Des enfants surdoués et heureux (La Croix, septembre 2014)

Des enfants surdoués et heureux (La-croix, septembre 2014)Le magazine La Croix publie ce jour un article sur les enfants surdoués... heureux ! :)

 

On parle souvent de ceux qui vont mal, comme on évoque plus souvent le train qui arrive en retard plutôt que tous ceux qui sont à l'heure, mais ils sont nombreux, enfants comme adultes, à bien vivre leur surdouement :up:

 

On parle plus souvent des enfants précoces à problèmes que de ceux, majoritaires, qui vont bien. Ils ont néanmoins besoin d’être accompagnés par des adultes bienveillants et attentifs.

On les appelle enfants «précoces» , «surdoués» , «à haut potentiel intellectuel» … Mais, pour beaucoup de spécialistes, cette terminologie traduit de façon peu satisfaisante la réalité de ce qu’ils sont : ils ne seront jamais «rattrapés» par les autres, ils n’ont pas quelque chose «en plus» que les autres. En fait, ces enfants fonctionnent avec une intelligence qualitativement différente.

Si leur rythme de développement intellectuel est plus rapide que celui des enfants du même âge, leur développement affectif, relationnel et psychomoteur est plus en rapport avec leur âge biologique. La «douance», selon la désignation canadienne, est une alchimie entre les spécificités intellectuelles ou cognitives et les caractéristiques émotionnelles ou affectives. Cette alchimie produit donc des profils psychologiques particuliers.

 

A noter que Jeanne Siaud-Facchin est l'auteure de 2 ouvrages incontournables lorsqu'on découvre le surdouement ;)

 

     

 

Et que Monique de Kermadec est l'auteure de ces livres tout aussi intéressants lorsque l'on veut commencer à comprendre le sujet :

 

      

 

 

POUR lire l'ARTICLE en INTÉGRALITÉ :arrow: c'est par ici !

 

 

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6 commentaires à “Des enfants surdoués et heureux (La Croix, septembre 2014)”

  1. Dorothée dit :

    Mes 3 enfants de 18, 15 et 10 ans HP vont bien. Il a fallu être très vigilant depuis toujours. Ca n’est jamais acquis, il faut rester attentif.
    Aujourd’hui je dois malheureusement leur annoncer que je vais quitter leur papa. Ils vont aller beaucoup moins bien…
    C’est toujours douloureux pour les enfants mais qu’en est-il des HP? Je vais consulter un psy mais si certains d’entre vous ont des témoignages de la même situation, cela pourrait être une grande aide pour faire au mieux et éviter des erreurs majeures.

    Merci d’avance

    • Agnes dit :

      Dorothee,
      Je ne connais pas votre situation ou une situation similaire, mais pourquoi dites-vous qu’ils vont aller beaucoup moins bien? Rien n’est sur et pourquoi avez vous cette conviction. Juste une idee

  2. olivhood dit :

    L’article est sympa mais j’en était resté à un tiers de hqi en échec scolaire. Peut on être en échec et heureux ? Bon je dois avoir les mauvais chiffres en tête.

    P

  3. olivhood dit :

    pas facile de répondre à Dorothée: il n’y a pas 2 divorces qui se ressemblent. J’imagine qu’avec des grands enfants c’est « plus simple » même s’il y aura toujours une souffrance.
    je dirai que le mieux, surtout pour le plus jeune, est de pouvoir se séparer en adultes et de protéger les enfants des situations conflictuelles, pour ménager leur grande sensibilité en les rassurant, et faire confiance en leur intelligence. Rien à sert de leur mentir car ils ont sans doute déjà tout compris ou perçu.

    Le truc à ne pas oublier c’est le décalage entre maturité et intellect en fait.

    Enfant de divorcés, le pire pour moi a toujours été les non-dits, les secrets, et pire que tout les tentatives de manipulation d’un parent contre l’autre

  4. Constans dit :

    Bonsoir, né en 1961, benjamin de 4 enfants dans 1 milieu social plutôt défavorisé, confronté à une jalousie destructrice au sein de ma fratrie, ayant à m ‘ orienter dans le contexte de  » l’ après 68  » mis à profit, précisément, par une partie de ma fratrie pour contrecarrer mon projet d’ études, ce n’ est qu’ en lisant le 2ème livre de J. S-F. arrivé moi-même à 1 âge -hélas-largement adulte, que je crois avoir compris : mais qu’ en faire désormais, devenu R.Q.T.H. dans mon actuel métier, souhaitant me reconvertir (mais n’ ayant qu’ 1 niveau Bac + 2 à la base…), confronté aux lenteurs de décisionnaires ( Commission des Droits & de l’ Autonomie des Personnes Handicapées de ma M.D.P.H. du Rhône, par exemple) qui, après mon bilan de compétences effectué avec l’ A.D.A.P.T., reporte  » sine die  » ma formation et m’ envoie auprès de Pôle Emploi qui, aussi, emploi des psychologues pour faire (re)passer des entretiens & des tests…Pendant ce temps, je fournis du travail alors que le mien me  » détruit  » physiquement pour finir peut-être, à la longue, par me détruire psychologiquement ! Cordialement.



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