour porter plainte…….
c’est vrai qu’il FAUT proteger votre enfant mais aussi ceux qui pourraient se retrouver dans le même cas………
Je ne peux malheureusement pas vous conseillez d’établissements mais au moins faire reconnaitre la particularite de votre enfant avec son droit à l’éducation (cf les textes et la circulaire ministerielle sur la précocite)
Je ne peux que compatir et vous souhaitez bon courage.
Merci si vous ne faisiez part de l’avancée de vos démarches.
Vos mots ne peuvent que raisonner très fort dans mon coeur de maman zèbre!
Nous sortons justement d’une équipe éducative où l’enseignante n’arrive pas à mettre en oeuvre le PPRE « j’ai 22 élèves dans ma classe, je ne peux pas faire un traitement de faveur… de toutes façons, il ne fait rien! » Grrr!! mon zébrounet est loin de ce que vous décrivez même s’il pleure chaque soir et chaque matin pour ne pas aller à l’école!
Courage Beut!
Continuez de vous battre mais n’hésitez pas non plus à protéger votre petit zèbre!! Si vous en avez la possibilité (famille, amis…), retirez le de cette école dès demain (par mesure conservatoire)! !!
C’est effectivement à l’inspecteur de vous trouver une nouvelle école! il peut le faire très rapidement, il suffit qu’il en ressente l’urgence! Cessez de les menacer, portez plainte au commissariat, au procureur!
Vous pouvez aussi demander une audience auprès du recteur de votre académie, à l’inspecteur en charge des eip, au référent (http://www.ia94.ac-creteil.fr/parent/EIP.htm) je ne sais pas si c’est le bon département… mais bon…)
Je suis enseignante moi aussi et je sais une chose: les enseignants n’ont pas beaucoup de pouvoir (à part celui de pouvoir faire souffrir des enfants ou leurs parents… je sais que cela peut sembler dur mais c’est parfois bien vrai!) par contre les parents d’élèves en ont beaucoup et ne le savent pas! L’inspection a beaucoup plus peur des vagues que peuvent faire les parents d’élèves que des remarques faites par les professeurs. Donc allez au dessus, et si cela ne suffit pas encore plus haut!
Je vous souhaite encore plein de courage pour affronter tout cela! J’aimerais faire plus que ces quelques mots tapés dans l’émotion en cette fin de soirée… Je vous envoie plein de bonnes ondes zébrées!
Courage!!
Je suis effarée par votre message…mais quelle honte pour notre système scolaire…sommes nous en 2013 ou en 1950?
Je vous souhaite beaucoup de courage pour le combat qui vous attend…tenez nous informés …merci d’avance….
Bonjour,
En tant qu’enseignante en ce2 je suis effarée par ce que je lis! C’est inadmissible! Je ne comprendrai décidément jamais comment de telles personnes peuvent enseigner à nos enfants! Avec un tel comportement on se demande d’ailleurs ce qu’ils leurs apprennent!
Je n’ai malheureusement aucune école en mémoire à vous conseiller dans l’est. Cependant je connais l’école Gerson dans le 16eme qui accueille beaucoup d’enfants surdoués, elle est tout simplement géniale! Tout comme la Rochefoucauld (7ème) où je travaille actuellement et saint Louis de Gonzague (16ème).
Bon courage à vous
Ne lâcher rien battez vous pour le bonheur de votre fils.
bonsoir,
Votre témoignage me donne la chaire de poule! Car si ressemblant avec mon vécue, ma bataille pour mon fils de 7 ans qui vie la même chose. Il développe une phobie scolaire suite à ces harcellements !!!! Nous part contre avons la chance de vivre à la frontière allemande et mon fils étant parfaitement bilingue. Devrait la semaine prochaine, Dieu merci, après de longues démarches êtres admis dans une école privée allemande. Je dois malheureusement dire en tan que Francaise, les Alllemand ont 20 ans d’avance par rapport à nous en ce qui concerne le TDA(H) et la précocité !!!! J’espère que tout ira au mieu!!! Je vous encourage sincèrement dans la recherche d’un nouvel établissement et vous conseil de dialoguer au préalable avec les différents intervenants au sein de l’école . Ecouter sur votre instinct maternelle et remuer ciel et terre s’il le faut, tout comme je l’ai fait. Il n’y a rien de plus merveilleux que de retrouver son enfant avec la joie de vivre
Bonjour, ce qui m’interpelle le plus dans votre témoignage, ce sont les paroles de la directrice: l’histoire des autres enfants qui sont « excédés » par le vôtre. Il faudrait, je pense, voir si ça ne pourrait pas être vrai (sans dire que cela justifie une telle stigmatisation qu’on soit bien d’accord), parce que si ça l’est, qui sait combien de fois ce problème se renouvellera? Comment se comporte-t’il avec les autres enfants, que leur dit-il, qu’est-ce qui peut déclencher des bastons pareilles? Parce qu’il est inutile de le nier, j’ai quelques enfants hyperactifs dans mon entourage (rien de comparable à ce qui est décrit ici ceci dit), et il y a des moments où on voit clairement que les autres enfants en ont marre d’être déconcentrés par le bruit, les mouvements, les soubresauts, les interruptions, et ils le disent avec véhémence. Il est impossible de demander à des enfants de 8 ans de tolérer toute une journée d’école un comportement qui les énerve autant qu’il handicape l’enfant hyperactif. D’ailleurs à vous lire on a l’impression que la Ritaline n’y fait pas grand chose et ça ça m’interpelle aussi parce que moi j’en vois toujours une, de différence dans le comportement: l’enfant est plus calme, plus concentré, il cherche moins à interagir avec les autres alors qu’il devrait être plongé dans son travail personnel. Pourquoi, chez le vôtre, est-ce que ça ne change rien? Et s’il n’était pas aussi hyperactif que ça?
