Une page se tourne, encore une fois !

Une page se tourne, encore une fois ! La vie des enfants surdoués (& de leur famille) n'est pas de tout repos, nous n'échappons pas à la règle ! :-|

 

N'en déplaise à certains qui imaginent parfois qu'il y aurait d'un côté les parents qui sont en pleine tourmente avec leur enfant HPI en échec scolaire, troubles associés, etc. & de l'autre ceux avec leur HPI ayant sauté des classes (& donc, dans leur discours, parfaitement adaptés / acceptés), considérés comme "en réussite" ; la réalité est toujours beaucoup plus nuancée & complexe :!:

 

Comme je l'écrivais dans ce billet à l'époque, TOUS les parents d'enfants intellectuellement précoces savent ce que c'est que d'être face à des gens obtus. Tous sans exception ont eu à un moment donné des choix à faire, des difficultés à surmonter quant à la scolarité de leur enfant.

 

Les Tribulations d'un Petit Zèbre, le livre du blog !

 

 

Il n'est question que de phases, plus ou moins chanceuses & plus ou moins longues, mais rien n'est définitif. L'équilibre subtil que l'on parvient parfois à obtenir après des années de bataille est en réalité bien précaire, quand l'établissement ne marche pas dans le même sens que la famille.

 

Ainsi une nouvelle page vient de se tourner dans la vie & le parcours scolaire du zébrillon. Il a quitté hier le collège dans lequel il venait de boucler sa 6ème :-?

 

Pourquoi me direz-vous ?
Et bien parce que le voyage de fin d'année, qui se déroulait sur 6 jours à 800 km de la maison, a fini de nous démontrer que tout était fait dans cet établissement à l'encontre du bon sens.

 

En effet, après les épisodes de violence en janvier résumés ici, puis , ou encore par ici ; il y a eu des soucis de harcèlement qui se sont enchaînés & pour lesquels j'ai rencontré en réunion extraordinaire le professeur principal ainsi que le responsable de niveaux des 6èmes.

 

Puis j'avais détaillé l'étonnant choix du professeur principal qui n'avait pas trouvé plus riche idée que de placer, successivement, comme voisin de table de mon loustic ses 2 agresseurs (fille, puis garçon). Et ce, en dépit de ses protestations & ses demandes récurrentes de changement de place.

 

Jamais il n'a été entendu, jamais ses supplications n'ont trouvé une oreille attentive. Pour toute réponse, il a eu droit à des "Tu feras avec", "C'est bientôt la fin de l'année, on ne changera plus". Mes demandes par écrit sont restées tout aussi vaines.
Il s'est donc résigné à être bousculé, insulté, volé pendant tout le 3ème trimestre.

 

Quand nous avons eu au mois de juin, ce fameux professeur principal & moi, cette petite réunion, je lui ai mis les points sur les i.
Là, comme par enchantement, mon zébrounet changeait de place... 2 jours avant la fin des cours (conseil de classe passé, etc.) :-x

 

Comme l'impression dérangeante & écœurante que l'on se foutait allègrement de notre gueule... :-o
Mais on met son mouchoir dessus. On fait avec, on essaie de se persuader que c'est UN prof qui est à la ramasse, que l'an prochain ce sera différent, etc.

 

Voilà pour rappeler les événements de ces derniers mois. Le séjour de fin d'année a donc eu lieu, avec coupure totale des enfants vis à vis de leur famille (pas de portable, pas de courrier, pas de possibilité d'appel au centre où ils étaient hébergés) !
Seules quelques photos postées sur le net, mais aucun contact direct ni moyen de savoir si tout était OK pour le zébrillon.

 

Tous les 6èmes étaient de la partie (moins une poignée d'éléments particulièrement perturbateurs), accompagnés de 10 professeurs, dont le CPE (celui-là même qui avait osé m'expliquer en janvier qu'en gros, mon fils devait regarder par terre pour ne pas se faire malmener). Plus d'une centaine de personnes donc...

