Précocité intellectuelle : une histoire de famille (ConsoGlobe, mars 2017)

C'est un petit article paru sur le e-magazine ConsoGlobe, qui traite du haut potentiel d'une manière moins fréquemment envisagée dans les médias : "Précocité intellectuelle : une histoire de famille" :)

 

Car oui, il y a une composante génétique dans le haut potentiel intellectuel :up:

 

Comme dans l'autisme (les Troubles du Spectre Autistique), comme dans le TDA/H (le Trouble Déficitaire de l'Attention, avec ou sans Hyperactivité)...

 

Rien d'aussi binaire que ce que l'on peut parfois lire sur des forums :

 

Un enfant HP a obligatoirement des parents HP - Variante : Un enfant HP a obligatoirement des frères& sœurs HP

 

 

Ou encore :

 

Deux parents HP auront nécessairement des enfants HP

 

 

STOP ! ;)

 

Comme je l'explique dans mon billet "Les préjugés autour de la douance & des adultes à Haut (ou Très Haut) Potentiel Intellectuel", à propos de l'idée que :

 

L'intelligence est-elle innée ou acquise ?

 

 

L'article de ce e-mag est signé Juliette De La Salle, & en voici un extrait :

 

Au sein de la population générale des enfants scolarisés, on compte un à deux enfants précoces par classe (selon les études épidémiologiques). Un quotient intellectuel supérieur à 130 est en partie un héritage familial. Sauf que celui qui lègue n’est pas toujours au courant.

Certains parents découvrent qu’ils sont surdoués après le diagnostic de leur enfant. Une situation parfois difficile à gérer mais qui permet à certaines familles d’avancer.

Précocité intellectuelle : de génération en génération

« Mon grand père était précoce, ma mère aussi. Et Yves, le père de mes enfants l’est aussi. Je le suis également. (…) Alors je dois dire que je n’étais pas trop étonnée quand mes deux garçons se sont révélés à haut potentiel », sourit Anne-Marie , 52 ans, mère de deux grands enfants précoces. Une histoire étonnante qui n’a rien d’une coïncidence.

Le haut potentiel, qui correspond à un Quotient intellectuel (QI) supérieur à 130, est une « question de génétique et d’environnement », explique Caroline Everaere, neuropsychologue au cabinet Arc-en-ciel de Marcq-en-Baroeul (Nord).

 

 

POUR LIRE la SUITE :arrow: c'est ici !

 

 

Les Tribulations d'un Petit Zèbre, le livre du blog !

 

 

 

:idea: quelques articles en lien avec ce thème de la précocité au sein de la famille :

 

- "Ne pas être la plus douée de la famille — Histoire de fratrie (madmoiZelle, août 2016)"

 

- "Surdouée & mère d’enfant surdoué : « J’ai secrètement espéré que mon fils ne soit pas concerné » (L’Express Styles, février 2015)"

 

- "Ces femmes qui souffrent du syndrome de l’imposteur (LeFigaro Madame, septembre 2015)"

 

- "« Il ne suffit pas d’entraîner un enfant pour en faire un surdoué » (L’Express, octobre 2015)"

 

- "Intelligence : elle est davantage transmise par les gènes que par l’éducation (TopSanté, novembre 2014)"

 

- "César, douze ans, bon en tout & particulièrement au tennis (Le Temps, février 2017)"

 

- "Familles zébrées !? Le surdouement est-il héréditaire ?"

 

 

 

Par l'auteure des Tribulations d'un Petit Zèbre

 

 

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1 commentaire à “Précocité intellectuelle : une histoire de famille (ConsoGlobe, mars 2017)”

  1. Aducine dit :

    Et dans les cas des enfants twice exceptionnal? HPI et dyspraxique? Peut-on hériter de l’intelligence du côté de la mère et des troubles dys du côté de son père par exemple? Mon fils de 9 ans : IQV 146 mais VT 108… dyspraxie visuo spatiale compensée en partie, impulsivité motrice et cognitive…



:) :-D 8) :oops: :( :-o LOL :-| :-x :-P :-? :roll: :smile: more »

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