Finalement, je pense que changer d’école, ça ne résoudra pas le problème dans l’immédiat. Parce que même si vous trouvez des gens bienveillants pour le prendre en charge, ce sera certes un progrès mais ça ne changera sans doute pas vraiment le fait qu’il a des troubles. Donc à mon sens le plus urgent c’est de lui trouver une aide psychologique qui permette de l’aider à se maîtriser, à se calmer, à rechercher les causes profondes de son comportement et l’aider à travailler dessus. Une fois que ça ira mieux, il pourra repartir sur des bases plus saines. Peut-être qu’il est vraiment insupportable avec les autres enfants parce qu’il les trouve eux-mêmes insupportables et bêtes et qu’il est terrifié par le décalage entre lui et eux… peut-être qu’il est très mal dans sa peau mais à ce niveau-là je pense que cela nécessite un accompagnement vraiment spécialisé et pas seulement une ou deux séances. Quant à l’école, n’oubliez jamais que vous n’avez que très peu de chance, statistiquement parlant, de tomber sur du personnel qui a des capacités similaires à celles de votre enfant (QI155), donc est-ce que de la simple bienveillance peut suffire à l’aider, je me pose la question. Les paroles du type « il faut qu’il rentre dans notre moule » sont inacceptables et il est inutile d’attendre quoi que ce soit d’une personne qui les profère. MAIS il faut quand même que tout enfant se tienne un minimum à l’école, sinon aucune classe ne peut fonctionner, et il se met tout-le-monde à dos partout (j’ai vu un enfant qui se levait pour aller sauter sur le ventre sur les tables de ses voisins, en déchirant des cahiers, en balançant tout par terre, en gesticulant et donc portant des coups aux autres, il a fini par être envoyé en institution psychiatrique …).
Alors je vous souhaite bonne chance dans l’accompagnement de votre enfant et j’espère que vous trouverez des gens pour l’aider à comprendre pourquoi il se fait tabasser, pourquoi les adultes sont contre lui, et comment faire pour trouver le meilleur équilibre possible dans sa vie et la vôtre…
Bonjour,
il est notamment battu en récréation par des enfants qui ne sont pas de sa classe, donc l’excuse de l’exaspération ne tient pas.
Pour la RItaline, il a commencé pendant les vacances et n’aura le plein dosage que dans 15 jours.
L’aide psychologique, cela fait deux ans.
Aucun problème en centre aéré, en club ou en classe depuis 3 mois, maintenant qu’il a un enseignant volontaire.
Juste un laxisme énorme à la cantine et à la récréation qui a permit d’en arriver là.
Il voudrait même ne pas aller en récréation mais cela lui est refusé.
Votre enfant est-il réellement hyperactif ? Deux des miens auraient facilement pu être catalogués ainsi, mais heureusement ont eu un excellent pédiatre qui a refusé de leur donner des médicaments. Ma zébrounette de 6 ans, en CP, fait tout pour « entrer dans le moule » (elle en est visiblement presque transparente). Mais à la maison elle hurle, tape, se roule par terre, ne peut pas rester assise à table etc. Explication du psy : elle a trop de choses dans la tête mais elle n’a pas encore tous les MOTS pour l’exprimer, d’où cette espèce de fureur et d’agitation. Le fait de lui avoir dit cela l’a déjà beaucoup calmée (et surtout le fait de reconnaître qu’elle est différente). D’où ma question : le psy qui suit votre fils est-il à la hauteur ? J’ai compté récemment : 3 enfants HP, et ce n’est qu’au 7e psy que la zébritude a enfin été évoquée !!!
