Du bon usage des tests d’intelligence (Le journal des femmes, mai 2013)

Arielle AddaLa chronique d'Arielle Adda pour du mois de mai 2013 vient d'être mise en ligne sur le Journal des Femmes :-D

 

Intitulée "Du bon usage des tests d'intelligence", elle sera sans aucun doute d'une grande aide pour de nombreux parents perdus dans les méandres des compte-rendus ;)

 

Arielle Adda, grande psychologue spécialiste du haut potentiel intellectuel est l'auteure de 2 ouvrages de référence :

 

     

 

POUR lire la CHRONIQUE :arrow: c'est ici !

 

 

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6 commentaires à “Du bon usage des tests d’intelligence (Le journal des femmes, mai 2013)”

  1. Rainbow dit :

    Excellentes et précieuses explications.

  2. Vertedeterre dit :

    Effectivement, à la lumière de ces précisions j’y vois plus clair ! :)

  3. POK dit :

    Très intéressant il est vrai. Mais alors quelle est la valeur de ces tests si les enfants qui sont doués peuvent ne pas les réussir…

    • ceux qui les réussissent au delà d’un certain point sont doués
      Juste c’est la réciproque qui n’est pas tjs vraie

      Les tests au départ sont là pour étalonner la population… l’ensemble de la population. Pas pour étalonner des HP/THP :-)

      De plus, être (T)HP c’est plus qu’un QI, qu’un chiffre.
      On peut avoir un test >130 et être simplement brillant ou rater un test pour x raisons et être HP

  4. babbaluci dit :

    Encore plus perplexe que POK. Si j’ai bien compté, les enfants doués peuvent échouer partout sauf à l’échelle verbale. Pour la «Vitesse de Traitement» ça semble même un bon signe s’ils obtiennent une note affligeante. Quant aux résultats au ‘’Raisonnement Perceptif‘’, ils sont « beaucoup plus aléatoires ». « Quant aux deux autres items, les enfants doués risquent de ne pas donner toute leur mesure » et « Les résultats à la Mémoire de Travail sont parfois un peu faibles ». Total?
    Avec toute l’estime que j’ai pour Arielle Adda, j’ai l’impression qu’elle était dans un jour « sans » lorsqu’elle a écrit cette chronique.
    Mais on la retrouve à la fin, quand elle parle des « enfants doués aux mille facettes scintillantes et qu’on ne saurait donc réduire à de simples chiffres, si élevés soient-ils. »

  5. Elsa dit :

    Il y a quelques semaines, j’ai assisté à une intervention du vice-président de l’AFEP, au cours de laquelle celui-ci a notamment, comme Arielle Adda dans cet article, expliqué la lecture des résultats du WISC IV.
    Le chiffre importe peu. On peut effectivement ne pas parler de précocité au-delà de 130, et de précocité en-deçà.
    Les indices « marqueurs » de la précocité sont des notes comprises entre 15 et 19 pour les trois subtests de l’ICV: similitudes, vocabulaire et compréhension verbale. L’ensemble des autres subtests permet de détecter le fonctionnement de chacun et les éventuels troubles auxquels il faut remédier. Ainsi une note inférieure à 13 en cubes dénote un problème visuo-spatial auquel on remédie en faisant appel à l’orthoptie et/ou l’ergothérapie. Une note inférieure à 13 en code (la fameuse IVT) appelle une rééducation en graphothérapie ou psychomotricité.
    Les « mille facettes scintillantes » de nos enfants :) brillent parce que chacun d’entre eux a son mode de fonctionnement propre…



:) :-D 8) :oops: :( :-o LOL :-| :-x :-P :-? :roll: :smile: more »

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