 

Le retour s'est fait ce week-end avec un zébrillon en apparence, à la descente du car, heureux & bronzé. Mais je savais de mon côté que tout n'avait pas été optimum : les quelques photos où il apparaissait ne m'avaient pas laissé de doute.
J'avais vu à son regard & son expression qu'il ne s'amusait pas autant que nous l'avions si fort espéré son père & moi :(

 

Il ne fallut pas attendre bien longtemps pour savoir : arrivés dans la voiture, il nous dit que son compagnon de bungalow, pour la totalité du séjour, n'était autre que son agresseur du mois de janvier 8-O

 

Après quelques secondes de déconnexion, n'y croyant pas (j'ai même songé à une mauvaise blague de sa part...), j'ai repris mes esprits & surtout demandé QUI avait fait ce choix.
Réponse : le CPE :evil:

 

Mon fils a passé quasi une semaine seul dans un bungalow avec un enfant qui n'avait pas hésité à la rouer de coups (de pieds & de poings), à le blesser à l’œil, au milieu d'une salle de classe & malgré la présence d'un professeur.
Il a été placé dans le bungalow à la demande expresse de celui qui avait pourtant été en charge de "régler" le problème, à qui j'avais écrit que j'exigeais désormais une distance de sécurité entre mon enfant & cet agresseur, qui a reçu plusieurs fois le zébrillon dans son bureau pour les brimades & insultes subies !?

 

Le loustic a pourtant immédiatement dit à cet enseignant qu'il ne voulait pas être avec cet enfant (qui du reste, devait à l'origine être exclu du séjour du fait de l'agression qu'il avait perpétrée). Ce dernier lui a répondu "Tu es obligé, tu n'as pas le choix". Là encore, mon fils a répété à plusieurs reprises au fil du séjour qu'il ne voulait pas être avec ce gosse violent, à différents professeurs. Tous l'ont fait taire en rétorquant "C'est trop tard", "C'est bientôt la fin du séjour" !

 

De retour à la maison, dans les heures qui ont suivi, il nous a raconté d'autres choses. Je l'ai beaucoup questionné pour savoir exactement qui avait fait quoi, dit quoi.
Il a passé 6 jours dans un climat extrêmement anxiogène, en tremblant toutes les nuits à l'idée que "l'autre l'agresse de nouveau & que personne ne puisse lui venir en aide" :cry:

 

J'étais furieuse !!! Furieuse que ce CPE ait profité de ce voyage pour agir ainsi, prenant à mes yeux mon fils en otage.
Aurait-il fait cela si nous avions pu parler à notre enfant ? Evidemment non ! Car j'aurais fait le nécessaire sur le champ pour rectifier le tir & informer la direction du collège. Mais dans ce contexte, j'étais impuissante.

 

Très en colère que mon petit zèbre ait subi tout cela sans avoir pu nous avertir. Mais aussi que l'on foule au pied nos écrits, alors qu'il y avait 4 classes présentes & que le fait de le placer avec son agresseur relevait immanquablement d'une volonté manifeste de la part de ce principal d'éducation, & non d'une étourderie ou d'un hasard.

 

J'ai le sentiment que plus j'ai tenté de dialoguer avec le collège, de recadrer des choses inacceptables envers tout élève, & qui plus est envers un élève de 2 ans d'avance (donc plus vulnérable !), plus les enseignants s'échinaient à aller dans le sens opposé.
Comme si l'objectif était clairement de dire "On fera ce que l'on voudra madame avec votre enfant". Comme si tout était fait pour le mettre en difficulté & en situation périlleuse, au lieu d'avoir une attitude saine & de veiller à garantir sa sécurité, le protéger :hypno:

 

Et comme le zébrillon est loin d'être idiot, & qu'il ressent en général très fort les choses renvoyées par les gens face à lui (comme beaucoup d'EIP hyperesthésiques :!: ), il me répète depuis des mois que ce CPE & d'autres profs ne l'aiment pas. Qu'ils sont méchants avec lui.
Tout cela, non seulement il le percevait dans leur voix, dans leurs attitudes, mais lors de ce voyage il en a eu la preuve éclatante dans les faits. Et je ne peux pas lui expliquer qu'il a tort, car j'ai le même ressenti.

 

Il ne s'agit d'ailleurs plus d'une simple impression, qui bien sûr peut être subjective & sujette à interprétation, qui peut aussi être influencée par des éléments externes. Non il s'agit maintenant d'une réalité tangible, qui ne trouve absolument aucune excuse ni logique :-?

 

Après de longues discussions à la maison, nous sommes arrivés à la conclusion qu'il n'était de toutes manières plus du tout envisageable de continuer dans ce collège !
La confiance était définitivement rompue & je ne pourrais plus accepter de mon côté de confier mon zébrounet à des gens qui se paient ainsi ma tête & le mettent lui, en danger.

 

Une page se tourne, encore une fois !