Bonjour Beut, vous avez raison, si le problème n’est aussi spectaculaire qu’à l’école, c’est suspect. Pour le coup de passer la récré, j’avais fait une même demande quand j’étais petite car je subissais moi aussi du harcèlement et ça avait déjà été refusé. Il y a pour cela une explication simple: si un enfant devait rester en classe, il faudrait quelqu’un pour le surveiller. Or la récré c’est le seul moment pour l’instit de vaquer à certaines occupations comme aller aux toilettes, boire un coup, préparer des trucs pour la leçon suivante, parler avec les collègues, faire les photocopies ou simplement se retrouver au calme – sans compter le service de surveillance de récré. Ca pose un problème légal en-dehors du confort de l’enseignant, donc je pense que vous ne devez pas compter là-dessus malheureusement (jamais compris d’ailleurs pourquoi la bibliothèque dans mon établissement n’ouvre pas pendant la récré pour permettre à ceux qui veulent bouquiner de le faire, parce que la bibliothécaire en a, elle, du temps libre pendant les heures de cours)…
Mais j’avoue que je me suis posé la même question que Marty: et si le diagnostic était faussé? Et si c’était un souci de suivi qui n’est pas à 100% adapté? En tout cas votre situation pose un réel dilemme: je connais des gens qui sont farouchement opposés à la Ritaline parce qu’elle « gomme » les effets du comportement intempestif mais ne va pas déraciner les causes du trouble. Pourtant, comment fait-on quand on ne sait plus quoi faire pour aider l’enfant? Y-a-t’il réellement une cause profonde d’origine psychologique à certaines hyperactivités, ou s’agit-il d’une maladie à traiter avec des médocs? Est-ce l’école x qui le pousse à bout, ou le système scolaire, ou une combinaison des deux, alors qu’à la base il n’y a pas de problème d’hyperactivité? C’est angoissant rien que de penser à la difficulté de votre situation même sans être concerné )-:
Avez-vous pensé à une déscolarisation afin de l’éduquer à la maison peut-être – au moins le temps qu’il retrouve un certain équilibre?
(si le problème surgit à nouveau)
Bonsoir,
oui réellement hyperactif, il ne dormait déjà que très peu nouveau né et était tout le temps en activité.
A la maison, c’est dur pour lui de tenir en place: il saute à cloche pied pour réciter ses leçons, tripote son matériel scolaire…il a aussi des TOC.
Il y a eu divers diagnostiques sur 2 ans car nous ne voulions pas le placer sous ce traitement.
mais là, les troubles de l’attention et son incapacité à gérer sa colère et sa frustration, malgré le suivi psychologique régulier, nous n’avions plus d’autre choix pour le maintenir scolariser.
Et mon fils ne se supporte plus, il place énormément d’espoir dans ce médicament pour l’aider.
Quand à l’école à la maison, si mon épouse n’était pas en formation pour 1 an et que nos revenus nous le permettaient (non imposables), nous n’aurions même pas hésités.
Bonsoir j’ai vécu une situation similaire pour mon fils en cp (il n’était pas hyperactif mais cobsidéré comme tel). Il s’est fait frappé dès le début de l’année dans la cour de récré. Directrice prévenue :Rien à faire, maîtresse : rien vu (ils étaient 2 à être tapé)! Nous avons râlé avec l’autre mère auprès de la mairie et la directrice lui a envoyé une lettre car elle même enseignante en collège en menaçant de faire passer son fils pour un violent si elle continuait. L’inspecteur du val de Marne était preve,u devait se déplacer et au dernier moment n’est pas venu. La psy scolaire était prévenue et elle aussi rien à faire. J’ai halluciné et je l’ai retiré de l’école la veille des vacances de la toussaint.il a passé un test de qi pet les vacances et il a été dans l’école pour enfants précoces de nogent. Il a été suivi par un psy et un psychométricien au cmpt. Mais il était stressé et recevait encore des coups d’un hyperactif sous régalien mais là on lui expliquait la différence il ne le fait pas exprès. Je ne recommande pas cette école sauf aux hypers orgueilleux qui veulent faire de leurs enfants des zèbres sur stimulés! Mon fils était thqi donc pas besoin d’hyper stimulation. À la rentrée suivante je l’ai remis en public à nogent dans une école que j’avais choisi car vu assure i trente le directeur cherchait à améliorer l’ambiance des cours de récrés. Pas de saut de classe mais arrêt de tous les psys et les conseils de tout le monde. Cette année deuxième année dans l’école et il va mieux. Plus aucune histoire de maltraitance. En classe c’est facile alors pour lui qui adore jouer le rythme est parfait.pour l’anecdote la directrice de cette affreuse école à été mise à l’honneur dans le journal de la ville alors qu’il y a toujours autant d’histoire de violence grave et même des cm2 qui payent des cp pour se déshabiller et elle est courant et n’y fait tirs rien. Alors je pense que pour votre enfant le plus gros pb c’est son école . Changez le coûte que coûte après avoir la chance de tomber sur une bonne école relèvera du hasard d’autant que dans l’en ils se serrent les coudes entre nullités crasses. Pour mon fils l’avoir sorti de cet enfer légitimé par les autorités qui devaient prendre soin de lui à été salvateur d’autant qu’ils auraient fini par dire qu’il était responsable de ce qui lui arrivait. Perso pour son saut de classe je me suis accrochée j’ai été jusqu’à la commission en fin d’année et miracle ça lui a en plus permis d’avoir une meilleur estime de lui même . Franchement je pense qu’en tant que parents on doit se faire confiance et surtout ne plus croire la majorité des instits! Je vous souhaite bon courage ne baissez pas les bras mais protégez le ! Effectivement d’aller porter plainte claquera le bec des dirigeants de l’école car ils n’aiment pas que les histoires sortent des murs des écoles. Pas d’inquiétude ces faux culs seront tout miel avec vous après cela!
