[VIDÉO] Enfants surdoués, et après ? (Envoyé Spécial la suite, juin 2012)

Demain (16 juin 2012) le magazine Envoyé Spécial la suite consacrera un reportage aux enfants surdoués qu'ils avaient suivi il y a plus de 20 ans :)

 

A voir donc demain, sur France 2, à partir de 13.55...

 

Synopsis de l'émission :

En 1991, Envoyé spécial filmait les premières oeuvres d'un petit génie de l'art contemporain. Pejman, 9 ans, peignait dans la salle de bains familiale avec l'assurance d'un adulte qui a trouvé son style.

Au même âge, Jean était déjà considéré comme un pianiste confirmé. Ses parents avaient tout sacrifié pour qu'il se consacre exclusivement à la musique. Le petit garçon avait gagné le surnom de «petit Mozart Niçois».

Samuel, lui, eut droit aux honneurs des journaux de 20 heures en devenant le plus jeune bachelier de France. A 14 ans, il venait de franchir la première étape d'un cursus universitaire qui s'annonçait sans faute.

 

 

POUR CONSULTER la PAGE de l'EMISSION :arrow: c'est ici !

 

 

MISE à JOUR, après diffusion du reportage :!:
Beau mélange des genres :( Vive la confusion entre HQI (avec le professeur Sylvie Tordjman, pourtant trop rare dans les reportages liés à la douance) & dons artistiques divers & variés...

 

Quel dommage de tout mélanger, une fois de plus. Cela n'aide décidément pas à clarifier ce qu'est le surdouement dans la tête des gens, puisque l'on voit pèle-mêle des images de personnes à haut potentiel intellectuel (& de test & prise en charge de celles-ci), & des personnes qui n'ont pas forcément un haut quotient intellectuel, mais possèdent un don musical. Amalgame regrettable entre les surdoués (intellectuellement précoce) & les génies ou prodiges :-o

 

Enfants surdoués, et après ?
Un reportage réalisé de Sophie Rodier.

Artistes en culottes courtes ou petits génies des mathématiques, leur don en avait fait des enfants exceptionnels. En 1991, Envoyé spécial filmait les premières œuvres d’un petit génie de l’art contemporain. Pejman, 9 ans, peignait dans la salle de bains familiale avec l’assurance d’un adulte qui a trouvé son style. Au même âge, Jean était déjà considéré comme un pianiste confirmé. Ses parents avaient tout sacrifié pour qu’il se consacre exclusivement à la musique. Le petit garçon avait gagné le surnom de "petit Mozart niçois" dans les articles qui lui étaient consacrés. Samuel, lui, eut droit aux honneurs des journaux de 20 heures en devenant le plus jeune bachelier de France. A 14 ans, il venait de franchir la première étape d’un cursus universitaire qui s’annonçait sans faute. Devenus adultes, Samuel, Jean et Pejman ont-ils confirmé les espoirs que leurs parents avaient placés en eux ?

Emission présentée par Françoise Joly. Son invité est Fahim Alam, 11 ans, champion de France d’échecs.

 

 

Pour VOIR ou REVOIR le reportage : Enfants surdoués, et après ? - Envoyé spécial La suite - France2.

 

 

Voilà la présentation de l'émission faite par le Nouvel Obs Télé, "Enfants surdoués, et après ?" : Comment devenir adulte quand on est un génie :dots:

 

Déjà virtuoses, peintres ou encore génies des mathématiques à 10 ans à peine, ils avaient focalisé l’attention des médias. Ces jeunes prodiges sont devenus grands. La réalisatrice Sophie Rodier est partie à leur rencontre : ont-ils confirmé les espoirs que leurs parents avaient placés en eux ? Ont- ils réussi à trouver leur place dans la société ?

A 19 ans, Lee Dinetan est un adolescent d’allure normale, en jeans et baskets. Mais son CV est déjà impressionnant. Après avoir passé son bac à 14 ans et intégré l’Ecole nationale supérieure de Lyon à 16, il est aujourd’hui professeur de mathématiques en maths sup et achève une thèse. Cette réussite a pourtant sa part d’ombre. Lee vit en ermite dans un deux-pièces, et se consacre exclusivement au travail : sept heures à son bureau, trois heures devant son piano. A l’image de son film préféré, “12 Hommes en colère”, il se dit “seul contre tous”, mais il assure puiser de la force dans sa solitude : “Puisque je ne peux compter sur personne, il me faut être excellent.”