 

Le courrier faisant état de la radiation de cet établissement a donc été déposé en mains propres hier, & les démarches d'inscription dans un autre collège ont également été faites :up:

 

A compter de la rentrée, mon loustic sera donc scolarisé dans un collège public, qui lui offre les mêmes options en 5ème (à savoir bilangue allemand & option latin). En espérant que ce choix lui apporte la sérénité qu'il n'a pas eu la chance d'avoir cette année...

 

Hier soir, la chef d'établissement de son désormais ancien collège m'a appelée (il n'était pas présent pour me rencontrer dans la journée lorsque j'ai déposé ma lettre), pour savoir ce qui motivait notre départ :-|

 

Comme si elle ne le savait pas déjà...

 

J'ai donc mis les choses au clair en reprenant l'historique depuis septembre 2013. Bien sûr, la dame ne comprend pas, n'est pas au courant de ce qui est gênant pour lui & son équipe ("il aurait fallu en parler ensemble..." quand on voit ce que mes essais de dialogue ont donné !), m'assure que son collège, privé & catholique est bourré de vraies valeurs, & le clou de cette tirade :

 

Le maître-mot chez nous : la bienveillance !

 

Diantre, qu'est-ce que ça aurait été sans cette "bienveillance", me dis-je ! LOL

 

Ce fut un grand moment, croyez-moi. J'ai dit tout ce que MOI je voyais de cet établissement, dans le concret, dans la pratique au quotidien & non dans les jolies paroles commerciales qui font chouette sur le papier glacé des brochures de 50 pages vantant les mérites de ce collège qui se voudrait exemplaire.

 

La discussion, animée & franche (de ma part au moins) m'a cependant permis d'apprendre que le fameux agresseur de janvier avait écopé non pas d'une journée de mise à pied, comme me l'avait rapporté mon loustic, mais de 15 jours de mise à pied après conseil de discipline.
Mais là encore, comme je l'ai dit à cette chef d'établissement, PERSONNE ne m'a tenue au courant. Je n'ai jamais eu le moindre retour, que ce soit du CPE ou de quiconque, quant aux suites de cette affaire.

 

Et là, mon interlocutrice a eu cette phrase magnifique :

 

Mais vous deviez bien le savoir, ça parle parmi les parents & tout le monde le savait !

 

Formidable ! Il faut donc aller chercher les infos dans les ragots & rumeurs...
J'ai expliqué à ce femme que je n'étais pas portée là dessus, & que je me contentais d'amener & de venir chercher mon fils, sans avoir de lien particulier avec les autres familles. J'étais en effet coupable d'être une mère tranquille, travaillant chez elle & non préoccupée par les cancans qui en tiennent pas mal en haleine, c'est certain :-?

 

J'ai aussi attendu une réponse à ma demande d'explication quant à la décision du CPE de placer mon fils dans le bungalow de cet enfant agresseur. Elle fut un authentique bottage en touche : "je n'ai pas les éléments pour vous répondre".
Je n'en attendais pas moins de ce personnage qui n'appréciait manifestement pas que je lui mette le nez dans la merde.

 

Les valeurs, leur mot préféré. Ils n'ont que ça à la bouche, mais il est aussi souvent invoqué qu'il sonne creux quand ils l'utilisent.
Petit exemple d'anecdotes que mon fils nous a rapporté & qui illustre très bien l'application toute personnelle de ces "valeurs" qu'ils aiment tant mettre en avant dès qu'ils en ont l’opportunité :

 

Il avait été demandé aux parents, lors de la réunion d'informations sur le voyage de fin d'année, de préparer dans le sac à dos pour le lundi du départ
- un goûter (qui serait pris lors d'une pause sur la route)
- un pique-nique pour le dîner (qui serait consommé pendant la traversée)

 

Finalement, les enfants n'ont pas goûté, pas plus que dîné !
Il leur a été interdit de sortir leur repas & leurs bouteilles des sacs à dos (sachant que cela se passait fin juin...) & ils sont restés sans manger ni boire jusqu'au lendemain matin, date d'arrivée dans leur camp.