Bonjour,
vous n’êtes pas la seule à se plaindre de l’hyper stimulation de l’école de Nogent.
De toute façon, elle ne rentre pas dans mon budget actuel.
Je vais essayer de trouver une école publique avec des enseignants volontaires et avertis, qui pourraient ainsi plus facilement s’adapter et se remettre en cause que des soit-disant spécialistes de l’éducation, nos instit standards ou ceux des écoles privées pour EIP, qui pourraient camper sur leurs postions.
Pas un de nos enfant ne se comporte selon le même schéma, selon qu’ils soient hyperactifs ou non, HQI ou THQI, avec ou non une forte dissymétrie dans les résultats…bref, tout sauf des petits clones où la même recette peut s’appliquer.
Je suis moi-même THQI, l’ai découvert fortuitement à 40 ans, en reprenant l’Université (études scientifiques), j’ai des points communs avec mon fils question vécu ou réactions mais surtout de grandes différences.
« notre fils ne se supporte plus »
Cela m’intéresserait (et m’aiderait) de savoir ce que votre fils dit de son hyperactivité. Par exemple si vous lui demandez pourquoi il saute à cloche-pied en apprenant ses leçons, que répond-il? Vient-il se plaindre spontanément de ne pas pouvoir tenir en place? Y-a-t’il des moments, des situations, des centres d’intérêt qui lui permettent temporairement de se concentrer? Comment a-t’il fait pendant le test de QI? Est-ce que les personnes qui le suivent lui font faire des exercices particuliers pour essayer de l’aider à s’apaiser? Est-ce que ça se calme ou s’amplifie avec l’âge, comment est-ce supposé evoluer à l’âge adulte (on entend toujours parler d’enfants hyperactifs, mais que deviennent-ils???)?
Il ne se rend pas compte de son agitation.
Il se plaint des conséquences: réactions exacerbées, troubles sociaux…
S’il se concentre fortement sur une activité qui l’intéresse, il peut tenir tenir en place une petite demi-heure, tout en tournant sur sa chaise, en tripotant des objets….
Cela a été constant pendant le test de QI, où après une demi heure, il se levait sans même s’en apercevoir pour continuer son exercice.
Et les troubles de l’attention visuelle et auditive ont été visibles dès le début de l’exercice, en progression constante par la suite.
D’ailleurs, son temps de concentration en classe est de plus en plus faible, alors que ce qu’il étudie le passionne (histoire, mathématiques, poésie).
Il a eu des séances de relaxation (exercices tous les soirs pour l’aider à s’endormir ou auto-exercices en journée face à une situation difficile); ils n’ont eu qu’un succès d’estime, la pression de l’environnement étant trop présente.
Et oui, son hyper-activité est de plus en plus visible depuis cet été.
Il en a développé des gestes parasites, des TIC, qui lui provoquent maintenant des douleurs musculaires, donc séances de kiné.
Beaucoup de pistes ci dessus déjà, je peux vous indiquer que notre fils ayant vécu une situation de harcèlement a trouvé un lieu ou s’épanouir à l’école Georges Gusdorf, a Paris 15, spécialisée dans les enfants HPI (voir leur site).
Bonjour,
Je voulais simplement vous témoigner de tout mon soutien face à cette terrible situation : comment peut-on en arriver là ? Il y a une réelle responsabilité des adultes encadrants qu’il ne faut pas hésiter à mon avis à venir « chatouiller » sérieusement, comme beaucoup l’ont suggéré ci-dessus. Je ne connais pas les établissements en particulier sur Paris, mais il me semble que si vous vous rapprocher de l’établissement de Paris 15, vous trouverez peut être une solution. La MDPH est censée vous orienter également, mais ils sont tellement débordés (et désorganisés ?)…
Bon courage !
Bonjour
Ces témoignages font tous échos à des situations vécues il y a peu !!! Notre fils de 8 ans a vécu un enfer dans une école publique…entre la maitresse qui ne pouvait pas faire de son cas un cas particulier et les camarades qui le maltraitaient… bref, notre solution a été de le sortir de l’école d’urgence, nous l’avons placé dans une école MONTESSORI, Wi-school dans le 9ème. Il reprend gout à l’école petit à petit, pour la confiance en lui c’est encore fragile… mais il se sent mieux incontestablement.
Pour ma part, je vous conseillerai de le sortir rapidement de cet établissement, où il est en souffrance. Et surtout mettre les responsables de l’école actuelle face à leur responsabilités.
Bon courage pour la suite, et tenez nous au courant.
Bien à vous
Bonjour,
Je vois que vous avez mis votre enfant dans l’école Wi-school. Je compte y inscrire mes enfants l’année prochaine. En êtes-vous satisfaite ?
Merci de me répondre si vous avez deux minutes car il est toujours difficile de choisir une école digne de confiance pour ces chers petits.
