Rythme de la rentrée difficile? Pour qu’ils s’y adaptent, les enfants aussi peuvent se mettre à la méditation (Le Huffington Post, septembre 2015)

Rythme de la rentrée difficile? Pour qu'ils s'y adaptent, les enfants aussi peuvent se mettre à la méditation (Le Huffington Post, septembre 2015)Le Huffington Post a mis en ligne un article très intéressant sur la gestion du stress, des angoisses, des tourments en tous genres particulièrement présents en cette période de rentrée scolaire :up:

 

Les enfants (tout aussi aussi valable pour les adultes :roll: ) à haut ou très haut potentiel intellectuel, étant souvent dotés d'une grande sensibilité, sont particulièrement sujets à ces pensées envahissantes :(

 

Le Huff suggère la solution consistant à se relaxer par le mindfulness (c'est à dire la méditation de pleine conscience) :-D

 

J'avais fait une critique du livre de Jeanne Siaud-Facchin, "Tout est là, juste là", consacré à la méditation. A retrouver dans ce billet ;)

 

Quelques lignes de l'article du Huffington Post :

 

BIEN-ETRE - A la rentrée, chacun de nous retrouve son travail, son école mais aussi parfois certains petits soucis. Les enfants, notamment, peuvent souffrir d’anxiété ou de stress. C’est peut-être l’occasion de mettre en place des habitudes saines pour son mental et son corps comme le yoga et surtout la méditation. Cette dernière est particulièrement bénéfique et de plus en plus populaire. Pour que la pratique se développe bien, il faut cependant rester vigilant, notamment en intégrant les parents à la démarche, en choisissant des instructeurs de qualité et en trouvant le bon dosage entre le guidage et le jeu.

Les premières semaines de la rentrée scolaire sont souvent à l’origine d’une certaine anxiété pour les parents mais aussi les enfants. Les emplois du temps des plus petits commencent à se remplir et les troubles du sommeil ou du comportement apparaissent pour certains. Comme nous, ils vivent à cent à l’heure et ce rythme fou a un coût. Mais pas la peine de dramatiser pour la très grande majorité des cas ou de se tourner vers une médicalisation.

Un moment pour qu'ils soient plus calmes, plus vigilants

Des pistes existent pour aider pour les enfants à ce qu’ils se vivent mieux dans ce contexte: la méditation de pleine conscience ou mindfulness! Car ce n’est pas réservé aux adultes en proie au stress, burn-out, anxiété.

 

 

POUR LIRE la SUITE :arrow: c'est ici !

 

 

:idea: & tous les ouvrages dont il est question & qui traitent de mindfulness, en commençant avec mes préférés :-D

 

Les fabuleux ouvrages signés Eline Snel :
- "Calme & attentif comme une grenouille" :hearts:
- "Respirez : la méditation pour les ados & leurs parents"

 

     
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Les 2 livres signés Jeanne-Siaud-Facchin :
- "Tout est là, juste là", celui qui m'a réconciliée avec la méditation :smile:
- "
Comment la méditation a changé ma vie...: et pourrait bien changer la vôtre !"

 

   
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D'autres références pour les enfants, par Clarisse Gardet & Susan Kaiser Greenland :
- "J'apprends à être zen"
- "Un cœur tranquille & sage (+CD)"

 

   
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Et enfin 2 dernier bouquins, signés Thich Nhat Hanh & Jon Kabat-Zinn :
- "Commencer à méditer"
- "Méditer : 108 leçons de pleine conscience"

 

   
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4 commentaires à “Rythme de la rentrée difficile? Pour qu’ils s’y adaptent, les enfants aussi peuvent se mettre à la méditation (Le Huffington Post, septembre 2015)”

