Les 6 profils d’enfants intellectuellement précoces

Lorsque l'on parle d'enfants surdoués, on ne peut pas ignorer qu'il existe une grande diversité parmi les EIP (comme parmi les adultes doués) :!:

 

Loin d'être une armée de clones, s'ils ont des points communs - notamment bien entendu leur haut potentiel intellectuel - les différences sont également nombreuses, selon leur profil...

 

:arrow: je rappelle une fois encore que la douance n'est ni une maladie, ni une tare ou un problème en soi, mais que ce sont les décalages & les incompréhensions avec l'extérieur qui font souffrir une personne surefficiente :roll:

 

Parmi les grands traits de caractère ou de comportement qui reviennent souvent, on a par exemple (plus encore lorsqu'ils sont très jeunes), les questionnements incessants, les perpétuelles négociations, le refus de demander de l'aide, des oreilles qui traînent partout, un avis sur tout, des centres d'intérêt hors norme pour leur âge biologique, etc. :up:

 

Mais on trouve au sein des (T)HPI (pour "à Haut ou Très Haut Potentiel Intellectuel" ;) Si ces sigles vos sont encore étrangers, voyez ce petit lexique :) ) des personnalités vraiment très variées :round:

 

D'une même caractéristique, les profils des enfants peuvent amener à des réactions concrètes en apparence radicalement opposées.

 

La peur de l'échec, par exemple, pourra se traduire chez certains par un refus de prise de risque tout en assurant d'excellents résultats scolaires, parfois frisant le perfectionnisme obsessionnel (s'assurer être toujours le 1er pour être sûr de ne pas se trouver en situation estimée "d'échec", même quand il n'en est pas question du reste).

 

Chez d'autres, cette peur prendra des allures d'opposition aux enseignants & aux devoirs à rendre (ne pas travailler pour ne pas risquer de défaillir !), ou encore à une anxiété paralysante qui rendra l'enfant sous-performant.

 

Les Tribulations d'un Petit Zèbre, le livre du blog !

 

Ainsi, une même problématique sera gérée différemment, selon le type de profil qu'a votre enfant intellectuellement doué.
Et parce que ces différences existent & doivent impérativement être prises en compte (dans la famille, à l'école), il est aberrant de parler de "l'EIP" comme si tous les enfant HQI ou THQI représentaient quelque chose d'uniforme :-x

 

Or pour identifier un enfant surdoué, il faut avoir conscience de ces différences, les connaître, les comprendre & les avoir assimilées, afin de ne pas passer à côté d'enfants plus discrets.
Tous les EIP ne correspondent pas à l'image de "(très) bon élève" véhiculée par les croyances toujours tenaces dans l'esprit de beaucoup d'enseignants comme de parents !

 

Certains enfants à haut potentiel le sont, effectivement, mais ils ne sont seulement qu'une petite part des enfants surdoués. Je dirais la part la plus facilement identifiable, notamment par les équipes éducatives, mais certainement pas celle regroupant le plus d'enfants doués, car cette part ne concerne qu'un seul des 6 profils définis & que je vais vous détailler :(

 

Ne passons pas à côté de tous ceux qui ne portent pas ces caractéristiques !!!

 

Les 6 profils d'enfants intellectuellement précocesDans les années 80, 2 spécialistes américains, Georges Betts (enseignant spécialisé à l'Université du Colorado & président de la National Association of Gifted Children) & Maureen Neihart (docteur en psychologie), ont dégagé 6 grands profils d'élèves à haut potentiel intellectuel, suite plusieurs années d'étude & d'observations.

 

:idea: à noter que les profils II, III, IV & V sont caractérisés par des traits de personnalité pouvant parfaitement occulter ou minorer le haut potentiel intellectuel de ces enfants. Et cela sur le plan scolaire comme dans les résultats lors d'un bilan psychométrique !
Un psychologue peu connaisseur de la douance pourra alors passer à côté s'il ne s'en tient à un bilan chiffré sans réelle analyse des 10 subtests :down:

 

Type I – "The successful", l’élève qui réussit

On considère que 90% des enfants HQI / THQI identifiés à l'école primaire sur conseil du corps enseignant correspondent à ce profil. L'élève qui réussit sans souci apprend bien, fonctionne sans difficulté à l'école, sans se faire remarquer & obtient de très bons résultats aux tests de QI. Il est souvent très apprécié des enseignants.
Il recherche toujours l’approbation des adultes, ou des personnes qui jouent un rôle dans sa vie, est conformiste & pas particulièrement affirmé. Il prend peu de risque de peur d'être mis en situation d'échec. Généralement (très) perfectionniste, il lui arrive rarement d’éprouver des troubles de comportement à l’école.