Merci beaucoup,
Bonjour,
j’envisage également cette école (Wi-school) pour mon fils de 6 ans qui ressemble beaucoup à la petite fille décrite dans le billet….bref l’école n’est pas un paradis pour lui. Avez-vous eu des échos positifs ? J’avoue que je ne sais plus quelle solution adopter et que toutes les infos sont bonnes à prendre !
Merci d’avance !!
C’est effrayant autant de bêtise humaine…
Vous pouvez également vous renseigner auprès de l’école Saint-Charles à Athis-Mons, établissement qui va de la GS jusqu’au BTS. Ils sont sensibilisés aux problèmes des EIP et proposent une section EIP au collège.
Je vous souhaite beaucoup de courage.
bonjour,
je suis attérée par ce que j’ai lu ! tous les intervenants de l’école devraient faire le sujet d’une plainte et etre mis devant leurs responsabilités ! c’est inadmissible !
mon fils a aussi passé une mauvaise scolarité à cause de ces personnes qui ne veulent rien voir. cela va beaucoup mieux depuis qu’il est à l’école Leonard de Vinci à Herblay !
si vous êtes en région parisienne (plutôt côté 95) vous devriez les contacter, ils sont à l’écoute.
bon courage
Ce que votre fils vit est inacceptable ! Allez porter plainte à la police, vous aurez une trace, et prenez des photos, on ne sait jamais.
Connaissez-vous la référente précocité dont vous dépendez ? Depuis janvier 2012 il y a un ou un référent(e) précocité dans chaque académie. Pour Versailles à l’ouest de Paris c’est Mme Gérard, elle est géniale !
Si ce n’est déjà fait, appellez votre inspection d’académie et demandez-leur de parler au référent. Si pas dispo demandez ses coordonnées, et surtout INSISTEZ, ne lâchez pas ! Vous n’êtes pas seule, notre fils a 152 de QIT, or pendant 2 ans les instits de CP et CE1 nous ont soutenu avec l’appui de la psy scolaire qu’il ne pouvait pas être HP. Il avait développé des tics vocaux et verbaux, une grande agressivité, et un comportement imprévisible limite autiste. Nous avons obtenu de l’aide et du soutien de la référente précocité qui nous a tout de suite aidé et compris. Il a sauté le CE2, aujourd’hui en CM1 à 8 ans il a beaucoup souffert et je pense qu’il faudra une bonne année pour que tout rentre dans l’ordre car il rentre régulièrement en nous disant qu’il n’a aucun ami, que les autres l’embêtent ou lui refusent qu’il joue avec eux à chat car « il n’a pas 9 ans ». Et ces quelques petites brimades le touchent déjà beaucoup, alors je n’ose même pas imaginer ce que doit ressentir votre fils. Nous sommes de tout coeur avec vous, bon courage.
Connaissez-vous le groupe Facebook « ENFANT INTELLECTUELLEMENT PRECOCE » ? Vous y trouverez du soutien et de l’aide. Bon courage.
Pour avoir eu de nombreuses difficultés similaires, voici ce que je vous recommande:
1. Oui il faut porter plainte même si c’est une démarche difficile (je suis bien placée pour le savoir…) pour rappeler aux enseignants qu’ils sont responsables de nos enfants pendant les temps scolaires, pour rappeler aux enfants que la violence est interdite par la loi et que ce sera valable pour toute leur vie, pour que votre fils soit reconnu comme victime et qu’il sache qu’il n’est pas normal de se faire taper (cela évitera peut être qu’il devienne le « bourreau » plus tard = encore du vécu!), pour qu’il sache que ses parents sont là pour le protéger et qu’ils font bien leur job!
2. Oui, il faut le sortir de cette école, ils sont apparemment trop stupides pour écouter, se remettre en cause et changer
3. Oui, vous pouvez lui permettre de souffler et récupérer en demandant la scolarisation à domicile par le CNED réglementé, ce sera gratuit, il peut démarrer en cours d’année et c’est reconnu comme une scolarisation normale avec bulletin/avis de passage etc… (ça aussi nous avons fait de Mars à juin!! si vous voulez savoir comment je peux vous expliquer
4. Non les écoles privées ne sont pas forcément mieux! ATTENTION aux écoles soi-disant spécialisée EIP, mon fils est sorti broyé d’une école comme celle-là. Actuellement il est en collège public et l’équipe est au top!! Donc, prendre le temps du bouche à oreille avant de se précipiter vers une autre école
5. Oui, les associations peuvent vraiment vous aider. Moi j’adhère à l’AFEP, mon fils vient de sauter en janvier, dans le public, il est passé d’une 4ème à la 3ème, incroyable me direz-vous? Non cela à été possible grâce au soutien de la référente AFEP et d’une équipe pédagogique à l’écoute…
6. Ne vous découragez-pas, vous n’êtes pas seule et vous finirez par trouver les meilleures solution pour votre famille!! Pour cela, je sais, il faut beaucoup de courage mais ce qui est bien c’est que « même quand on croit être à bout de forces, ont trouve toujours les ressources pour nous battre pour la prunelle de nos yeux »
Bien à vous, donnez nous des nouvelles…
Bonjour, ce que vous dites à propos de l’école spécialisée m’intéresse: pourquoi votre fils en est-il sorti « broyé »?