Jean Dubé, lui aussi, est pianiste. Il a commencé à jouer à 3 ans avec un professeur particulier et à 9 ans, il interprétait les grands classiques. A 30 ans, la vie réelle l’a rattrapé. Celui qu’on appelait le “petit Mozart niçois” n’est plus qu’un “bon pianiste”. N’arrivant pas à vivre de sa musique, il est retourné vivre chez sa mère, qui avait tout arrêté pour se consacrer au talent de son fils. Elle l’aide à trouver un producteur, et aime encore regarder, scrupuleusement archivés, articles, photos et récompenses à la gloire de son petit. Loin du regard de sa mère, Jean avoue qu’il a “découvert la réalité petit à petit”. “C’est dur”, confesse-t-il.

Cependant, d’autres s’en sortent avec plus de bonheur, comme Samuel : 140 de quotient intellectuel, une scolarité accomplie avec quatre ans d’avance. Enfant, quand il sentait que sa différence avec ses camarades devenait trop pesante, il avait pris l’habitude de s’évanouir. Une façon de s’abstraire d’une expérience trop pénible. Il a passé l’agrégation de maths à 20 ans, puis a tout lâché. C’est finalement comme chef d’orchestre qu’il a trouvé sa voie. Aujourd’hui, à 30 ans, il exerce comme professeur de chant et dirige une comédie musicale. Le passage à l’âge adulte lui a permis de s’affranchir de son statut de surdoué ; il est heureux d’être “reconnu pour ce qu’il fait” et non plus pour “le singe savant” qu’il était. Son metteur en scène confie que “Samuel a trois cerveaux” et qu’il “saisit tout de suite les demandes”.

Sur un autre continent, à Goa, en Inde, Pejman Ebadi n’a jamais changé de voie ; il a commencé à peindre à 4 ans à peine, trouvé son style à 6 ans et maîtrisé son geste à 9 ans, l’âge où il vend sa première toile. L’art l’a libéré progressivement de son statut de phénomène médiatique : “A 19 ans, les gens ne pouvaient plus se focaliser sur mon jeune âge mais sur mon travail”, dit-il. On le comprend au fil des récits : la précocité fait peser une menace sur l’âge adulte. Ces enfants exceptionnels suscitent une pression familiale et sociale qu’ils n’arrivent pas à gérer.

Gaël, 11 ans, n’avait pas de problèmes avant qu’il apprenne qu’il avait un QI hors norme, quelques jours avant son entrée en sixième. Cette nouvelle a déclenché chez lui une crise existentielle, assortie d’angoisses, d’idées suicidaires et d’un repli sur soi. Il est devenu mauvais élève. “L’enfant risque de se définir seulement comme un enfant à haut potentiel, explique Sylvie Tordjeman, chef du pôle hospitalo-universitaire de psychiatrie de l’enfant et de l’adolescent de Rennes. Une telle intériorisation de la différence pouvant alors être source d’anxiété et engendrer des comportements tels que le repli sur soi ou un désinvestissement scolaire”. Pour un surdoué, une vie épanouie est parfois plus difficile.

 

 

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17 commentaires à “[VIDÉO] Enfants surdoués, et après ? (Envoyé Spécial la suite, juin 2012)”

  1. olivhood dit :

    je connais pas trop le concept (voire pas du tout)

    des chances d’avoir un truc potable ? en plus je vais le louper j’espère si c’est bon qu’il y aura un « replay »

    • olivhood dit :

      bon déjà on parle plus des génies sortant de l’ordinaire que des doués de base c’est mal barré….