 

Type II – "The challenging", l’élève provocateur

Extrêmement créatif & à la pensée divergente, il peut toutefois sembler obstiné, manquer de tact ou être sarcastique. Ce 2nd profil est peu fréquemment identifié comme HPI par les enseignants car particulièrement non-conforme au système scolaire ! Son ennui en classe est manifeste, & l'attitude de ce type d'élèves peut être source de conflits.
Il a une forte tendance à corriger les adultes, à mettre en doute les règles, à très mal maîtriser ses émotions & à défendre ses convictions de manière frontale, tant à l’école qu’à la maison.

 

Type III – "The underground", l’élève effacé

Fréquemment de sexe féminin, cet élève est dans le déni de ses capacités intellectuelles hors norme. Il refuse d’admettre son surdouement pour être accepté par les autres, ce qui a pour conséquence des capacités d'adaptation importantes (il est un excellent caméléon), mais allant de paire avec une immense frustration, une mise sous pression intense & une
difficulté à exprimer ses sentiments profonds. Le tout donnant un manque d'assurance & une très mauvaise estime de soi.
Les résultats scolaires vont de moyens à bons, & c'est un profil que l'on retrouve souvent en fin de primaire ou début de secondaire.

 

Type IV – "The dropout", l’élève décrocheur

Il est en colère (d'ailleurs, dans la littérature anglophone on le retrouve sous 2 noms : "the dropout" & "the angry") & toujours sur la défensive : il en veut aux adultes, à la société toute entière mais aussi à lui-même.
Il a le sentiment que le système scolaire n’a pas su répondre à ses besoins depuis un certain nombre d’années. Ayant une très mauvaise estime de soi, il se sent rejeté & est souvent amer & plein de rancœur. Cet élève refuse de faire ses devoirs & ses résultats ainsi que son rendement scolaire ne sont pas uniformes. Il donne l’impression de posséder des aptitudes intellectuelles moyennes, voire inférieures.
Ce profil peut prendre la forme d’enfants qui dérangent & profitent des autres ou, au contraire, d’élèves très effacés & non-présents en classe.

 

Type V – "The twice-exceptional", l’élève doublement exceptionnel

C'est un enfant qui malgré son haut potentiel intellectuel cumule, soit des troubles d’apprentissage, soit des troubles affectifs ou encore un Trouble du Spectre Autistique, un handicap physique. Bref, il n'est pas "que" surdoué, il une seconde particularité qui le rend doublement exceptionnel, mais aussi, qui peut parfois rendre plus compliquée l'identification de son surdouement.
Il ignore souvent ses grandes capacités & a une faible estime de soi. Son travail peut être de qualité inférieure ou relativement incomplet du fait d'une lenteur en classe à exécuter les tâches demandées. L’échec représente pour lui une grande source d’anxiété & il peut adopter un comportement perturbateur en cours.

 

Type VI – "The autonomous learner", l’élève autonome

C'est un élève indépendant, sûr de lui & très enthousiaste à l'idée d'apprendre. Souvent autodidacte, il s'accepte & est tout à fait capable de prendre des risques.
Il est persévérant & aime se lancer des défis, il défend facilement ses convictions & est très bien accepté par ses camarades comme par les enseignants & les autres adultes.
Cet élève exprime librement ses sentiments, ses besoins & ses objectifs. Il a une estime de soi favorable, scolairement parlant il réussit bien & se sert du système scolaire à bon escient pour se créer de nouvelles occasions. Il suscite souvent admiration & sympathie.

