L’adulte doué & ses parents (Arielle Adda pour le Journal des Femmes, mai 2016)

Quand les enfants doués paraissent s'éteindre au fil des ans (Arielle Adda dans le Journal des Femmes, février 2016)Le joli mois de mai est bien entamé, mais pas encore arrivé en son milieu :!:

 

Cela ne vous aura pas échappé...

 

Pourtant, comme le 15 tombe un dimanche (demain, donc ;) ), la chronique mensuelle d'Arielle Adda est en ligne dès maintenant :-D

 

Le thème de ce mois-ci "L’adulte surdoué & ses parents" :up:

 

Un texte particulièrement beau & touchant qui, j'en suis sûre, fera écho chez de nombreux adultes ayant appris leur surdouement sur le tard :(

 

Les premières lignes du texte :

 

Quand, après de longues recherches, des tâtonnements, de rencontres pas toujours efficaces avec des personnes sensées l’écouter et l’aider, un adulte découvre qu’il fait partie des personnes douées, il se demande inéluctablement comment se comporter vis-à-vis de ses parents.

Il lui a fallu un peu de temps pour accepter cette idée, mais, avant même d’en saisir véritablement toute la portée, il songe à ses parents. Grâce à l’éclairage fourni par cette découverte, il les voit différemment, il comprend mieux des aspects, parfois surprenants, de leur comportement et il commence à s’interroger sur sa façon d’être désormais avec eux. Il aimerait se hasarder à évoquer avec le plus de tact et de discrétion possibles l’hypothèse d’un don intellectuel qui les concernerait eux aussi.

Il faut rester d’une prudence de sioux pour tenter d’entamer sans provoquer de dégâts trop meurtriers des défenses échafaudées durant des décennies. Dans le meilleur des cas, cette révélation peut entraîner une nouvelle forme d’entente, plus subtile et complice : ce parent ou ces parents qui ont été révélés à eux-mêmes par leur enfant se réconcilient avec des aspects de leur propre personnalité qu’ils ne comprenaient pas bien, ils savent désormais pourquoi certaines personnes les hérissent et pourquoi ils se sentent si heureux avec d’autres.

 

 

POUR lire la SUITE de la CHRONIQUE du MOIS :arrow: c'est ici !

 

 

:idea: Arielle Adda est également l'auteure de ces 3 livres de référence sur les personnes surdouées, qu'elle bilante, aide & écoute depuis des années :

- "Adultes sensibles et doués. Trouver sa place au travail et s'épanouir" (ma critique est à retrouver sur ce billet)

 


Cliquez sur la couverture du livre pour plus
de détails pour pour commander "Adultes sensibles & doués.
Trouver sa place au travail & s'épanouir"

 

 

- "L'enfant doué : l'intelligence réconciliée"
- "Le livre de l'enfant doué : le découvrir, le comprendre, l'accompagner sur la voie du plein épanouissement"

 

     

Cliquez pour ouvrir        Cliquez pour ouvrir

 

 

 

:arrow: & je vous conseille la lecture de ces billets que j'ai publié sur le blog; parmi les nombreux que j'ai écrit à propos des adultes surdoués :
- "Adulte surdoué, questionnements à propos du test"

 

- "Tout ce que vous avez toujours voulu savoir sur le Wais (IV)"

 

- "Comment est construit un test de QI ?"

 

- "Pourquoi je n’en parle pas dans la vraie vie ?" (en 2 parties)

 

- "Coming-out intellectuel… faut-il parler de son surdouement ?"

 

- "Ces drôles de zèbres (France Culture, novembre 2015)"

 

- "Moi, surdoué ? Vous plaisantez ! (Migrosmagazine.ch, août 2012)"

 

- "Questionnements parmi les plus répandus dans vos courriers à propos de surdouement, tests psychométriques, sauts de classe, …"

 

- "Petit lexique en lien avec le surdouement à l’usage des néophytes"

 

 

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4 commentaires à “L’adulte doué & ses parents (Arielle Adda pour le Journal des Femmes, mai 2016)”

  1. Gaelle dit :

    Chronique intéressante ! La relation parent-enfant est tout aussi délicate lorsque c’est le parent qui est hpi. Être enfant de zèbre, ce n’est pas simple (je sais de quoi je parle :-D ) mais ce n’est jamais abordé nulle part. À quand une chronique sur ce thème ? :)

  2. Elsa dit :

    Texte magnifiquement écrit, lu au travers d’irrépressibles larmes…
    Je repousse l’idée du test qui pourtant me taraude presque quotidiennement. La crainte…de quoi ? Peut-être d’avoir cru que…?
    Il y a quelques années maintenant, ma toute première lecture à la découverte du haut potentiel de mon fils a été le livre de Jeanne Siaud-Facchin, et au-delà de mon fils, de peut-être moi (?), de mon mari, j’y ai reconnu mes parents, notamment dans certaines conséquences de comportement et de personnalité que je considérais auparavant comme pénibles mais que je regarde désormais autrement.

  3. tantemob dit :

    Superbe article ! Je suis en plein de dedans !
    Révélée il y a 1 an, mes parents ne sont toujours pas au courant de ma douance… pas facile de trouver LE moment pour lancer le sujet !!

  4. thrity-one dit :

    Je ne comprends ce qu’il y a à révéler d’un coup d’un seul.Est-ce un secret? Est-ce précieux? Se montrer progressivement (ou pas) tel que l’on est vraiment, ça oui: montrer ses intérêts, son caractère, parler de ses projets, s’indigner ouvertement,montrer sa sensibilité… Mais dire « j’ai un potentiel intellectuel élevé »?!Cela me semble présomptueux si tout le reste n’est pas venu avant. Dans mon cas mes parents ne sont pas comme moi, mais s’ils l’étaient, je leur offrirais des livres sur la question, je suis « infoutue » d’expliquer quelque chose qui me concerne ; )



:) :-D 8) :oops: :( :-o LOL :-| :-x :-P :-? :roll: :smile: more »

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