Pokémon Go, ou le dilemme parental (MariePhilippeOrthophoniste.com, juillet 2016)

Pokémon Go, ou le dilemme parental (MariePhilippeOrthophoniste.com, juillet 2016)En ce mois de juillet 2016, le monde est envahi de jeunes gens qui déambulent mystérieusement...

 

On les voit dans les rues, sur les promenades, le nez rivé à leur smartphone, à la recherche de petits personnages aux drôles de noms :!:

 

Je parle bien sûr du phénomène Pokémon Go ;)

 

A moins que vous ne viviez dans une grotte, vous en avez forcément entendu parler :)

 

Il y a chaque jours à la radio, à la télévision des sujets qui opposent les "pour", les "contre"... mais en fin de compte, on constate un véritable déferlement médiatique généralisé :roll:

 

Hier, le blog de l'orthophoniste québécoise Marie Philippe a mis en ligne un article rédigé par amie Sylvie Regnier, orthopédagogue & créatrice de Cap Pédagogie : "Pokémon Go, ou le dilemme parental".

 

Un très chouette billet, dont je partage pour ma part la vision :up:

 


Peluche Pokémon

 

Petite précision pour Dumbo l'éléphant volant (puis nous en parlions dans les commentaires de ce billet) : le zébrillon y est finalement venu ! LOL

 

Non que les Pokémon le captivent, mais le concept de jeu en réalité augmentée lui plait beaucoup !

 

Rien qu'hier, nous avons marché presque 5kms dans pour ce jeu :-P

 

Voici donc les premières lignes de cet excellent papier :

 

Les Pokémons ont envahi la Terre avec l’application éponyme Pokémon GO en ce mois de juillet. Et quand on observe les réactions sur les réseaux sociaux, il est évident que ce débarquement ne laisse personne indifférent.
Il y a clairement les pros et les cons.

Il faut dire que les médias se font un plaisir de relater les pires incidents (heureusement sans gravité au moment où j’écris ce billet). Il y a donc eu deux jeunes miraculés qui sont tombés d’une falaise et qui s’en sont sortis avec quelques égratignures seulement, une téméraire coincée dans un arbre incapable d’en redescendre, quelques voitures de polices amochées par des conducteurs fixés sur leur téléphone. Et la plus cute et la plus innocente : deux jeunes ados qui ont traversé la frontière commune avec nos voisins du Sud et ont ainsi obligée leur maman à aller les chercher après avoir été contactée par les gardes-frontières.

Cela donne ainsi de bons arguments à ceux qui blâment les nouvelles technologies et traitent de zombies ceux qui l’utilisent.

Seulement voilà, si personnellement jouer au Pokémon me laisse de marbre (je sortais de l’université quand le phénomène est né en 1996, je n’ai donc pas développé de souvenirs d’enfance liés au dessin animé), je suis concernée en tant que maman.

 

 

POUR LIRE la SUITE :arrow: c'est ici !

 


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3 commentaires à “Pokémon Go, ou le dilemme parental (MariePhilippeOrthophoniste.com, juillet 2016)”

  1. pinel patricia dit :

    Comme tout le monde j’avais lu des articles fustigeant le jeu et déclarant que cela abrutissait les enfants… ma fille thpi est fan, ça ne changera pas son niveau aux tests quoi qu’il arrive alors je suppose que c’est pareil pour les autres qui sont plus dans la norme. Pour une fois qu’il y a de l’engouement pour un jeu, ne cachons pas dessus. Article très sympa et plein de bon sens

  2. Morgan Vatou dit :

    Attention aux prédateurs!

    Je ne suis pas convaincu que ce jeu ne servent pas des fins moins sympas…bref j’ai briefé mon fils de 7 ans qui adore les pokemons depuis toujours.

  3. Excellent article en effet, merci ! :)
    (on commence à avoir mal aux pieds, hein ? ^-^)

    On peut toujours apporter des arguments, faits à la clé, pour encenser ou critiquer ce jeu. Il est également évident que cela peut être dangereux d’être trop absorbé sur son téléphone (ou dans son livre !) en marchant dans la rue, ou même ailleurs. Mais ce n’est pas lié directement à Pokémon Go ! S’il y a « beaucoup » d’accidents c’est simplement parce qu’il y a un nombre phénoménal de gens à y jouer, c’est mathématiques. Je suis convaincue que les effets positifs sont bien plus importants que les négatifs ; et qu’une motivation commerciale peut rimer avec bénéfices physiques et sociaux. Après, il y a des limites à mettre, comme pour toute chose ; par exemple quand j’apprends que ma fille de 14 ans a lu jusqu’à 4 heures du matin, je râle, la lecture c’est super, mais quand on est une petite jeune fille et pas un vampire, on vit le jour, pas la nuit !

    Et quand je vois mes grands et leurs amis (18 à 20 ans, ceux dont l’enfance a été bercé par les Pokémons) se retrouver pour faire des kilomètres, avec pique-nique à la clé, ou mon fils sortir tous les matins à 9 h pour deux heures de balade, s’arrachant miraculeusement à son ordi, je m’exclame : Merci les Pokémons !! :D

    (Petite anecdote : tout à l’heure un petit oiseau est rentré dans la chambre de mon fils, a voleté un instant, puis a été picoré le Pikachu qui trônait sur son lit (entre autres doudous ^-^). J’ai trouvé ça louche, trèèès louche…
    Mais jusqu’où iront les chasseurs de Pokémons ? :roll: :smile: )



:) :-D 8) :oops: :( :-o LOL :-| :-x :-P :-? :roll: :smile: more »

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