 

 

 

Voilà pour les 6 profils, mais les choses sont souvent plus compliquées qu'il n'y paraît. En effet, la douance d'un enfant peut prendre une forme très différente selon les âges, selon ce qu'il a vécu, ce qu'il a perçu du monde & des personnes qui l'entourent :-|

 

Entre ses premiers pas à l'école en maternelle & le collège ou le lycée, les choses peuvent beaucoup évoluer. Les circonstances changent, le fait ou non d'être identifié EIP & reconnu comme tel de manière positive... ou à l'inverse de manière négative a aussi une grande importance dans la façon dont l'enfant se comportera. Mais d'autres variables entrent en jeu, comme le regard des parents, de la famille & de tous les acteurs autour de l'enfant qui peut lui aussi se modifier au fil des années, la puberté, les changements familiaux (divorce, naissance, etc.).
Tout ceci peut bien sûr avoir des incidences sur un enfant, & de surcroît, sur un enfant intellectuellement précoce & hypersensible.

 

Ainsi, on ne peut pas résumer un enfant doué à un numéro de profil, pas plus qu'il ne faut le définir par un score de QI :oops:

 

Par exemple un enfant peut manifester tous les signes d'un type IV (élève décrocheur) & après un bilan mettant en évidence son surdouement, se sentir délivré de cette colère & laisser libre court à des pensées créatives & divergentes qu'il avait enfoui au fond de lui, pour se retrouver dans un profil du type II (l'élève provocateur), avant d'évoluer encore au fil du temps.
Rien n'est figé dans le temps, & le sentiment croissant de la conscience de soi, les thérapies ou le hasard des rencontres peuvent faire qu'un enfant change "de case".

 

 

Pour finir, il ne faut pas perdre de vue le fait qu'il existe des enfants HPI chez qui l'on remarque un mélange de plusieurs profils. Même si un type domine, il n'est pas toujours simple de déterminer si on tendra plus vers le I ou vers le III, selon les années, les circonstances, les enseignants (les enfants doués, étant extrêmement sensibles aux personnes qu'ils ont en face d'eux, peuvent adopter des attitudes & avoir des réactions étrangement différentes d'un enseignant à l'autre, d'une période à l'autre...) :roll:

 

Les enfants surdoués ont, comme tous les autres enfants du reste, besoin de se sentir compris, acceptés & reconnus tant dans leurs besoin intellectuels que leurs besoins relationnels, émotionnels & sociaux ;)

 

C'est pourquoi il vaut mieux les identifier tôt afin de pouvoir mettre en place des aménagements & des aides dans le cas où leur profil le nécessite.
Il sera bien plus facile d'aider un jeune enfant HPI, avant que les problèmes ne soient installés dans la durée & l'estime de soi trop endommagée, plutôt qu'un HPI adolescent n'ayant jamais appris à travailler :-?

 

C'est ce que la psychologue Arielle Adda nomme très justement le goût de l'effort !
Un autre article sur ce sujet ici :-D

 

 

:idea: dans la littérature spécialisée, la psychologue belge (docteur en psychologie) Tessa Kieboom développe ces 6 profils, mais donne également des pistes pour chacun d'entre eux dans son excellent ouvrage paru chez De Boeck "Accompagner l'enfant surdoué", préfacé par Jean-Charles Terrassier :up:

 


Cliquez sur l'image de la couverture pour
retrouver le livre signé Tessa Kieboom
:)

 

 


 

 

Quels livres sur le surdouement, pour quel public ? :idea: & si vous souhaitez des conseils lecture, voilà ma page "Quels livres sur le surdouement, pour quel public ?" :-D

 

Car on n'a pas les mêmes besoins, les mêmes attentes d'une lecture sur la douance selon que l'on découvre totalement le sujet, ou que l'on soit déjà très connaisseur !

 

Selon que l'on soit parent, enseignant ou psychologue...

 

Selon que l'on cherche un livre pour soi, pour son enfant ou pour ses grands-parents ;)

 

Et de ce côté, un florilège des idées reçues concernant les enfants surdoués crée pour les lecteurs des Tribulations... & tout nouveau, un billet à propos des préjugés sur les adultes (T)HPI :-P

 

 

 

 


🎄 LE TRADITIONNEL BILLET "sélection de NOËL" est en ligne ! 🎁🎉

 

 

 

 

✏ Je vous propose quelques articles du blog pour mieux comprendre de quoi il s'agit lorsqu'on parle d'enfants (ou d'adultes) surdoués (... ou zèbres, ou (T)HPI, ou intellectuellement précoces, ou (T)HPI, ou surefficients intellectuels, etc. Absolument TOUS ces termes sont de stricts synonymes :up: ) :

 

✔ Spécifiquement sur les tests & bilans psychologiques :

 

- "Qui consulter pour un bilan psychométrique ?"

