Pour les besoins d’un mémoire sur « La déscolarisation des élèves intellectuellement précoces »
Je partage sur le blog des questionnaires élaborés par une étudiante réunionnaise prénommée Clara, en Master 2 Recherche en Éducation
Son mémoire portera sur le thème de "La déscolarisation des élèves intellectuellement précoces"
Mémoire sous la direction de Maryvette Balcou, docteure en Sciences de l'Éducation & enseignante / chercheur à l’Institut de Formation Universitaire des Maîtres de la Réunion
Clara travaille au sein d'un collège à Saint-Denis de la Réunion qui dispose d'une classe spécifique pour les enfants surdoués & cela l'a amenée à s'intéresser à ces élèves atypiques qu'elle ne connaissait pas.
L'objectif de son mémoire de recherche est de répondre aux questions :
- la scolarisation à domicile est-elle plus bénéfique que la scolarisation traditionnelle ?
- qu'en est-il de la socialisation l'enfant, selon qu'il soit scolarisé ou éduqué en IEF ?
Voici donc 6 questionnaires selon qui répond (parent / élève / enseignant / association), mais aussi selon la situation de l'enfant surdoué (scolarisé ou instruit à domicile)
A propos des questions ciblées, Clara précise qu'il n'y a aucune obligation de répondre à toutes les questions, mais seulement à celles jugées pertinentes
On commence par les questionnaires adressés aux parents :
à ceux qui ont un ou des EIP scolarisés de manière classique
aux parents d'enfants (T)HPI scolarisés à domicile
Les questionnaires adressés aux élèves eux-mêmes :
aux enfants (T)HPI scolarisés
aux enfants surdoués en IEF
Et enfin, les questionnaires adressés :
aux enseignants d'enfants (T)HPI
aux associations autour de la douance
Les questionnaires sont à envoyer à Clara, par email
1 commentaire à “Pour les besoins d’un mémoire sur « La déscolarisation des élèves intellectuellement précoces »”
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Merci à Clara pour ce travail !
J’espère qu’elle nous fera partager son mémoire via le site.
Nous avons répondu avec mon zèbramoi.
Je ne sais si c’était le fait de répondre à un questionnaire (et non à sa maman ou à la psychologue qui le questionne), mais il a joué le jeu et cela m’a permis d’en apprendre un peu plus sur la vision qu’il a de sa scolarité.