En ce dimanche de fête des mères en France (joyeuse fêtes les mômans de tous horizons ), dernier jour du mois de mai, je partage une étude publiée dans l'International Journal of Psychophysiology qui met en évidence le fait que la qualité du sommeil impacte directement les performances cognitives de tous les enfants

Ainsi une nuit de mauvais sommeil, de sommeil troublé, écourté, etc. diminuerait de manière significative les performances aux tests psychométriques, tant chez les enfants présentant un TSA (pour Trouble du Spectre Autistique, c'est à dire les enfants avec autisme) que chez les enfants neurotypiques !

Menée par des chercheurs québécois de l'Hôpital Rivière-Des-Prairies (le HRDP) associés à l'Institut universitaire en santé mentale de Montréal & à l'Université de Montréal, cette étude a été relayée par Canoe.ca au Canada & Techno-Science.net en France

L'article publié sur Canoe : "Enfants: un manque de sommeil affecte l'intelligence"

MONTRÉAL - Une nouvelle étude québécoise confirme qu'une mauvaise nuit de sommeil réduit de manière considérable les performances aux tests d'intelligence des enfants autistes et des enfants qui ne présentent aucun diagnostic particulier.

Des chercheurs de l'Hôpital Rivière-des-Prairies associés à l'Institut universitaire en santé mentale de Montréal et à l'Université de Montréal ont observé l'électroencéphalographie de 13 enfants autistes et de 13 enfants pour lesquels il n'y a aucun diagnostic en particulier, et ils ont noté que des perturbations dans les ondes cérébrales protectrices du sommeil étaient associées à des résultats inférieurs aux tests verbaux de quotient intellectuel.

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Celui publié il y a quelques heures sur Techno-Science : "La qualité du sommeil influence les performances cognitives des enfants autistes"

Une nuit de mauvais sommeil diminue significativement les performances aux tests d'intelligence des enfants autistes (TSA) mais également des enfants neurotypiques (sans trouble du spectre de l'autisme). C'est la conclusion à laquelle en viennent les chercheurs de l'Hôpital Rivière-des-Prairies (HRDP), associés à l'Institut universitaire en santé mentale de Montréal et à l'Université de Montréal.

Dans un article paru dans l'International Journal of Psychophysiology, les chercheurs rapportent, à la suite de l'observation de l'électroencéphalographie de 13 enfants autistes et de 13 enfants neurotypiques (sans déficience intellectuelle, sans problème de sommeil, sans médication, avec une moyenne d'âge de 10 ans), que des perturbations dans les ondes cérébrales protectrices du sommeil étaient associées à des résultats inférieurs aux tests verbaux de quotient intellectuel.

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& enfin, pour retrouver l'étude d'origine, en anglais sur l'International Journal of Psychophysiology : "Intelligence measures and stage 2 sleep in typically-developing and autistic children"