Bonjour homonyme !
Ma fille est également eip avec de grosses difficultés à l’école (bien qu’avec de bons résultats scolaires). Elle a été diagnostiquée à l’âge de 3 ans, et en a maintenant 8. Elle est en CE2.
Vues ses problèmes d’écriture et son niveau de stress qui vont en s’accentuant, je souhaite l’inscrire au cned règlementé pour qu’elle puisse souffler un peu, en attendant son entrée au collège (nous avons de la chance, il propose une section spéciale eip). Au mois de juin je dois faire la lettre de motivation pour l’inspecteur d’académie, qui détient le sésame pour le cned règlementé (nos moyens sont très limités et une inscription libre serait trop onéreuse). Comme vous avez déjà fait la démarche, avez-vous des conseils à me donner quant-à la lettre de motivation ? faut-il juste dire que l’enfant est eip (tests à l’appui) ou faut-il argumenter ?
Merci d’avance pour vos conseils.
Valérie
Je voulais juste vous remonter le moral et vous dire qu’on fini toujours par trouver une solution, ce battre contre l’éducation natonale, je connais, j’ai rencontré le cas cette année et l’année dernière et nous sommes parfois face à des adultes qui n’ont rien d’adultes ! Ne le laissez surtout pas dans cette école, ne faites pas la même erreur que moi de leur accorder votre confiance et leur donner le temps soit disant de corriger le tir. Mon zebrillion testé à 140, va beaucoup mieux depuis qu’on accepte sa différence dans une nouvelle école. Et oui, il existe des adultes qui se démènent pour faire que leur passage à l’école soit agréable et adapté à leur compétence. Tout ce que j’ai vu dans les différents mail, je connais, soit disant que mon fils était idiot et cela à cause de sa mère. Quand je pense que l’éducation nationale m’a dit qu’elle ne savait géré que 50% des enfants, je trouve cela gros à entendre. Elle ne sait pas pour les 25% plus faible, mais pas plus pour les 25% plus fort, pourtant il me semble qu’on paye nos impôts pour 100% otbtenir une éducation pour tous entre autre. Me voilà obliger de mettre mon enfant dans le privé qui comme part hasard sait gérer nos zébrillions ! N’y aurait il pas un pb quelque part, je sait qu’il y a un groupe qui travail dessus au ministère de l’éducation, mais que font-ils. Pourquoi une école se sent agressé quand on leurs parle de la difficulté de notre enfant, alors oui, ils attaquent plutôt que d’accèpter l’aide de l’AFEP.
Je vais m’arrêter là, car le sujet m’énerve encore un peu, mais je constate que des zebrillions il y en a de plus en plus, nous sommes pas seul, battons nous pour que nos enfants retrouvent le sourire et le goût d’apprendre, car là il déborde d’énergie mal utilisé.
Bon courage et de tous coeur avec vous
Merci à tous pour les bons conseils et les écoles.
J’ai rendez-vous demain à l’académie. Le ton des messages à changé.
Dès que je passe la porte, mon fils me demande quand il ira dans une « pension gentille ».
Et quand il pourra prendre la Ritaline à dose pleine.
Il est impatient de se sentir « normal ».
J’appréhende, je voudrais tant qu’une solution qui lui convienne soit enfin proposée à court terme!
Je vous tiendrais au courant.
Bonne soirée.
Ma fille de 8 ans 1/2 est en CE2, et là, depuis quelques jours, nous la sentons vraiment mal…
Avant les vacances, déjà, elle nous avait envoyé quelques petits signaux du genre : ne copie pas sa leçon, ou oublie de noter les devoirs… J’avais mis ça sur le compte de la fatigue…
Mais là, depuis le début de semaine, elle va à l’école en trainant de plus en plus des pieds et en se plaignant « On va encooore faire la même chose ! ». Elle se réfugie de plus en plus dans les livres, et ça, c’est clairement un signe de souffrance, chez elle…
Et hier soir, j’ai parlé quelques minutes avec l’une de ses deux instits (elle en a deux : 1 pour lundi et mardi, l’autre pour jeudi et vendredi). Et je me demande vraiment à quoi ça a servi de la faire suivre par la psy scolaire et de l’avoir fait détecter ! L’instit m’a sorti : « Oui, j’ai bien cerné votre fille, elle très lunaire… Pourtant ses résultats sont très bons ! » et de rajouter « Pourtant, il faudra bien qu’elle comprenne qu’on ne fait pas toujours ce qu’on veut et qu’il faut qu’elle rentre dans le rang ! »… Navrant.
La semaine prochaine, je vais les voir toutes les deux, ces instits, et je ne vais pas y aller par 4 chemins…
Ma fille a besoin d’avancer plus vite, c’est tout ! Elle en marre de rerereréviser la table de multiplication des 2 qu’elle connait depuis le début du CP ! Si on ne trouve pas de point d’entente, je vais quand même pas laisser ma fille se morfondre !
En ce moment, le seul moment où elle s’éclate véritablement, c’est pendant son cours de saxo ! Sa prof est épatée : la gamine a appris en 3 mois ce que les autres ont du mal à apprendre en 1 an !
