Parents-enfants. « Éviter de surinvestir une précocité » (Ouest-France, avril 2015)

Monique de Kermadec, psychologueJe partage en cette fin de lundi de Pâques un article sur la précocité intellectuelle chez les enfants.

 

Paru ce jour dans Ouest-France, il reprend des réponses données par la psychologue/psychanalyste Monique de Kermadec, à quelques questions assez sommaires : "Parents-enfants. « Éviter de surinvestir une précocité »" :-|

 

Comment diagnostiquer et vivre avec un enfant surdoué ?

Entretien

Qu'est-ce qui montre qu'un enfant est doué ?
Déjà, la grande curiosité d'un enfant qui va poser beaucoup de questions en faisant des liens très précis entre son monde et celui qui l'entoure. Sa capacité à faire des commentaires d'adulte qui ne correspondent pas à son âge, avec beaucoup de logique et un langage très approprié. Et puis une très grande mémoire : le petit surdoué est une vraie encyclopédie !

Ensuite, à l'école ?
L'enfant montre un grand intérêt à savoir lire très tôt. Ce n'est pas aussi vrai pour l'écriture. Il va se passionner pour des sujets complexes, par exemple l'astronomie, l'archéologie, l'Égypte ancienne. Sans oublier l'attachement aux jeux de construction ou créatifs complexes. Il adore également discuter avec les adultes car il veut, auprès d'eux, comprendre un maximum de choses.

 

 

POUR LIRE la SUITE de l'ARTICLE :arrow: c'est ici !

 

Elle est l'auteure de ces 3 ouvrages sur le surdouement :
- "L'adulte surdoué, apprendre à faire simple quand on est compliqué"
- "Pour que mon enfant réussisse, le soutenir et l'accompagner"
- ainsi que "Le petit surdoué de 6 mois à 6 ans"

 

   

 

 

 

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9 commentaires à “Parents-enfants. « Éviter de surinvestir une précocité » (Ouest-France, avril 2015)”

  1. Gabrielle dit :

    Un titre qui ne veut rien dire quand on lit l’article ensuite… Au contraire, la précocité demande un surinvestissement, qu’on le veuille ou non ….

  2. Tesrathilde dit :

    Effectivement c’est assez sommaire ! ^^ Je n’ai pas pour autant noté de choses choquantes dans ce que j’ai lu ; ça m’a paru bien trop court pour être intéressant, du coup c’est très survolé, mais je ne vois pas non plus de gros dégâts à l’horizon. La seule chose de vraiment dommage c’est qu’elle est uniquement dans le côté « n’en faisons pas trop… », j’ai l’impression qu’elle tenterait de brider un enfant précoce si elle en croisait un ! :o

  3. Gwennaëlle dit :

    Je pense que « sur-investir » est variable d’un parent à l’autre. Donc je pense que sa démarche et d’attirer l’attention des parents sur l’épanouissement de l’enfant (et ceci quelque soit son potentiel!)

  4. bastien dit :

    Sommaire :?: le mot est faible :!:
    Les articles mensuels d’Arielle Adda dans le Journal des Femmes, m’ apprennent toujours quelque chose :up: , celui-ci rien :(

  5. Valérie U dit :

    Pour ma part, il n’y a que la dernière question qui soit discutable. Le laisser aller des parents ou la pression, il n’y a pas de juste milieu. On ne peut, je pense, laisser son enfant livré à lui même car zèbre, il me semble important de l’accompagner, le soutenir et le « nourrir »…. Sans pour autant tomber dans un sur investissement.
    Pour le reste, elle ne nous apprend rien de nouveau sous le soleil.
    Cela m’intéresse la manière de gérer un zebrillon et un enfant non zèbre (bien que des signes s’annoncent)si vous avez des conseils de lectures…ma grande en plein bilan a tendance à mettre une sacrée pression sur sa soeur qui selon elle  » devrait DEJA savoir lire en moyenne section comme elle ». :-?