  1. Coralie dit :

    Je suis assez d’accord avec le fond de l’article… Ayant eu une vie très « stressante », j’ai été très heureuse à certaines périodes de pouvoir m’appuyer sur des techniques de méditation et de respiration qui m’ont permises de gérer le flot (et parfois même le tsunami) des émotions et du stress. Très bon aussi pour gérer la réaction purement physique (shoot d’adrénaline qui peut avoir ses bons et ses mauvais côtés) au stress.
    Maintenant, je sais que le mindfullness, aka la méditation de pleine conscience, a le vent en poupe en ce moment, que le yoga est très hype aussi tout en ayant une connotation très « aware » et je ne souhaite en aucun cas critiquer ces deux pratiques – d’autant que ma Puce à commencé le yoga il y a quelques mois pour apprendre des techniques de respirations et de méditation qu’elle ne voulait pas accueillir de ma part – de la même manière que la sophrologie était très à la mode à une certaine époque, mais AMHA on ne parle assez ni du Tai Chi Chuan (ou Tai Ji Quan) et du Qi Gong.
    J’en parle car, en fonction des profils des personnes, des pratiques « statiques » ne sont pas toujours ce qui convient à chacun – bien entendu, on peut également ajouter la pratique de la méditation Zen et aussi le Za Zen dans la catégorie des pratiques « statiques » – et même si on ne peut pas dire que le Yoga soit à proprement parler « statique » par rapport à la méditation Zen.
    J’aime à dire et à penser que la méditation c’est comme pour un psy : il faut en essayer plusieurs jusqu’à ce que l’on trouve celui avec lequel ça clique en soi, ce qui provoque une résonnance en soi, là où l’on sent que les pièces glissent en place toutes seules à l’intérieur de soi, que l’on ressent cette sérénité.
    Si cela devient une « lutte » intérieure, alors c’est que l’on n’est pas prêt ou que ce n’est pas la bonne méthode.
    Personnellement, j’ai ressenti ce phénomène lorsque, après avoir fait 3 ans de yoga et où c’était « dur » en raison d’une espèce de « résistance » intérieure, j’ai essayé le Tai Ji pour la première fois… Là où je « luttais » pour chacune des positions en yoga, mon corps se détendait de lui-même et les mouvements se suivaient en toute fluidité alors que c’était la première fois que je faisais du Tai Ji.
    Mais il est vrai que j’ai toujours préféré le « mouvement », même pour la réflexion… Je dis souvent en plaisantant (jeu de mot souvent obscur pour la plupart des gens) que je suis une « péripatéticienne » [dans le sens aristotélien (?) / aristoticien (?) du terme], j’entends par là que lorsque j’ai un problème à résoudre, je préfère sortir faire une longue promenade plutôt que de rester assise/enfermée et lorsque je rentre les pas égrenés ont permis à une solution de remonter, et après à moi de mettre un habillage formel autour pour justifier de /démontrer la solution.

    Comme j’ai dit plus haut, en aucun cas une critique pour les deux techniques citées dans l’article (yoga et Mindfullness), juste un retour d’expérience personnelle :-)

    • superbes rayures dit :

      ton texte est très intéressent je sais juste pour ma pars que j’ai essayé le yoga je n’arrive pas à lâché je pense que j’en suis incapable et j’aimerai tellement y arriver peut-être un jour qui sait??

      • Coralie dit :

        Et peut-être essayer autre chose ?

        Tout en continuant le yoga ? Ou alors s’accorder une pause en yoga et s’autoriser de nouvelles explorations/méthodes ? La rentrée scolaire s’y prête d’autant mieux que les nouvelles inscriptions commencent maintenant et que généralement on a toujours droit à 1 ou deux cours d’essai gratuit.

        Juste une réflexion en passant à vous lire :-)

  2. sandy dit :

    Bonjour,
    je viens de m’initier au reiki et donc de passer mon premier degré. On commence par de la méditation mais ce n’est pas une obligation afin de se centrer sur soi même. Puis par impostion des mains sur soi et sur les autres (notamment les enfants qui sont très réceptifs), on fait circuler les énergies positives.
    Je me sens ainsi depuis un mois plus apaisée, sereine, je relativise plus et puis lorsqu’un problème se présente, je gère beaucoup mieux, j’en fais plus « une montagne » comme avant. C’est un réel bien être quotidien pour toute la famille. Je le recommande vivement.



:) :-D 8) :oops: :( :-o LOL :-| :-x :-P :-? :roll: :smile: more »

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