Bonsoir,
l’Académie s’est rendue compte du mal être de mon enfant et de ses capacités particulières.
Il mettrait parfois les adultes mal à l’aise.
Il acquiescent sur la nécessité du changement d’école, mais surtout, publique ou privée, qu’elle soit consciente de l’enfant qu’elle acceptera, avec ses différences.
Je serais aidé dans ma recherche d’une nouvelle école, que j’ai déjà entamée.
Depuis qu’il a vu une émission sur le sujet, il me demande tous les jours quand il aura la chance d’aller en pension!
A bientôt.
Après avoir lu tous les témoignages, je voudrais rappeler qu’il ne faut pas confondre douance et hyperactivité. Pour Beut , votre enfant bouge comme bougent les enfants surdoués, c’est-à-dire beaucoup. S’il a réussi à tenir en place une demi heure pour le test, il ne devrait pas être considéré hyperactif. S’il a eu un tel QI, il a eu forcément de l’atttention…Il faut penser aussi au fait qu’il subit du harcèlement…ce qui évidemment le place en état de malaise. Réécouter les excellentes émissions des maternelles sur l’hyperactivité avec Olivier Revol..
http://planetesurdoues.fr/index.php/videos/hyperactivite/
nadine
Bonjour,
Je vous adresse tout mon soutien, Madame dans ce que vous traversez avec votre enfant, et également je souhaite de vous part de mon admiration pour votre détermination.
Nous venons de découvrir il y a qq jours que notre petite fille est EIP, elle a juste 3 ans et nous sommes vigilant même si pour le moment nous ne sommes pas encore heurté à la bétise humaine.
Nous vivons près de St Laurent (a 10 min) et si vous ne trouviez pas d’autres solution que d’étudier une venue par ici, nous serions heureux de pouvoir vous aider si nous le pouvons et si besoin même vous héberger le temps que vous puissiez vous installer. Si cela était le cas faites moi signe par ici.
Je suis persuadée que dans la situations les plus difficiles c’est de solidarité et de compréhension dont nous avons besoin.
Je vous souhaite beaucoup de courage
je suis moi même un zèbre avec les mêmes problèmes à l’école
j’étais dans une école de village, et j’avais la possibilité de m’ISOLER avec des crayons et du papier alors que mes camarades chahutaient dans la cour
idem au collège. j’avais beaucoup d’heures de colle (normal pour un zèbre me direz vous) mais les pions savaient que j’étais un gentil zèbre turbulent et me laissent m’ISOLER au cdi où je pouvais lire des encyclopédies au lieu de me faire taper dessus par les petits rachids qui semaient la terreur
Cet article résonne particulièrement en moi, j’en ai les larmes aux yeux ! C’est pratiquement mot pour mot ce que m’a dit le maître de ma fille mardi.
C’est pas gagné !!!
Il y a une question que visiblement personne ne se pose : faut-il VRAIMENT dire aux enseignants qu’un enfant est un un zèbre ?? Vu les très nombreuses réactions d’indifférence (au mieux) ou de franche hostilité (au pire), on peut se poser la question… N’est-ce pas souvent, malheureusement, multiplier les difficultés et les souffrances de l’enfant ? Je dis cela parce qu’il y a 15 jours nous avons dit à la maîtresse et la directrice de l’école de la zébrette (6 ans, en CP) qu’elle était une EIP. Réactions du psy : mais bon sang pourquoi en avez-vous parlé ? Cela lui APPARTIENT, ce n’est pas à vous de le dire, et vous allez vous heurter à des réactions désagréables. Je précise que le psy en question a lui-même un zèbre, qui n’a pas sauté de classe, et qu’il n’a jamais prévenu les équipes enseignantes de « potentiel » de l’enfant. Alors que penser ???
Bonsoir,
il n’est pas besoin de le dire: il se rendent rapidement compte qu’il sont différends.
Ils l’ont vu bien avant nous.
Mais ils les classent dans les ingérables, les rebelles, les mal élevés de parents ineptes….qu’il faut mâter, rentrer dans le moule…
Alors, bêtement, on leur explique qu’ils se trompent, qu’il y a une explication, des solutions et des cadres et obligations légales.
Et là, c’est fichu: « quoi, on DOIT le prendre en compte! mais ma pauvre dame, on n’est pas formés, pas payés pour ça, il y a des établissement pour les enfants comme eux, c’est impossible même avec la meilleure volonté, pourquoi vous ne le dé-scolarisez pas? »…blah, blah, blah…
j’ai de la famille dans l’éducation nationale, ils ont déjà vécu cela et ils ont honte de ce qu’ils ont fait ou pas fait.
Le temps passe, des lois sont votées mais le dinosaure de l’éducation nationale se croit au-dessus, se cherche des prétextes.
Bonsoir,
des nouvelles de mon zèbre…
Il est assez mal dans sa peau, la psychologue resserre les rendez-vous.
J’ai trouvé une école qui l’accepterait tel qu’il est! Mais, sans doute pas de place avant septembre.
