Ils demandent une attention particulière (La Croix, septembre 2014)

Ils demandent une attention particulière (La-Croix, septembre 2014)Et La Croix publie dans la foulée 2 autres articles, toujours sur le thème des personnes à haut potentiel intellectuel heureuses ;)

 

Mais pour être heureux & bien dans ses baskets un EIP doit être reconnu, valorisé, entouré, accompagné (& je dirais même, aimé, comme il est ! Pour certains parents, regarder son enfant avec bienveillance n'est pas toujours si simple quand celui-ci est hors norme) :up:

 

Les parents doivent souvent s’investir pour assurer le bien-être et le bonheur de leur enfant surdoué.

« LEUR CURIOSITÉ INSATIABLE EST TRÈS PRENANTE »
Sabine et Christian Parents de deux garçons précoces de 9 ans (CM1) et 7 ans (CE1)

« Pierre, notre aîné, allait avoir 6 ans, lorsque j’ai perdu ma mère. Cela a été un énorme choc affectif. Peu après, j’ai perdu mon grand-père puis mon père. Cette période endeuillée a été le détonateur. Pierre est devenu anxieux, perturbé, développant des “tocs”. Nous avons alors consulté un psychologue qui nous a laissés faire notre chemin, évoquant un enfant hyperconscient du monde qui l’entoure, hypersensible. Puis il a proposé de lui faire passer des tests.

 

 

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Et toujours dans La Croix : "Nicolas Gauvrit : « La précocité est une chance et un atout »" :)

 

Pourquoi avez-vous écrit ce livre intitulé "Les surdoués ordinaires" ?
Nicolas Gauvrit (1) : Comme beaucoup de gens, j’ai toujours été fasciné par les enfants précoces et les légendes qui les entourent. Et j’ai constaté qu’il existait beaucoup de publications de qualité médiocre qui faisaient la part belle à des spéculations, menées à partir d’expériences plutôt légères.

Lorsqu’on étudie les enfants précoces, il y a un gros problème d’échantillons qui sont la plupart du temps biaisés et dont il faut se méfier. On a tendance à focaliser sur les enfants surdoués à problèmes, parce qu’ils sont plus facilement détectés, et que leurs parents ont besoin d’aide pour savoir comment les gérer. Tout cela donne une image plutôt pessimiste de la précocité.

 

 

Je vous ai souvent parlé ces dernier mois du livre de Nicolas Gauvrit, "Les surdoués ordinaires".
Juste pour vous rappeler qu'il était l'invité la semaine passé de l'émission la Tête au Carré sur France Inter (à retrouver par ici & que ma chronique concernant son bouquin se trouve par là :roll:

 

 

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6 commentaires à “Ils demandent une attention particulière (La Croix, septembre 2014)”

  1. babim11 dit :

    bonjour!

    dommage ce sont des articles payants (vite, vite appeler papi et mamie qui sont abonnés, pour nous garder le journal :roll: )

    Bonne journée! (très contente de voir que l’année démarre bien pour petit zèbre)

    • A. Zebrounet dit :

      ???
      Je ne suis pas abonnée & peux sans souci lire les 3 articles en intégralité !? :-? (la seule mention du fait de devoir être abonnée m’apparaît ds la phrase « La possibilité de réagir aux articles est réservée aux abonnés » sous les articles).

      Bref, si vous ne parvenez tjrs pas à les ouvrir, envoyez moi simplement un email (zebrounet at gmail.com) :up:

      • babim11 dit :

        Bonsoir!

        En direct ça ne fonctionne toujours pas… par contre en navigation privé tout fonctionne à merveille :roll:

        bonne lecture à ceux qui sont dans la même situation que moi!

  2. CarolineW dit :

    Bonjour,
    Je souhaite apporter un témoignage allant dans le sens de l’article.
    Effectivement les enfants précoces bien dans leur peau existent, j’en ai un à la maison.
    Il a 7 ans, est bien intégré et heureux de vivre. Il a une forte capacité d’adaptation et de résilience .
    La vie à la base ne l’a pas gâté car son père est mort lorsqu’il avait 18 mois.
    Sa grand-mère maternelle ( ma mère donc) l’a violemment rejeté à sa naissance et il n’a pas de grand-père.( l’un est décédé, l’autre inconnu)
    Étant sa seule famille et n’ayant qu’un enfant j’ai été doublement présente. De plus sa scolarité s’effectue dans le privé: par conséquent nous n’avons jamais été confrontés à certains spécimens de l’EN et le saut de classe s’est effectué sans problème sur simple présentation des résultats du test.
    Cela étant je ne crie pas victoire pour autant. Je constate simplement que , pour le moment , il ne semble ni torturé ni rejeté , comme j’ai pu l’être au même âge. Et j’en suis heureuse pour lui.

  3. Valérie dit :

    Moi non plus je n’ai pas accès à l’article… je peux également vous envoyer un email pour le recevoir ?
    Merci d’avance. :-D

  4. Catherine dit :

    Bonjour.
    Cela fait du bien, beaucoup de bien, de lire des articles qui positivent ! A force de parcourir tant de littérature listant les catastrophes annoncées qui attendent au tournant les précoces, j’en viendrais presque à considérer mes deux petits THQI comme des handicapés à l’avenir sombre…
    Juste une petite réaction au témoignage de CarolineW : le privé n’est pas nécessairement garant d’une meilleure écoute, c’est dans le public que l’instit de petite section de mon fils nous a mis la puce à l’oreille quant à une probable précocité, relayée par l’instit de moyenne section, WPPSI pas concluant à 4 ans car mon bonhomme n’a bien voulu coopérer que sur ce qui l’intéressait, les instits nous ont quand même proposé un saut de classe, que l’on a accepté pour notre fille (alors en toute petite section à mi-temsp) non testée, refusé (grave erreur) pour notre fils, déménagement, changement de région et d’école, scolarisation dans le privé, on a attendu cette année (CP et CE1) pour refaire (et faire en ce qui concernait notre fille)) une passation, et levée de boucliers totale à l’annonce des résultats des WISC pourtant très homogènes, directrice obtuse, instits opposantes, rigoureusement aucune connaissance du sujet, bref, miraculeusement une nouvelle directrice a été nommée en toute fin d’année scolaire et a bien voulu prendre les besoins de nos enfants en considération et autoriser le premier saut de notre fils, les deux années en une en double niveau pour accéder au second saut de notre fille (avant de disparaître pour cause de looooong congé maternité, à peine nommée…), donc re-belote, on se bagarre avec l’instit qui assure l’intérim de la direction, les réflexions acides et les idées reçues… Très insatisfaite du privé en ce qui me concerne ! Mais je suis contente pour votre petit garçon et vous-même que votre expérience soit positive.
    Catherine.



:) :-D 8) :oops: :( :-o LOL :-| :-x :-P :-? :roll: :smile: more »

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