 

Mais ce jeûne ne fut pas imposé à tous, pensez-vous ! Les 10 accompagnateurs ne se sont pas privés, eux, de s'acheter des pizzas & des sodas dans un des bars du bateau. Et ils ont dégusté ensemble leur repas sans la moindre gêne, devant une centaine d'enfants qu'ils avaient privé de manger & de boire :oh:

 

Rebelote au retour, & pour les intrépides qui ont alors osé aller s'acheter une canette de Coca avec le restant de leurs sous, elles ont été saisies (& bues !!!) par les enseignants :down:

 

Donc non seulement la nourriture préparée par les parents a finalement été jetée, mais les enfants sont restés le ventre vide à regarder leurs enseignants se goinfrer devant eux, alors même que leur famille les imaginaient pique-niquant joyeusement.

 

Dans ce cas encore, il faudra m'expliquer les vertus de cette attitude lorsqu'on prétend prôner des valeurs de partage, de respect, d'entraide, etc. :oops:

 

Ce chapitre se referme par conséquent sans regret. Avec l'espoir que l'année prochaine soit plus paisible & agréable que l'année scolaire qui vient de s'écouler :dots:

 

 

 

:idea: notre témoignage est paru, en 2016, aux éditions Eyrolles : "Les Tribulations d'un Petit Zèbre, le livre du blog !" :-D

 

Quand parait le livre

 

 

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70 commentaires à “Une page se tourne, encore une fois !”

  1. anémone dit :

    une lettre aux instances éducation nationale oui mais ça reste interne
    une lettre au diocèse, oui, mais là aussi, ça reste interne

    je crois qu’il faudrait ces lettres et copie à la presse quotidienne évidemment mentionné sur la lettre que vous faites une copie à la presse

    je pense sincèrement qu’il y a lieu que des sanctions soient prises à l’encontre de ce collège ou du moins de ses responsables et des profs défaillants

    j’ai connu quand mon aîné était en 6ème une prof de français qui ne supportait pas que mon fils ne fasse pas de fautes d’orthographe !! du coup, pour ne pas lui mettre 20/20, eh bien elle prenait son effaceur et enlevait un « s » par ci, un « ent » par là… le problème, c’est que ça se voit au bout de quelques jours, la trace de l’effaceur jaunit et ce qu’on a effacé réapparaît … c’est bête non ??
    la sanction avait été: prof « déplacée » donc a continué de déconner ailleurs, d’autres victimes sans doute…

    l’EN a un vrai problème de reclassement des enseignants inadaptés à leur métier
    ailleurs, on change de métier, là, on garde et on essaye d’essuyer les plâtres au fur et à mesure, quand on n’a pas baissé les bras

    mais attention, il y a aussi plein de parents procéduriers qui sont agressifs avec des enfants ingérables à qui il ne faut rien dire
    et du coup, quand on a une vrai revendication justifiée, on n’est pas toujours pris au sérieux et écouté comme il se devrait.

    l’EN aujourd’hui est devenu une véritable poudrière à l’image de notre société qui se met à marcher sur la tête

    où le problème des HPI n’est qu’un tout petit problème face à tout ce qui dysfonctionne

    courage
    il faut continuer de se battre et rester vigilant

    • Ingrid dit :

      l’enseignant effaçait des accords pour que votre enfant ait des fautes :-o j’en reste bouche bée, c’est une blague, c’est pas possible! Mazette :(

      • anémone dit :

        il y a des adultes qui vont mal même au sein de l’EN
        fabriquer des fautes d’orthographe, c’est véridique et le principal de ce collège rural, paumé à 3 h de routes du rectorat récupérait les pauvres profs qui n’avaient pas d’autres places ailleurs

        oui, à l’EN, il y a des endroits où personne ne veut aller bosser et malheureusement, la majorité des profs de ces collèges font contre mauvaise fortune bon coeur pour attendre une place dans un meilleur endroit

        oui, il y a du harcèlement partout
        mais si les adultes vont bien, les problèmes sont faciles à désamorcer
        les adultes doivent se serrer les coudes, que ce soit les parents ou les membres de l’EN (profs et autres professions)

        j’ai aussi connu un enfant handicapé physique qui a été obligé durant ses années collèges de s’enfuir du collège tellement les autres enfants étaient méchants avec lui !! lui non plus n’a pas pu avoir recours à des adultes protecteurs au sein de l’institution

        c’est dramatique et pas nouveau
        il faut encore et encore se battre, se regrouper, unir nos forces

        pour votre zébrillon, il faudrait voir les autres parents et regrouper des témoignages des autres petits 6èmes
        je crois qu’il ne faut surtout pas en rester là car l’impunité est la pire des choses
        elle ne fera qu’entériner la suite : si vous ne faites rien, ça continuera

        bon courage

  2. Desoph dit :

    Les enfants qui ont été privé de s’alimenter et de boire pendant une journée est un cas grave de maltraitance et ces faits sont punissable par la justice, surtout venant de gens qui ont la charge et la responsabilité d’enfants, dans ce genre de situation l’agrément devrait leur être retiré. Un dépôt de plainte devrait être déposé. Bien sûr il faudrait que ce soit collectif ou que plusieurs parents le fassent pour qu’il y ait plus de poids, car il n’y a pas que l’EN qui est aveugle.