    • Zebrounet dit :

      « Envoyé Spécial la suite », diffusé le samedi après le Journal de 13h00 (contrairement à Envoyé Spécial « normal », diffusé le jeudi soir), reprend les reportages tournées X années auparavant & fait un point sur le parcours réalisé depuis le 1er tournage :roll:
      Là il s’agit de 3 enfants surdoués, filmés en 1991, & revus aujourd’hui, à l’âge adulte :up:

  2. Fredauboulot dit :

    Ce qui serait bien aussi, c’est qu’ils aient suivi aussi un surdoué « à problèmes » pour voir ce qu’il allait devenir. Histoire de redonner de l’espoir aux parents. Mais il y a 20 ans, ceux à problèmes n’étaient pas encore reconnu comme surdoués, mais juste comme des enfants à problèmes, donc il y a peu de chances…

  3. Famille à rayures dit :

    J’ai rencontre un surdoué à problèmes dans mon enfance!!! Il n’a pas été testé mais il s’agit de mon frère ainé… Comme j’ai trois zebreaux et ma sœur 4 je pense qu’il était zébré : voici son parcours : nul à l’école depuis le cp, il n’a brillé qu’en ce2 lorsque son maitre a initié la classe aux échecs. Il était très fort. S’intéresse également aux insectes aux pierres précieuses aux fossiles aux animaux sauvages. Bref tant de critères qui aujourd’hui nous conduisent vers la précocité mais qui d’antan le catégorisait chez les rêveurs. Il était à l’ouest mais avait beaucoup de tics! Nous nous moquions de lui car il était nul à l’école. Ma mère pleurait tous les ans auprès des directeurs pour qu’il passe dans la classe supérieur car son frère faux jumeau travaillait bien (sans plus car vraiment en dehors de ma soeur nous n’etions pas des bosseurs mais des joueurs). Bref elle pleurait tous les ans car le pensait quand même pas complètent stupide. Effectivement il n’était us dans la même classe que son frère et avaitnpar chance les interros après son frère qui donnait les sujets que ma mère faisait et qu’il apprenait par coeur. Jusqu’aux rédactions. Et quand ma mère relisait littéralement ce qu’elle lui avait dit la veille ou à l’heure du dej elle s’étonnait tirs de cette grosse mémoire. Bref elle pleura jusqu’à la 1ère s année durant laquelle il dessina tous ses personnages de dessin animes préfères ainsi que les portraits de toute sa classe…il est très fort en dessin tout comme ma mère qui avait commencé les « beaux arts ». Bon là il redoubla car il était vraiment trop nul. Et c’est en 1ère littéraire qu’il brilla tout a coup Grace au français et a la philo il a eu son bac avec mention bien la veille je lui apprenais à mettre des accents et des points sur les i. Il a styler ait tout le monde mais ses notes en 1ère et terminal étaient excellentes. Il venait aussi d’aller dans le privé car il devait aller en zep tellement il était nul. Il y a quelque chose qui s’est déclenché en lui a ce moment là : l’adolescence, ce redoublement en tout cas ma mère ne l’a jms lâché scolairement car elle le connaissait et elle a eu raison.
    Malheureusement il a raté l’entrée à science po car éliminé par un 6 en anglais engendré par des années d’illettrisme, pourtant il avait 14 de moyenne général au concours mais hélas pas de pistons. Il a fait la fac droit puis dess de communication politique. Il est attaché parlementaire, cadre A et gagne bien sa vie. Pourtant sa vie sociale est quand même un ratage car manque de confiance en lui, il manipule beaucoup pour se rassurer et surtout picole beaucoup en soirées soit quasi tous les soirs et il fume comme un pompier. Donc je pense que quelque chose dans sa personnalité a été cassé à un moment donné pour qu’il soit si peu sur de lui.
    Un bilan positif car sur le plan de l’intellect on s’y retrouve à peu près mais hélas un manque d’assurance flagrant.

    • Rainbow dit :

      C’est l’exemple typique du surdoué qui n’a non seulement pas été détecté à l’école, mais qui en plus aurait pu râter sa vie professionnelle à cause de son cursus scolaire. Imaginez un tel enfant, si l’anglais ne l’avait pas pénalisé à sciences po ou s’il avait étépris en charge au niveau de l’écriture plus tôt avec des aides spécifiques?
      Mon mari me dit souvent qu’il a appris à écrire tout seul à l’age de 11ans, à l’entrée en 6ième. Sa dyslexie le pénalisait sévèrement et il n’ y arrivait pas. Sa mère pourtant enseignante, n’avait jamais remarqué ses difficultés car il les cachait de son mieux ! Comme lui avait du mal à retenir par coeur les poésies par exemple, il les lisait à l’envers sur le bureau de l’institutrice en ayant l’air de fixer un point imaginaire en faisant semblant de réciter ( il lit dans n’importe quel sens, y compris en miroir sans difficulté apparente) ! Il est lui aussi bon aux échecs, et a fait des »fossiles » et autres cailloux sa profession: il est géologue.

