Ils sont trop… (Psychologies, mai 2015)
Le magazine Psychologies a mis en ligne un article dans lequel il est, entre autres choses, question de surdouement 
Plus, trop, ... 
Au sommaire : "Trop sexy", "Trop riche", "Trop intelligent", "Trop douée", pour conclure par "l’avis de l'expert", qui n'est ni psychiatre ni psychologue.
Yannick Le Jan est en effet psychanalyste & psychothérapeute & il explique, sans grande surprise n'est-ce pas, que "le complexe de supériorité repose toujours sur un sentiment d’infériorité" 
Bref, dans la section "trop intelligence", le cas d'un jeune homme français ayant obtenu son doctorat à 23 ans est exposé. On nous le présente avec un QI de 222... sur échelle de Cattell bien sûr 
Ils sont trop… …Sexy, riche, intelligent, doué. Ces qualités que nous pourrions leur envier, eux les portent comme un fardeau. Et les incite au retrait. Confidences.
[...] Trop intelligent
Xavier, 24 ans, docteur en psychologie expérimentale.
A 3 mois, il passait un test qui révélait une capacité de développement intellectuel hors normes. Adolescent, il était reconnu "surdoué", avec un QI de 222 (1). Il a obtenu son doctorat à 23 ans. Depuis six mois, Xavier travaille à Marseille comme docteur en psychologie expérimentale, spécialisé dans les tests et le suivi des enfants surdoués.« Dès la petite enfance, je ne me suis senti bien qu’avec les adultes. Mais c’est à partir du collège que ma différence m’a vraiment posé problème. L’enseignement scolaire ne m’intéressait pas. En revanche, je me suis très tôt découvert une passion pour l’aviation militaire de la Première Guerre mondiale.
[...] 1- Sur l’échelle de Cattell, destinée au calcul des quotients intellectuels dépassant le seuil maximal de 155 sur l’échelle de Wechsler, traditionnellement utilisée.
Échelle de Wechsler, échelle de Cattell ? quelles différences ? (à noter que l'échelle de Wechsler va jusqu'à 160, & non 155 comme l'affirme l'article) 
Tout est dans ce billet : « Distinction importante entre échelle de Wechsler & échelle de Cattell » 
POUR LIRE la SUITE de l'ARTICLE 
c'est ici !
3 commentaires à “Ils sont trop… (Psychologies, mai 2015)”
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Article très intéressant et décrivant assez précisément les différents sentiments des « personnes » qui sont trop !
L’explication du « psychologue » est pitoyable. Il est clair que c’est plutôt lui qui souffre d’un complexe d’infériorité compensé à l’excès….
« Pour reprendre la définition d’Alfred Adler (…) » ; « Mais, toujours selon Adler, (…) ». N’en voulez pas à ce psychothérapeute et psychanalyste, il cherche simplement à percer par l’effort de ses aptitudes personnelles à comprendre, par lesquelles il peut appliquer ses cognitions sur une situation unique et spécifique sans la maculer, ainsi, d’une dissonance interprétative. Outre sarcasme, quand on se sent mal, on cache en fait que l’on se sent mieux que bien. C’est évident. Bref. Outre outre-sarcasme cette fois, j’ai le sentiment que certaines personnes incommodées par des gens qu’elles se représentent dysharmonieusement supérieurs à elles-mêmes projettent leur propre manquement psychologique (qu’elles jugent comme tel) sur l’autre. Ainsi, « Je me sens intolérablement inférieur » devient « Il a un complexe de supériorité », d’ailleurs aussi facilement que « Je ne comprends pas » devient : « Il est trop compliqué ».