 

- "Coût d’un bilan psychologique ?"

 

- "Comment est construit un test de QI ?"

 

- "Tout ce que vous avez toujours voulu savoir sur le Wisc" (test psychométrique pour enfants en âge scolaire)

 

- "Tout ce que vous avez toujours voulu savoir sur le Wais" (test psychométrique pour grands ados & adultes)

 

- "Le chiffre rond !?"

 

- "Petit lexique en lien avec le surdouement à l’usage des néophytes"

 

 

✔ Quand on veut creuser le surdouement chez l'enfant :

 

- "[VIDÉO] « Savoir reconnaître un enfant atypique » sur CNews, septembre 2018"

 

- "Florilège d’idées reçues sur les enfants intellectuellement précoces"

 

- "Les 6 profils d’enfants intellectuellement précoces"

 

- "Je soupçonne un Haut Potentiel Intellectuel chez mon enfant, par où commencer ?"

 

- "Et si elle était surdouée ?"

 

- "Codes implicites"

 

- "Questionnements parmi les plus répandus à propos de surdouement, tests, sauts de classe, …"

 

- "Quels livres choisir sur le surdouement ? Et pour quel public ?"

 

- "Être parent d'enfant intellectuellement précoce..."

 

 

✔ Quand la douance concerne les adultes :

 

- "Florilège de préjugés autour de la douance & des adultes à Haut (ou Très Haut) Potentiel Intellectuel"

 

- "Comment reconnaître un adulte surdoué ? L’avis de Monique de Kermadec (Marie-France, mars 2017)"

 

- "Peut-on être à la fois surdoué & touché par le syndrome d’Asperger ?"

 

- "Moi, surdoué ? Vous plaisantez ! (Migrosmagazine.ch, août 2012)"

 

- "Adulte surdoué, questionnements à propos du test"

 

- "Les adultes surdoués : quel épanouissement ? (RCF Méditerranée, janvier 2016)"

 

- "Ces drôles de zèbres (France Culture, novembre 2015)"

 

- "[VIDÉO] Pauline de Saboulin Bollèna, une surdouée qui s’ignorait (Mille & une Vies, octobre 2016)"

 

- "Coming-out intellectuel… faut-il parler de son surdouement ?"

 

- "Ces femmes qui souffrent du syndrome de l’imposteur (LeFigaro Madame, septembre 2015)"

 

- "Adultes surdoués : comment gérer la différence ? (L’Express, février 2014)"

 

 


 

 

:idea: Et pour aller au-delà du blog, je suis l'auteure de trois ouvrages parus aux éditions Eyrolles :

 

- "Les Tribulations d'un petit zèbre. Épisodes de vie d'une famille à haut potentiel intellectuel" paru en juillet 2016, préfacé par Arielle Adda & Gabriel Wahl :-D

 

Les Tribulations d'un Petit Zèbre, le livre du blog !

 

 

- "Asperger & fière de l'être. Voyage au cœur d'un autisme pas comme les autres". Un regard unique en France sur le combo syndrome d'Asperger / haut potentiel intellectuel, paru en 2017 & préfacé par Laurie-Anne Sapey-Triomphe & Laurent Mottron ❤

 

- "L'Enfant atypique. Hyperactif, haut potentiel, Dys, Asperger… faire de sa différence une force", paru en 2018 dans la collection très particulière (& en quadrichromie ;) ) "Parents au top" :smile:

 

          
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318 commentaires à “Les 6 profils d’enfants intellectuellement précoces”

  1. Je suis un Type II, Ourson un type VI et Boucle d’Or va créer le type VII ;) ! A définir! :-P

  2. calade dit :

    ici ma grande – 12 ans – est clairement un type 3.
    Son petit frère – 8 ans – tend vers le type 2 mais change d’attitude en fonction des personnes qui l’entourent.

    Merci pour ces articles riches et éclairants.

    • Prencipe dit :

      Bonjour, Je me permet de vous répondre et en faite, je me pose une question! C’est que ma fille de 7 ans le serait peut-être et comment savoir et faire ce teste de HPI?
      Merci d’avance…

      Avec mes meilleurs salutations!