  4. Famille à rayures dit :

    Ce qui est encourageant c’est finalement de se rendre compte que ces lacunes de primaire voire collège sont rattrapables en fonction de l’état d’esprit de l’enfant. Pour mon frère ça a rte ce redoublement et cette arrivée dans un lycée privé génial où les ados étaient considères par les enseignants et par le directeur qui venait discuter avec nous pendant les récrés pour nous faire prendre conscience de plein de choses. Bref toutes ces années ratées ont été récupérées mais surtout heureusement qu’il n’a pas été sorti du système classique en 3è car il aurait été mal orienté car il n’a absolument pas l’esprit pratique c’est vraiment un littéraire! Donc la clé pour les parents c’est de se faire confiance car ce sont eux qui connaissent le mieux leurs enfants. Pour ma part c’est le contraire. J’ai tirs très bien travaillé à tel point que ma sœur se moquait de moi en me traitant de futur ex polytechnicienne puis arrivée en seconde je me suis effondrée ( mes notes en fait car moi je n’avais jms rien fait en classe donc cela m’a étonné). Bref je suis passée en bac langue j’ai passé mon bac (en belgique donc les mentions n’existent pas) puis j’ai fait la fac je me suis arrêtée en 2D année de thèse en histoire de l’art à Paris 1 et maintenant je suis teleoperatrice à la sécu. Je n’arrive pas a trouver ma place dans le monde du travail car mes diplômes sont inintéressant et que je n’ai pas passé de concours. J’ai oublié de dire que ce2 l’inspecteur d’académie a souhaite que je saute une classe et mes parents ont refusé. Bref j’étais très dissipée en classe et au lycée je séchais ça n’a jamais alerté personne je me suis tirs sentie différente et seule ( aujourd’hui encore et heureusement que j’ai mes enfants car au moins ils me comprennent)!

  5. olivhood dit :

    je ne trouve pas le replay, c’est peut être trop tôt ?

    si quelqu’un l’a je le veux bien, sinon je rechercherai dans quelques jours

  6. Famille à rayures dit :

    Je mettrai un bémol sur le parcours idylliques de Samuel sene le chef d’orchestre car sur ce blog il est clair que nous souhaitons voir s’épanouir nos enfants en tant que tel malgré leur hqi ; je m’explique j’ai vu sur you tube une émission de direct 8 ( en tapant juste surdoué dans le moteur de recherche) cette émission était super ; bref Samuel y explique que sa mère à ait lu dans un libre que ce le servait à rien de donner des jouets aux enfants et qu’il fallait juste leur donner des chiffres et des lettres et c’est ainsi qu’il est entré en cp à 3 ans. Voilà après je ne sais plus de combien est son qi mais je ne pense pas qu’il ait eu une enfance « normale » et si aujourd’hui il s’épanouit dans la musique ce n’était pas le trajet auquel il était destiné car il aurait du bosser dans les maths. Bref son parcours à ppilytechnique et dans les grandes écoles n’a servi à rien sauf à agrémenter son cv. Donc je reste dans mon optique de laisser s’épanouir mes enfants à travers leurs rêves et leurs jeux même s’ils pourraient exceller à l’école. Il n’auront peut être pas des carrières exceptionnelles mais au moins ils auront eu la possibilité de choisir qui ils voudront être. Sinon évidemment chapeau à toutes les études qu’il a faites.

  7. Henri C dit :

    Ce reportage était scripté et bidonné.
    Le pianiste Jean Dubé n’a JAMAIS posté d’annonces pour cours particuliers dans des librairies musicales, il l’a fait uniquement parce que la réalisatrice SOPHIE RODIER le lui a demandé.
    Jean Dubé ne donne pas de cours à domicile au black, mais uniquement des master class, comme en Afrique du Sud, Mexique et Chine, tous frais payés. Un son de cloche bien différent du reportage!! Tout ceci est facilement vérifiable.
    Rodier avait assuré Dubé que ce « jeu » de poster des annonces pour l’émission le mettrait en valeur, en fait cela a contribué à détruire sa réputation , surtout quand le reportage dit que la seule tournée que Dubé fait c’est « celle des librairies pour poster des annonces de cours et non pas la tournée (de concerts) dont il rêvait ». On est en pleine campagne de dénigrement de la carrière de Jean Dubé là, pauvre gars! Si seulement il avait compris les motivations peu amicales de Sophie Rodier avant qu’il ne tourne dans ce reportage au rabais qui s’est révélé n’être qu’un piège grossier!!

