Comment faire la différence entre un enfant précoce et un enfant… mal élevé ? (Atlantico, octobre 2013)
En rapport avec le billet de Béatrice Copper-Royer paru sur son blog à propos des enfants intellectuellement précoces (billet que je n'ai pas partagé ici car je l'ai jugé vraiment bien trop court &, finalement, sans véritables informations !), le site Atlantico publie à son tour "Comment faire la différence entre un enfant précoce et un enfant... mal élevé ?"
Avec notamment l'intervention de Monique de Kermadec, psychologue elle aussi & auteure de ces ouvrages :
Un enfant turbulent n'est pas nécessairement surdoué, n'en déplaise à ses parents. Les surdoués ne représenteraient que 2,3% des élèves.
Sur son blog, la psychologue Béatrice Copper-Royer estime que si les enfants précoces ne sont pas plus nombreux qu’autrefois, les parents auraient tendance à davantage interpréter des comportements turbulents comme des signes de précocité (lire ici). Comment faire la différence entre un enfant précoce et enfant mal élevé ?
Pierre Duriot : En effet, les enfants précoces sont parfois inadaptés à leur environnement parce qu’ils ont une perception différente des choses et des comportements, saisissent des situations d’ensemble qu’ils comprennent d’emblée, sans effort, de manière intuitive, dans une école où les cheminements intellectuels sont disséqués, découpés en étapes destinées à faciliter la compréhension de tous les élèves, par paliers successifs.
POUR RETROUVER l'article en INTÉGRALITÉ c'est ici !
8 commentaires à “Comment faire la différence entre un enfant précoce et un enfant… mal élevé ? (Atlantico, octobre 2013)”
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Mais les enfants précoces peuvent aussi être mal élevés…
Aussi, oui !
et oui…!
Je trouve pour ma part qu’il n’y a aucune fierté à tirer du fait d’avoir un enfant précoce, pas plus que l’on ne devrait avoir de remords d’avoir un enfant retardé mental ou de culpabiliser d’avoir un enfant dans la norme. C’est la vie, ce n’est pas nous qui décidons… Mais je trouve aussi que nombre de parents considèrent effectivement leurs enfants comme des mascottes ou des faire-valoir en société, notamment aux âges de la petite enfance quand les tous petits ne sont pas considérés comme des « personnes » mais simplement comme des êtres bien mignons et charmeurs. Cela m’a toujours horripilée chez les autres cette mise en avant du tout petit qui disparaît bien souvent dès que l’enfant est capable de parler et d’exprimer son point de vue, même s’il est normal d’être admiratif de sa progéniture quand on est parents, chez certains cela prend des proportions ridicules voire grotesques…
Idem !
Je suis absolument d’accord avec vous, ça m’horripile également !
idem…
Merci d’avoir relayé cet article à ce jour partagé plus de 1400 fois dans les réseaux sociaux. Bon courage avec le petit zèbre.
Bien cordialement
l’auteur