      • A. Zebrounet dit :

        Bjour :)

        Un diagnostic de précocité intellectuelle se pose par un psychologue clinicien, après un bilan complet. Un bilan psychologique comprend :
        – un test psychométrique (test de QI)
        – des tests de personnalité

        Ici, vous trouverez un billet sur les tests -> https://les-tribulations-dun-petit-zebre.com/2009/04/25/les-tests-defficience-intellectuelle/

        Là sur le Wisc (test pour enfants en âge scolaire) -> https://les-tribulations-dun-petit-zebre.com/2013/11/25/tout-ce-que-vous-avez-toujours-voulu-savoir-sur-le-wisc-iv/

        Un enfant surdoué ne se résume pas à un chiffre de QI, il y a bien d’autres aspects. Aussi je vous conseillerais de ne pas céder à la « tentation » de gratuité du psy scolaire (de même pour les CMP / CMPP ) : ils ne sont que TS rarement compétents en matière de précocité intellectuelle -> https://les-tribulations-dun-petit-zebre.com/2012/02/17/detection-des-enfants-surdoues-par-les-psychologues-scolaires/

        Il est plus prudent de vous rapprocher des antennes locales des associations de référence telles l’AFEP ou l’ANPEIP qui pourront vous aiguiller vers un cabinet de psychologues travaillant avec eux :up:

        Alexandra

  3. Famille à rayures dit :

    Belle synthèse !!! Chez nous c’est type II en aîné copain avec un zèbre clairement type VI (les contraires s’attirent), ma fille type IV et le petit dernier type I. Franchement c’est plus facile avec un type I !!!!! Même si à la maison il est légèrement type II !!!Je connais un type v un vrai génie! Finalement il s’applique à tous les enfants mais en plus exacerbé pour les zèbres peut-être? Les grands rêveurs sont dans quelle catégorie car ils s’effacent mais pas forcément de manière si nihiliste car ils investissent avec plaisir leur domaine de prédilection leur monde intérieur?

    • Fleur dit :

      Pourquoi vouloir a tout pris casé vos enfant et leur entourage ! Vous en parlez comme des annimeaux de différentes race ! C’est assez ignoble ! Je détesterai que l’on parle de moi de la sorte !

  4. mamounette35 dit :

    mon grand est plutôt un type 2 allant vers le 3.

    son petit frère lui c’est clairement le type 6

    • Vaness' dit :

      C’est troublant, j’ai aussi un grand qui est devenu clairement « type 2 » à son entrée au collège, et son petit frère est sans aucun doute « type 6 » (ce qui fait dire au grand, qui a 18 ans maintenant, que son petit frère est « l’enfant modèle)
      Peut-être qu’en nous voyant galérer avec l’aîné, il s’est appliqué à ne pas suivre le même chemin ?

      • Fleur dit :

        Je pense que c’est exactement ça :)
        Personellement je suis plus type 6 et j’ai un grand frère avec qui j’ai 7 ans d’écart qui avait vraiment énormément de mal avec le collège et voyant mes parents galérer avec et le voyant fugué je me suis dis que je ne serai pas comme ça et la suite c’est fait d’elle même je me suis mis des objectifs très haut visant les plus grandes université et j’avais ce beqoin d’être la meilleur …. Faite attention a votre enfant je pense avec du recule que tout cela m’a fait beaucoup de mal

  5. Rainbow dit :

    Je ne reconnais aucun de ces types pour mes enfants….

  6. Torres dit :

    Bonjour, mon mari et moi reconnaissons sans aucun doute notre zebrou dans le Type III – « The underground », l’élève effacé. Mais que faire pour l’aider? Si certains d’entre vous ont des conseils, nous sommes preneurs! Mille merci pour votre blog et à tous pour les échanges.

    • A. Zebrounet dit :

      Merci :)
      Je prépare un billet sur ce point ;)

      • Rajounet dit :

        Bonjour,
        le type III m’intéresse aussi. Je pense que j’en suis, et ma fille aussi sans doute…
        Et je me demande encore comment m’en sortir à l’âge adulte dans le monde du travail et de l’entreprise : ennui, incapacité à exprimer ses (réels) ressentis, camouflage… et grande souffrance du regard de l’autre sur soi qui est erroné et nous pousse à nous prendre pour ce qu’on est pas (conformisme).
        Tout cela devient insupportable quand on en prend conscience (bilan) et qu’on cherche à en sortir, en se faisant aider par un psy connaisseur (8 ans de psy réfutant l’idée d’une spécificité de pensée, ça va bien), mais qu’on ne trouve pas de psy connaisseur dans sa région!
        Comment faire??? Où trouver de l’aide et la force de continuer?
        Je serais heureuse de lire vos témoignages ou vos pistes.
        Merci.