    Il n’a jamais commencé à l’âge de 3 ans avec mme Poisson à Nice, et pour cause, il n’est arrivé en France qu’en 1989 et a pris des cours avec ce professeur à 8 ans. Ceci dit, il a vraiment commencé à 3 ans , pa surprise, en jouant des morceaux malgré qu’on lui ait interdit d’y jouer (il répéta les mêmes morceaux que son frère mais sans jamais avoir appris) et son prof fut sa grand-mère.

    Il vit relativement bien de son art, puisqu’il a un planning ultra serré, des tournées il ne fait que ça, il suffit de consulter son calendrier de concerts sur son site web officiel. Des master class, des invitations en tant que membre de jury pour des concours internationaux (rien que ça) style le concours Francis Poulenc, une vingtaine d’enregistrements avec Sirius et Naxos dont au moins 3 cette année, plus une intégrale Lizst qui va sortir peu à peu , intégrale qui à elle seule rassemblera 35 CD!! Ca l’émission n’en parle pas bien sûr, car le script FICTIF du petit singe savant qui aurait loupé le coche une fois majeur, script mensonger élaboré par Sophie Rodier, ça ne correspond pas trop évidemment à la réalité.

    Le reportage et le résumé pitoyable de TeleObs par Charles Perragin insinuent que Jean Dubé serait à la traîne et serait désarmé face à la concurrence: la réalité est qu’il a remporté le concours Lizst en 2002 et a enchaîné des tournées chargées lui laissant peu de temps libre, sans citer le fait que Diapason et Le Monde de la Musique ont chaudement applaudi CONTINUENT à le faire, les enregistrements de ce pianiste en question. Le plus simple est de contacter ces magazines spécialisés, les références ultimes en termes de tests d’enregistrements de « classique » en France, sous forme de mensuels.

    Jean Dubé retournant chez sa mère? Que nenni, cet appartement lui a été attribué par la MAIRIE DE PARIS il y a des lustres, afin de l’aider dans ses études. Ceci est vérifiable auprès des autorités compétentes, évidemment. Ce n’est que plus tard que la mère de Dubé, mme Meli, a changé le bail en le mettant sous son nom à elle, mais Jean Dubé n’a jamais été un « fils prodigue parti à cause de la misère », c’est une pure invention de Sophie Rodier et de ses sbires affabulateurs.

    En revanche, mme Meli, la mère de Jean Dubé, correspond aux cliché du parent avide de gloire et de fortune, puisqu’elle s’est intronisée « impresario » et a débouté tous les agents qui se sont présentés, se réservant l’exclusivité d’organiser la carrière de son fils, (et ce malgré son incompétence patentée en la matière) affirmant dans le reportage d' »envoyé spécial la suite » qu’elle aurait soit disant cherché des agents professionels mais qu’ils auraient fait la sourde oreille.
    Non seulement elle se victimise , mais elle travestit la vérité aux yeux du public et joue ainsi le jeu ignoble de Sophie Rodier, alimentant son script idiot de prodige oublié de tous une fois adulte. En somme Dubé s’est fait vampiriser par une mère qui s’est cru être un impresario idéal mais qui a en vérité fait fuir tous les agents. Elle dit d’ailleurs qu’un agent serait le bienvenu mais uniquement de manière « IRREGULIERE » , ce qui veut tout dire: quand et si elle le désire. Pas étonnant que les agents aient eu peur et n’aient pas pris le dossier de Dubé en main.

