Un drôle d'article paru ce matin dans Sud-Ouest sur la "filière bois"... & les surdoués !

Je vous laisse découvrir par vous-même

« À Thiviers, on a des surdoués qui vont faire un CAP parce que leurs parents n'ont pas les moyens » : ces propos recueillis lors du dernier salon Infosup à Marsac (lire « Sud Ouest » du 21 novembre) ont fait réagir au lycée professionnel Porte d'Aquitaine. L'établissement participait à la manifestation pour présenter son CAP en un an et son BTMS (Brevet technique des métiers supérieurs) dans la filière ébénisterie. Le recrutement du CAP est très large et de jeunes bacheliers (S, L, STAA…) sont aussi accueillis.

« L'ébénisterie est un choix personnel pour eux ; c'est un nouveau départ dans la vie, voire un passage obligé pour une poursuite d'études précise (BTS, design, école d'architecture), souligne un enseignant. [...] Les surdoués évoqués, nous ne les connaissons pas. Nos élèves ont fait un choix et leur passage à la voie professionnelle n'est pas forcément une voie de garage. »

Sans parler de "ces" surdoués... ceux évoqués dans l'article (comprendre par là, semble-t-il, ceux dont les familles n'auraient pas d'argent & qui seraient donc contraints d'opter pour des filières professionnelles non par choix, mais par obligation) ; j'espère qu'ils en ont tout de même quelques uns, des surdoués ! Au moins 2%...

Plaisanterie mise à part, je rappelle au passage que 2,2% des enfants sont (T)HPI (à haut ou très haut potentiel intellectuel) en prenant comme seuil un QI de 130. Avec un de 125 de QI Total, on a 5% des enfants concernés. Et surtout, je rappelle que toutes les classes sociales & toutes les professions en comptent, en proportions égales

POUR lire l'ARTICLE en INTÉGRALITÉ c'est ici !