        Marie

  7. Anne-Marie dit :

    Ma zébrette navigue entre le 1 et le 3… en ce moment clairement 3, en classe de 4° et me répète régulièrement qu’elle n’est pas surdouée et qu’elle veut juste être normale … mais elle l’est :-)

    J’avoue ne plus savoir quoi faire pour l’aider à sortir de sa réserve en ce moment.

  8. daoine dit :

    Type Vpour le mien avec pas mal de traits du type II en plus

  9. lechalote dit :

    Cet acharnement à vouloir mettre les gens dans des cases ne cessera jamais de me stupéfier…En effet, je crois qu’il est définitivement dangereux de vouloir réduire une personne à un profil ou un chiffre. Se fier à son instinct, de ce qui est bon pour son enfant, comprendre, partager et échanger avec lui de la façon la plus authentique possible, aller à son rythme avec confiance et amour, je crois qu’il n’y a pas d’autre clé.

    • Fleur dit :

      Merci :) paf ce que c’est effectivement ce besoin de conformisme qui règne dans le millieu scolaire qui fait que des élèves precoces ou en difficulté ne s’en sorte pas et decroche !

    • Marcel_Prout dit :

      « comprendre », « partager », « échanger », « authentique », « confiance », « amour »…
      Vous seriez pas un peu de gauche, vous ? (Ségolène, sors de ce corps !)
      Vous caricaturez.
      Analyse, état des lieux, taxinomie (on dit comme ça en pédagogie je crois), permettent de jeter les bases d’une étude.
      En aucun cas il n’y a obligation de coller des étiquettes ad vitam aeternam, ni d’imposer à qui que ce soit de se conformer à toutes ses caractéristiques apparentes.
      Vous voyez le mal où il n’est pas, vous écoutez trop France Inter ;-)
      Un introverti notoire peut se révéler aussi bien un extraverti refoulé donc en souffrance, qu’un contemplatif silencieux, observateur, et heureux de l’être.
      N’empêche que la moindre des choses est d’avoir déjà remarqué son introversion.
      Perso j’utilise même les signes astrologiques – horresco referens ! – pour analyser une personnalité.
      On peut avoir la confiance en soi + l’autorité naturelle du lion et l’ambiguité du gémeau ; ou la grâce + la diplomatie + la délicatesse de la balance, et l’agressivité + le machiavélisme + la ténacité du scorpion (et c’est pas facile à vivre ;-).
      Nonobstant bien entendu le profil astral réel de la personne étudiée, dont quelque part on se bat les flancs.

  10. patousax dit :

    merci pour cet article
    mon fils de 26 ans qui vient seulement d’être détecter se reconnait dans 3 de ces descriptions, à chaque âge une autre attitude

  11. Jojo dit :

    Diagnostic en 82 (6e) qit de 147 Et en fait j’ai connu trois profils Jusqu’à la fin du collège, l’élève qui réussit, au lycée le décrocheur et enfin, dans les études supérieures , l’autonome…… Je crois qu’heureusement qu’on en parlait moins, car expérimentalement mes parents ont mis en place les conditions de ma vie épanouie actuelle. Merci . J’espère faire pareil pour mes deux petites zèbres qui m’ont l’air malignes ….. Je crois que tant qu’elles vont bien, je ne les ferai pas tester….. Ai je tort?

    • Rainbow dit :