    Quant aux propos comme « c’est dur » « c’est ça la vie d’artiste, […]de se battre » etc, ce sont des propos qui ont été pris hors contexte et appliqués selon le scénario ficelé d’avance de Rodier pour couler Jean Dubé. La réalisatrice prétend qu’il refuse de répondre aux questions concernant la concurrence et finalement montre des extraits tirés d’une conversation dont on ne connait pas le sujet mettant en scène Dubé disant ces même mots : c’est dur, etc.
    La scène avec son ami dans la librairie, également BIDONNEE: cet ami n’a aps été convoqué par l’équipe de tounrage, il était vraiment présent sur place par hasard, mais les propos entre lui et Dubé ont été pris hors contexte et édités de telle manière qu’on ait l’impression que Dubé se plaigne de sa situation difficile de « professeur particulier de piano qui rame pour trouver quelques pauvres élèves ». Allez donc dire ça aux personnes qui ont suivi des master class de Jean Dubé il y a à peine un an en Afrique du Sud après une tournée à succès. Ceci est vérifiable sur son CV et auprès des organisateurs concernés.

    Reportage bidon,commandé et acheté , ayant pour unique but de DISCREDITER et de COULER Jean Dubé, un pianiste exceptionnel.
    Certains seraient donc prêts à filer quelques bakshishs et d’user d’influence et de contacts (qui a dit le mot communautarisme??) , histoire de produire un reportage scripté pour couler un concurrent, et un concurrent de taille puisqu’il s’agit de Jean Dubé, vainqueur du 1er grand prix à l’unanimité au concours Lizst à Utrecht en 2002, et un Franco-Canadien en plus, forcément ça énerve certains au plus haut point surtout quand ils ont toute l’influence du monde mais que le public n’est pas au rendez-vous les concernant.
    Les choses ont commencé à se gâter pour Dubé quand il a gagné le prix « jeune prodige Mozart à Paris » en 1990, remportant le 1er prix à l’unanimité et un piano Steinway , à donc partir de là, les coups bas et les chantages en tout genres se sont accumulés pour le déstabiliser , sans compter que sa mère a participé activement à lui créer également des problèmes en éloignant pour de bon les agents et imprésarios intéressés par son cas.
    Ces « ennemis » sont toujours actifs et sont prêts à tout pour faire discréditer Dubé , le seul problème pour ces personnes en question est que les mélomanes avertis , directeurs artistiques, critiques musicaux, compositeurs, musiciens, chefs d’orchestre, collaboratuers en tout genre et organisateurs de concerts ne vont pas absolument pas dans le sens des détracteurs cupides et invitent Dubé à tour de bras pour des spectacles et master class, d’où son planning chargé.

    Le documentaire scripté et bidonné s’est bien gardé de refléter la vérité. QUELLE HONTE.

    J’ai d’ailleurs trouvé que le documentaire flairait la discrimination positive et le sensationnalisme larmoyant, mettant l’accent sur un champion junior d’échecs – DE SA CATEGORIE D’AGE- , je ne vois pas où est le prodige là, mais seulement un jeune homme intelligent et doué. Montrez donc un champion de moins de douze ans affrontant un adulte chevronné et là cela vaudra la peine d’être mis dans un reportage.
    Le pianiste français est relégué aux oubliettes réduit à un statut de clochard mendiant des cours dans des librairies selon le SCRIPT mensonger du documentaire: que fait la France de ses talents ? Elle les ignore au profit de messages politiques douteux ayant pour thème l’immigration réussie de sans -papiers?
    Quel imbroglio minable ce reportage. Aucune déontologie, un professionalisme journalistique totalement absent.

    Henri C.

    • Zebrounet dit :

      Ne connaissant rien de la vie ou de l’histoire de ce pianiste, je m’abstiendrai de tt commentaire sur l’aspect réaliste ou fictif de ce qui est montré dans le reportage. Si c’est « bidonné », c’est dommage, & en même temps, pour lui ça ferait presque plaisir tant son cas semblait triste :oops:

      En revanche sur la mère, lorsque vous écrivez :

      « En revanche la mère de Jean Dubé correspond aux cliché du parent avide de gloire et de fortune. […] Non seulement elle se victimise , mais elle travestit la vérité aux yeux du public et joue ainsi le jeu ignoble de la réalisatrice, alimentant son script idiot de prodige oublié de tous une fois adulte. En somme Dubé s’est fait vampiriser par une mère qui s’est cru être un impresario idéal mais qui a en vérité fait fuir tous les agents. Elle dit d’ailleurs qu’un agent serait le bienvenu mais uniquement de manière « IRREGULIERE » , ce qui veut tout dire: quand et si elle le désire. Pas étonnant que les agents aient eu peur et n’aient pas pris le dossier de Dubé en main. »

