Après une très nette parenthèse durant la période électorale, les articles sur la précocité intellectuelle fleurissent à nouveau !!!

Ce matin, après l'article du Monde qui a mis à l'honneur les adultes surdoués, c'est au tour du Républicain Lorrain de publier sur les enfants : "Précocité intellectuelle : une chance et un casse-tête"
Et demain après-midi, je vous le signale au passage, une émission sur RTL de 15h00 à 16h00 sera consacrée aux adultes doués, avec Monique de Kermadec... mais comme je n'avais pas du tout apprécié la dernière en date (voir le billet qui lui était consacré), j'attendrai d'avoir écouté la teneur des échanges afin de juger si cela vaut ou non la peine d'en dire un mot sur le blog

Les enfants intellectuellement précoces, malgré et/ou à cause de leur QI élevé, se retrouvent parfois en difficulté face à la scolarisation. Photo Julio PELAEZ

Tous les enfants intellectuellement précoces ne nécessitent pas une prise en charge spécifique. Mais pour ceux qui rencontrent des difficultés, notamment dans le cadre scolaire, le casse-tête n’est jamais loin.

Surdoué, cela ne veut rien dire ! », affirment aujourd’hui la plupart des psychologues qui préfèrent la notion de précocité intellectuelle, notamment mise en évidence depuis les années 1970.
Or, si nombre de ces enfants intellectuellement précoces ne sont pas détectés sans que cela pose de problèmes particuliers, dans un tiers des cas environ, il en est autrement. Car ces enfants, qui représenteraient entre 1,25 % et 2,3 % des élèves (soit 5 000 à 9 000 en Lorraine), peuvent également être sujets à des difficultés comportementales ou d’apprentissage se manifestant parfois dès l’école maternelle : difficultés d’intégration à la classe, sentiment d’exclusion, ennui, etc. Autant de manifestations qui débouchent souvent sur de véritables phobies scolaires.

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