      Oui je le pense. Elles ne donnent peut- être que l’impression d’aller bien ou n’ont pas forcément conscience de pourquoi ça ne va pas toujours bien s’en pouvoir se l’expliquer. Les filles sont davantage « caméléon » et semblent mieux se fondre dans la masse.
      J’ai connu personnellement les trois profils: élève qui réussissait en collège, qui se plantait et se cherchait au lycée et qui a fait des études supérieures scientifiques, je ne suis pourtant pas parvenue à trouver un travail interessant et épanouissant. Tout au plus est-il alimentaire, mais mon quotidien s’en ressent et à quanrante ans, si je n’avais pas mes enfants THQI et mon époux THQi ( mieux loti que moi question situation professionelle) je crois que ma vie serait d’une vacuité terrible et j’aurai du mal à y trouver un sens.
      Le fait de savoir que je suis THQi m’aide â relativiser et à ne pas sombrer dans la depression. On a beau être intelligents, il y a des tas de paramêtres que l’on ne maitrise pas ( la santé par exemple) et cela m’a permi aussi de rencontrer l’homme de ma vie, de même niveau intellectuel que moi. Je pense souvent que les couples qui se séparent ou qui divorcent sont souvent au départ très mal assortis intellectuellement. Passé le coup de foudre et les sensations physiques violentes du début d’une relation, cela ne peut que se déteriorer quand on ne partage ni les mêmes goûts, ni les mêmes centres d’intérêts ni le même mode de réflexion. Ce doit être dur de se dire que son mari est un sombre crétin ou même de réussir à se l’avouer.
      Oui il vaut mieux savoir, pour vous, pour elles pour qu’elles sachent ou et avec qui elle mettront les pieds dans la vie. Cela ne la compliquera pas, ni ne la rendra pas plus facile, mais elles sauront, et c’est toujours mieux de savoir que de supposer ou de s’interroger sans obtenir de réponse valable….

  12. Lélé dit :

    Bonjour tous, toutes,
    Je me lance après plusieurs mois de lectures assidues sur le sujet entre autres sur votre blog.
    Mon fiston, 11 ans, détecté depuis peu mais soupçonné depuis longtemps a passé des tests récemment depuis que ses relations avec son institutrice se sont dégradées.

    Cela a permis de sauter le pas et de consulter un psy. Les associations me paraissaient parfois trop « militantes » voire éventuellement partiales pour me convaincre de m’adresser à elles, j’ai choisi un psy spécialisé dans la détection des troubles liés à l’école.

    Les tests ont été réalisés et le rapport oral a été très clair. Pour le psy, notre fils pouvait tout de suite sauter une classe et ne présentait pas de trouble (nous avions pensé à la possibilité d’un TDAH vu la description de l’instit’).

    Depuis, j’ai reçu le rapport écrit et me pose certaines questions, en rapport avec les résultats mais également en rapport avec son profil.
    Le test réalisé est le KABC et il semble avoir été affiné par certains subtests du Wisc 4.
    J’essaye de comprendre leur contenu mais je trouve peu de renseignements sur leur interprétation.
    Je m’explique: Il s’agit de 4 échelles: l’échelle séquentielle, apprentissage, planification et simultanée.
    Si j’ai bien compris, seules les échelles séquentielles et simultanées seraient utilisées pour obtenir un score pouvant être comparé au QI. Je suppose que les autres échelles apportent des renseignements intéressants sur le profil mais pas en termes de QI.

    Dans le cas de mon fils, les résultats sont: 114 pour l’échelle séquentielle et 139 pour l’échelle simultanée.
    Si il avait présenté un profil inverse, pourrait-il également être HP? Si seul le 139 est susceptible de représenter le HP, à quoi sert l’autre et pourquoi fait-il partie du QI ?
    Peut-on regrouper les indices du wisc et les répartir sur les échelles du Kabc?
    L’intelligence séquentielle est-elle l’intelligence scolaire et la simultanée l’intelligence créative?
    Est-ce que le 139 pourrait induire le 115 (soit l’échelle séquentielle peut-elle baisser avec le temps à force d’être négligée?).

    Enfin la question subsidiaire : le fait de présenter une dyssynchronie a-t-il un lien avec un certains profils, par exemple le provocateur et le décrocheur?
    Il me semble qu’un QI homogène est plus susceptible d’amener à une bonne réussite scolaire non?
    Merci pour toutes ces infos intéressantes…

  13. bastien dit :

    Pour répondre à la question subsidiaire de Lélé, je lui conseille de lire le troisième article épinglé sur ce blog intitulé: Dyssynchronies et inhibition intellectuelle.
    Il traite de façon approfondie cette question et il ne faut pas hésiter à parcourir les liens indiqués pour comprendre cette caractéristique importante, concernant de nombreux enfants à haut potentiel.
    Et à mon avis, ce n’est pas une question subsidiaire ,elle est beaucoup plus que cela :!:

  14. Le lé dit :

    Bonsoir Bastien, je viens de relire le paragraphe en question mais je n’y trouve pas ma réponse. Peut être me suis-je mal exprimée… tu veux dire que l’echelle la plus basse serait la conséquence d’une inhibition?