  6. Je suis surprise qu’une dame telle que Monique Kermadec demande aux parents de s’adresser premier à l’instituteur… :oops: Quand je lis des parcours tortueux, quand on lit comme certains enseignants prennent un malin plaisir à faire souffrir certains élèves, parce qu’ils estiment, qu’eux, ils savent mieux que quiconque qui est précoce, et que ce n’est pas le test de psy spécialisés qui fait foi… Heureusement que d’autres sont aussi sur le parcours de nos enfants, attentifs et faisant du mieux qu’ils peuvent pour les aider…

    Alors je m’étonne de lire cela…quand je pense que ma grande a été diagnostiquée, parce qu’en quasi échec total en seconde…pas parce qu’un instit ou enseignants du collège, durant tout son parcours, ne s’est posé la question !!! Même constat chez mon 3ème, actuellement sur la mauvaise pente en seconde…tiens-tiens, bizarre, encore en seconde, la classe qui « ne pardonne pas »… :-D synonyme souvent d’échec pour les précoces non diagnostiqués …

    Maman de famille nombreuse, enseignante en congé depuis « longtemps », parce que je ne colle pas à l’étiquette, et ne souhaite pas devenir autre juste pour appliquer les programmes, je m’occupe des mes 2 petites dernières, en pratiquant l’IEF en Montessori pour coller à leurs besoins spécifiques…et ne pas tenter le diable à l’école traditionnelle…je ne vais pas attendre qu’elles soient abîmées… je préfère leur inculquer les bases à leur rythme et dans la bienveillance…pas folle, la guêpe ! :-D

    Pareil, ça n’est pas le pédiatre qui m’a demandé d’aller voir une psy pour faire tester ma numéro 4…
    La seule chose que je trouve intéressant qu’elle mentionne dans cet article est de leur donner confiance en eux… mais c’est rarement à l’école qu’ils l’acquièrent ! c’est plutôt souvent là qui la perdent…
    voilà pourquoi je pratique à la maison, souhaiterais ouvrir une école Montessori + d’autres choses à ajouter que j‘ai en tête…mais, dernièrement, la mairie où j’habite m’a signifié qu’elle n’était pas favorable que j’ouvre une petite structure privée à la maison, dans une grande pièce que je voulais aménager…j’avais déjà des élèves prévus (certains précoces, d’autres non)… en attendant de trouver un local, je vais déjà faire des ateliers pour proposer à ma petite échelle, une aide hebdomadaire aux enfants en souffrance scolaire, aux parents perdus, parce qu’on ne reconnaît pas la spécificité de leur enfant, ni leurs besoins différents… parce qu’en ateliers , tels que je les ai déjà pratiqués dans l’Est de la France, avant mon déménagement dans le sud il y a peu, j’ai pu voir des enfants, scolarisés, courir dans l’escalier (moi, je stressais de peur qu’ils ne tombent) pour commencer le plus vite possible des exercices d’orthographe, de grammaire (oui, oui !!!), des maths et plein d’autres trucs…et ne plus vouloir partir… :)

    Alors, ne pas surinvestir, je ne comprends pas vraiment :-? …ce sont les enfants qui nous tirent, ce ne sont pas les parents qui poussent leur progéniture, foi de maman d’enfants eip….

  7. alba dit :

    C’est vrai que le titre laissait entrevoir un point de vue intéressant à creuser, mais rien… Décevant. Et surout, fausse accroche du titre.

  8. Naturelle dit :

    Pour ma part, je me suis demandée, à la lecture du titre, si l’auteur de l’article parlait du surinvestissement auprès de l’enfant et de ses besoins, ou dans la compréhension du haut potentiel, ou dans un basculement de l’ego du parent (du fait du don de l’enfant) ou dans pousser son enfant pour qu’il soit le meilleur.

    J’aurais bien aimé avoir un peu plus à me mettre sous la dent, le titre m’intéressait car je pensais y voir des choses nouvelles. Je partage votre avis.

  9. Dubois dit :

    Bonjour,
    Certains parents d’enfants eip ou pas, sur-investissent leurs enfants d’activités / apprentissages. C’est à la mode.
    L’alerte est donnée quant aux EIP qui sont ultra-sensibles à tout et par conséquent à tout mauvais traitement.



:) :-D 8) :oops: :( :-o LOL :-| :-x :-P :-? :roll: :smile: more »

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