Il rêve d’y aller.
Les relations avec l’enseignement sont tendues, uniquement maintenues par écrit.
Il se rend compte des bienfaits de la Ritaline sur lui, il progresse à l’école.
Mais il en souffre aussi physiquement (nausées, céphalées…).
Raz le bol! vivement qu’il soit enfin dans un lieu où il se sente enfin à sa place!
Merci à tous pour votre soutien.
Ce discours je l’ai eu également pour mon fils (HPI et TDAH), avec la luminosité des classes, et tout le reste!…
j’en ai assez d’entendre que ce sont des cas exceptionnels… NON, la MAJORITE des enseignants (ne leur en déplaise) et directeurs d’école (c’est les même!) réagissent de cette façon, et une MINORITE se démène pour que tout ce passe bien (le directeur de l’école est sympa, mais comme il n’est pas le supérieur des enseignants, il ne peut que déplorer…).
La majorité qui ne fait pas son travail est récompensé (c’est bien vous faites rentrer les enfant dans un moule, même s’il faut couper un ou bras!), la minorité qui se démène est dénigrée (faut pas se leurrer, hein c’est par les collègues, qui voient en eux une menace de leur train train quotidien), et beaucoup passent de l’autre coté par lassitude.
A leur décharge, comment l’administration berceau de non-sens, de la déshumanisation, des quotas et chiffres, et de l’application à la lettre de circulaire qui se contredisent et pondues par des technocrates assis dans leur fauteuil en cuir, qui promeut l’évolution à l’usure (au bout d’un moment, même incompétent, ton ancienneté te fait évoluer…) bien loin des réalités de se monde, pourrait produire autre chose que des enseignants sans aucune créativité, prompt a respecter le règlement et a se complaire dans le conformiste, (qu’il confondent d’ailleurs avec l’égalité!)
En Allemagne, l’enseignant, doit se mettre à la portée de ses élèves, sinon il commet une faute professionnelle, il n’est respecté par ses élèves que s’il agit de façon respectueuse, il a tout a prouver, son implication, sa bonne volonté, sa créativité, le système est coopératif entre enseignants et élèves… si les enfants échouent, la première personne remise en cause est l’enseignant, pas l’élève (contrairement à la France ou l’enseignant n’est jamais JAMAIS inquiété, même si tous les élève ont un piètre niveau, on dit c’est la faute de TOUS les parents!)…
Alors oui il est mieux payé que l’enseignant français, mais on lui en demande plus! Et surtout on lui demande un résultat, mieux payés, mais plus efficaces!
Malheureusement, quand dans la même phrase une enseignante de 30 ans de métier est capable de dire qu’elle « est une professionnelle de l’éducation, et de la pédagogie » et que « l’on a pas a remettre en cause ses méthodes efficaces, parce qu’on y connait rien », et que « malheureusement nous ne sommes pas formés, et n’avons pas le temps de nous occuper des cas spécifiques », on comprend vite…
Personnellement, à part l’enseignante de cette année de CM1 (et encore ce n’est pas la panacée), et le maître de maternelle, dans l’école de mes enfants, ils sont tous comme décrit dans le billet!! Alors NON, on ne peut pas parler d’une minorité!
bon courage beut.
C’est complètement dingue mais tellement vrai (hélas) ! C’est histoire est représentative de notre « belle » éducation nationale aujourd’hui. Heureussement, tous les professeurs des écoles ne réagissent pas ainsi….de l’espoir…
Bonsoir,quelque part ça me soulage de lire tous vos message, je ne suis pas la seule. Mais ça me désespère que nous soyons obligé de nous battre comme des lions pour nos petits zébrés. Cela fait trois ans que je me bat en disant que mon fils s’ennuie, personne ne m’écoute. il est suivi pour trouble du comportement depuis qu’il a 16 mois. J’ai même été accusé de ne pas l’élever correctement. Le fait d’être mère célibataire n’arrange rien. « il ne sait pas se tenir en classe, surtout pas de passage anticipé car immature, faut lui poser des limites etc… »j’en passe et des meilleures. J’oubli de dire qu’il a entre 2 et 6 punissions par jour et étais persuadé d’être un vilain garçon. Pourtant à la maison, il est très sage, pendant les journée du patrimoine il écoutaient les guides plus attentivement que des adultes et posaient des questions surprenantes. Au centre de loisir, il a tout les temps la bougeotte. A force que je dise pour qu’ils fassent quelque chose d’intellectuel. Une animatrice est venue me voir extrêmement surprise car il est resté plus d’une heure sur sa chaise sans bouger à fabriquer et décorer son masque (qui en passant était le plus beau). Ma réponse a été : » je sais, enfin vous le remarqué ». Cette semaine j’ai fait le test malgré les oppositions de tout le monde. mon filsqui aura 5 ans dans 3 semaines est à 138, qu’il est parfaitement équilibré et n’a besoin d’aucun suivi psy pour l’instant, le temps. je cherche une école a petit effectif qui pourrait l’accepté avec sa différence. je suis prête à tout quitter car mon fils souffre trop. c’est trop dur pour moi.