  3. gaelle C dit :

    Je suis choquée mais pas très étonnée ! Étant moi même CPE dans le public et mère de zèbres , je crois vraiment que cela ne arriverait pas dans un collège public! J’entends toujours la même rengaine concernant le peu d’écoute du privé , l’ étouffement des affaires de harcèlement alors que dans le public , nous commençons à être formé ( fascicules du ministre , site internet , formations internes aux établissements ou dans les plans académiques de formation …). Le harcèlement a lieu dans TOUS les établissements et il y a des moyens de le combattre ! J’espère que vous trouverez un ou une CPE qui participera à l’épanouissement de votre zèbre , c’est notre première mission et c’est pour ça que mon métier me passionne !

    • Nuances dit :

      Gaëlle, je pense que vous ne pouvez pas opposer ainsi privé et public ! Mes fils, zebres, ont fait jusqu’à cette année (entrée en 6e) toute leur scolarité dans le public. Pas un enseignant ( si ce n’est la maîtresse de petite section) n’a été attentif , n’a identifié la zébritude et identifié le harcèlement. Mon fils a été gravement harcelé dans le public. Tous les témoignages sur ce blog en attestent, malheureusement nous ne pouvons pas opposer le public et le privé sur le thème de la bonne prise en compte des besoins spécifiques des EIP et/ou de la prévention ou traitement efficace contre le harcèlement.
      Il y a juste de rares directeurs (trices) d’établissement et certains enseignants exceptionnels mais rares qui dans le privé et le public ont les compétences, l’envie et la sensibilité pour traiter efficacement ces sujets.

  4. Camdol dit :

    Je suis plus que choqué et je pense que cela devrait être signalé au procureur de la république, pas moins. privée des enfants de manger et boire , c’est de la maltraitance, se baffrer devant eux c’est de la torture a mes yeux, et au yeux de la loi. Ces gens qui oont perpettré de tels actes doivent être punis, et leur capacité a travailler dans le domaine de l’enfance mise en doute.
    J’espère que vous trouverez la force de faire ce qu’il faut. Bon courage pensée positive pour vous et votre zebrillon

  5. Ingrid dit :

    :( Que dire. Ca me laisse sans voix. Allez vous exigés des explications du CPE quant au fait d’avoir mis votre fils dans le même bungalow que son agresseur? C’est de la pure méchanceté. Et ne pas les avoir nourrit et désaltérés alors qu’ils avaient de quoi, là non plus je ne laisserais pas passer. Même si je comprends que vous devez en avoir marre de vous battre. Pourvu que ça se passe bien dans le prochain collège. Quelle aberration venant d’adulte censés prendre soin d’enfants.

  6. Nath dit :

    Ça dépasse l’entendement.

  7. NATOU dit :

    Quid d’une main courante concernant les agissements dans ce collège ? Ca me semblerait bien venu non ?
    Bon courage à vous et bonne chance dans le public l’an prochain !

  8. Lamikaouette dit :

    Je sais que mon commentaire arrive trop tard, mais parfois, et ca me navre de le dire, la menace et la violence en entretien privé, persuader l autre (le CPE) que RIEN ne saurait le sauver d une nouvelle defaillance de sa part, est la seule solution a court terme. Ca avait admirablement marché quand mon pere a fait croire au CPE de mon college (qui m avait puni pour m etre defendu) qu il allait le jeter par la fenetre en le plaquant contre le mur avec son bureau… Le gats a failli se pisser dessus, et apres? Plus aucun probleme pour moi ni mes freres. Pas de plainte non plus, bizarrement….

  9. Matthias dit :

    Je suis choqué, moi même EIP ayant souffert durant toutes mes années maternels et primaires fans le privée, le public n’est pas parfait mais à côté du privée c’est du luxe!!



:) :-D 8) :oops: :( :-o LOL :-| :-x :-P :-? :roll: :smile: more »

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