Êtes-vous assez intelligent pour travailler chez Google ? (L’Echo, février 2013)
Le blog belge L'Echo a mis en ligne un article sur un bouquin écrit par un journaliste du New York Times & sorti le 16 janvier dernier, aux éditions Lattès : "Êtes-vous assez intelligent pour travailler chez Google ?
C’est un fait établi. Des entreprises de pointe comme Apple, Microsoft ou Google font pétiller les yeux de toute la génération Y. Des millions de jeunes qui veulent tous devenir le nouveau Steve Jobs, ou du moins gagner beaucoup d’argent. Beau rêve certes, mais réalisable ? Comment se faire remarquer et passer les multiples lignes de défenses pour atteindre l’objectif : un entretien avec un emploi au bout du chemin.
[...] Des tests qui jouent la créativité contre l’intelligence. « Car les champions du QI ne sont pas toujours des employés modèles. »
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2 commentaires à “Êtes-vous assez intelligent pour travailler chez Google ? (L’Echo, février 2013)”
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Effectivement le recrutement chez google, est connu pour ses questions tirées par les cheveux.
L’article explique que Google privilégie la créativité au QI, or, la créativité caractérise les personnes qui ont un bon QI, il n’y a qu’à voir comment la réflexion en arborescence, amène d’un point A à un point… rouge…
Toutefois, il ne suffit pas d’être créatif, pour travailler chez Google, il faut également avoir fait des études au moins de bac+5 (tout du moins pour Google en France, car les employeurs de notre pays accordent une grosse importance aux diplômes quand il faut recruter)
Mais bien souvent nos enfant HPI ne réussissent pas à l’école française, et ceux qui réussissent, sont pour la plupart rentrés dans le moule et ont donc inhiber une partie de leur créativité.
En ne mettant pas tout en oeuvre pour développer les talents de chacun des enfants à l’école, en tentant de favoriser le formatage à la créativité, l’obéissance à la collaboration, le rabachache à la recherche, l’écoute passive au travail collaboratif, l’école de notre pays, n’est pas prête a laisser s’épanouir les futur ingénieurs de chez Google.
Google, Microsoft etc.. Utilisent divers tests d’intelligence déguisé (il est interdit d’utiliser des tests de QI au USA) ainsi que divers moyens pour connaître le QI de leur candidats (SATs, PhD dans un domaine intellectuellement exigeant, etc..). Bill Gates est un grand fan des tests de QI.
Pour réussir, il ne suffit pas d’ avoir un bon QI. Il faut être quelqu’un de travailleur, être un battant. D’où l’exigence des diplômes qui ont le rôle de filtrer les fort QI fainéants ou en détresse psychologique.