      … je ne peux qu’acquiescer ! :( Encore une fois, sans rien connaître de leur histoire ou de leur vie, cette dame m’a donné en ts cas le sentiment d’être, effectivement, l’incarnation du parent oppressant & castrateur, vivant une vie par procuration :!: Mais les images (& les montages) sont parfois trompeuses…

    • J. de Fleurville dit :

      Monsieur,
      Cela fait vraiment plaisir de lire tout ce que vous écrivez à la défense de Jean Dubé, qui a, en effet une grande carrière internationale. En France et dans le monde, plusieurs grands maîtres ainsi que le public et la presse internationale le placent au niveau des plus grands pianistes connus, aussi est-il compréhensible qu’il suscite des jalousies et qu’il puisse faire de l’ombre à de nombreux « artistes » médiocres. Vous avez raison d’affirmer que vos dires, à son sujet, peuvent être facilement vérifiés. Par contre, vous pourriez aussi réécouter plus attentivement l’émission, en particulier lorsque cette fameuse « dame-vampire » que vous évoquez affirme, selon vous, qu’elle pourrait contrôler les éventuels agents qui s’intéresseraient à son fils. Dans l’émission, elle affirme précisément que Jean Dubé a toujours été invité à donner des concerts, et qu’à présent, cela continue, mais plus irrégulièrement. Quand au logement qu’il occupe actuellement avec sa mère, celui-ci n’a jamais pu être à son nom, puisqu’il y est entré à l’âge de quatorze ans !!!.et cela est très vérifiable aussi ! Il n’y a pas toujours vécu depuis, ayant séjourné entre-temps plusieurs années à l’étranger, en particulier après le concours Liszt ! Quant à la gloire, Jean n’a jamais eu la grosse tête, il est très simple, même en se voyant acclamé par des milliers de personnes de par le monde, et cela est aussi dû à l’éducation qu’il a reçue de ses parents, en particulier de sa mère qui l’a plutôt aidé et éduqué dans ce sens. A propos de fortune, il la mériterait grandement et nous ne pouvons que la lui souhaiter !!! En fait, cette mère « monstre castrateur et oppresseur » a fait en sorte d’encourager son fils à poursuivre son rêve de vivre pour la musique, alors que bien d’autres membres de la famille ou certains « amis » le lui déconseillaient : Jean pourra vous en parler lui-même. Il est heureux de ce qu’il fait, confiant dans l’avenir, malgré ce que certains peuvent dire de lui ou d’autres de sa famille.
      En réalité, sa mère a affirmé, lors de l’interview, que sa carrière était montée en flêche après la période d’enfant prodige, et que si, à présent, il avait moins de concerts, c’était probablement à cause de la crise économique. Cela a été dit devant des témoins étrangers à l’équipe de télé, lors de l’émission : par exemple, l’un de ses producteurs de disques qui se trouvait là, qui a très bien parlé de Jean, a montré tous ses enregistrements, et s’est déplacé du sud de la France jusqu’à Paris à plus de 80 ans, pour rien, puisqu’on a coupé toute cette séquence, comme beaucoup de phrases dites par Jean ou sa mère, ainsi que d’autres séquences où l’on pouvait remarquer le talent actuel de Jean. Il avait, en effet, joué plusieurs morceaux de divers compositeurs, Liszt et Tchaikowsky, entre autres, mais cela aussi a été coupé ! D’autre part, Jean a lui-même, jusqu’à présent, envoyé plusieurs dossiers de presse, accompagnés d’enregistrements, à de nombreux agents, et sa mère l’a fait lorsqu’il était plus jeune, pour ne rien recevoir en réponse, sinon parfois, des refus très polis. Il peut lui-même vous le confirmer ! Les agents des bureaux de concerts parisiens ou étrangers qui liront ces lignes s’y reconnaîtront !!! D’autre part, il est aussi vrai que plusieurs organisations qui lui offraient des concerts et des tournées ont cessé toute activité artistique, et leurs directeurs, en lisant ces lignes s’y reconnaîtront aussi.
      Merci, cher Monsieur, de votre attention.



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