L’école en difficulté face aux surdoués (Les Nouvelles Calédoniennes, décembre 2010)

Le mercredi 1er décembre 2010, le magazine en ligne les Nouvelles Calédoniennes publiait un article intitulé "L’école en difficulté face aux surdoués".
Voici un extrait de l'article :

 

La précocité intellectuelle chez l’enfant peut devenir un handicap si son environnement ne répond pas à ses besoins particuliers. L’Education nationale offrant peu de solutions, la scolarité de ces élèves devient un véritable parcours du combattant pour les parents.

Les chiffres sont éloquents : entre 2 et 5 % des enfants sont surdoués (en fonction de la fourchette de QI prise en compte). Le sujet est particulièrement sensible en Calédonie, en partie en raison de l’absence de solutions proposées par notre système scolaire à ces enfants « différents ». « Il faut intégrer que l’enfant surdoué n’est pas un enfant sur-intelligent, quantitativement plus efficient, mais un enfant à l’intelligence qualitativement différente », pose d’emblée Jeanne Siaud-Facchin, psychologue clinicienne, tout en poursuivant : « A l’école, la différence de son mode de pensée, de ses procédures de raisonnement, de sa logique mathématique décale cet élève de ce qui est attendu par l’enseignant et le pénalise lourdement. »

 

 

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3 commentaires à “L’école en difficulté face aux surdoués (Les Nouvelles Calédoniennes, décembre 2010)”

  1. martin dit :

    Bonjour, j’ai lu, un peu en diagonale sur la fin, cet intéressant billet.
    Force est de dire qu’il reflète une réalité qui n’est pas nouvelle, du moins je la vis depuis le début du primaire et je suis désormais en école d’Ingénieurs, cela plus de 10 ans et rien n’a changé !
    Je tiens à souligner que le manque de motivation, dans un système où le nivellement se fait par le bas, est bien dure à trouver. Personnellement je l’ai perdue dès le collège et depuis c’est en sous régime que j’avance. Et les autres hqi ou thqi que je côtoie, moins rares en classes préparatoires, semblent tout aussi déboussolés.
    Qu’attend l’éducation pour valoriser ses meilleurs éléments, pour leur offrir les moyens de réussir, d’avoir des rêves et les outils pour les réaliser ?
    Un tqhi qui vous soutien et suivra désormais la vie des zèbres.

  2. martin dit :

    Ouhhh que de fautes… Je ne me suis pas relu a presque 4h :(
    Cela FAIT… Je tiens à souligner que la motivation et non le manque, pour que la suite ait un sens…
    Bonne nuit !

  3. olivier dit :

    bonjour,,, je m’appelle olivier, j’ai 47 ans, je suis né et vécu en NC jusquà 30 ans… j’étais encore non diagnostiqué hp, à paris depuis une quinzaine d’années j’étais bien parti pour quelque chose : un mal de vivre évident : un monde qui ne me correspondait pas et cette aventure vers l’ailleurs m’a finalement donné raison : je me suis finalement trouvé : HPI mieux vaut tard que jamais n’est-ce pas, j’ai assisté la semaine dernière à ma première conférence de JEANNE SIAUD FACHIN a la faculté…. mais je pensais à LA NC… il y a bien d’autres HP là bas,,, quels sont les moyens pour eux,,, les dispostifs mis en place pour l’enfance précoce etc… juste je suis intéressé de savoir un état actuel des lieux par rapport à cette différence vécue car il est grand dommage pour tous pays de passer à côté d’éléments comme les HP…
    VOILA MERCI A BIENTOT… OLIVIER



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