  15. gaillot dit :

    Bonsoir
    La maitresse de mon fils 6ans en CP m’a dit cette semaine qu’il serait bien qu’il consulte un psy spécialisé dans la douance
    Perso je trouve mon fils très intelligent mais certains critères communs aux surdoués ne m’ont jamais ete super flagrants comme lextreme curiosite ou le gout pour des matieres hors normes
    Ayant moi même été détectée IP a 14 ans et pas spécialement suivie, la seule issu proposée a été l’école de surdoués, ça a été un trauma pour moi et pour rester dans la « norme » j’ai volontairement sabré ma scolarité
    Depuis (et j’ai 46ans) j’ai toujours l’impression de ne pas être comme tout le monde et cela m’a grandement porter préjudice dans ma vie sociale
    Aujourd’hui on m’invite a poser le meme mot sur la tête de mon fils qui posé sur la mienne m’a fait souffrir
    Que dois je faire sachant que ma première préoccupation est l’équilibre et le bien être de mon fils
    Merci d’avance pour votre aide

    • Terry dit :

      Bonjour Gaillot,

      je pense que le fait de poser un diagnostic n’est pas un mal, loin de là. Etre consciente que ton fils a une particularité te permettra de le « surveiller » afin de lui apporter ton aide aux moments où il en aura besoin : un suivi, instaurer un dialogue avec les enseigants afin qu’ils prennent en compte ses potentialités, instaurer une dialogue avec ton fils afin qu’il comprenne que tout va bien, le rassurer.

      Mon fils de 7 ans est précoce, bien qu’atteint de TDA/H. Jusqu’à maintenant tout se passait très bien. Depuis quelques temps, nous remarquons qu’un écart commence doucement à se creuser entre ses camarades et lui. Il n’en souffre pas, il a toujours ses copains, mais il se demande pourquoi ses copains ne comprennent pas des choses qui sont, pour lui, très simples. Pourquoi ils sont un peu « bêtes » dans leur comportement etc… il commence à se sentir différent. Connaissant à présent sa particularité, je m’efforce de lui expliquer pourquoi il ressent cela, en insistant sur le fait que c’est normal, parce qu’il ressent et voit les choses différemment. Tout simplement.

      Cela le rassure. Et c’est déjà beaucoup! Ton fils est petit, mais très capable de comprendre les choses. Tu pourras lui apporter les réponses qu’il faut afin qu’il se sente bien. De plus, avec ton vécu, tu pourras lui éviter de vivre la même chose que toi!

      Bon courage. :-D

  16. Cora dit :

    Bonjour,
    J’ai un petit « challenging » à la maison…
    Cette année, il doit aller au collège l’année prochaine (avec un an d’avance), et ce côté « provocateur » va lui poser des problèmes…
    La psychologue qui a effectué son bilan nous dit que « c’est son tempérament », et qu’il n’y a pas grand-chose à y faire, à part être toujours ferme avec lui (ce que nous sommes la plupart du temps, bien obligé : Challenging Junior ne respecte la règle que si elle lui convient et qu’il n’a pas pu la contrecarrer…)
    Que me conseillez-vous ? Une classe spécialisée EHP (il y a un collège dans ma ville, pas de souci d’internat comme Maman Zèbre !) serait-elle la solution ?
    Comment avez-vous gérer les petits Challenging ?
    Merci pour ce blog particulièrement fourni et… déculpabilisant !
    Cora

  17. Tweety971 dit :

    Bonsoir à tous,
    Comme je l’ai fait remarqué sur une autre page de ce blog, je n’ai pas été faire de test encore pour ma part, je vais bientôt à voir 30 ans et je me reconnais dans 3 de ces 6 profils. ( type III et IV dans ma jeunesse et type VI maintenant ) :-?
    J’hésite encore a allé voir un psy spécialisé dans le domaine ( j’ai déjà consulter de ma propre initiative psychothérapeute et psychiatre pour des raisons d’états dépressif) et me faire tester. Je doute fortement d’avoir une certaine douance, du moins j’ai surtout peur de réaliser que c’est le cas. :-? Mais plus je lis votre blog plus je me rends compte qu’il faudra a un moment que je saute le pas.

    Cordialement

    Thierry

  18. Terry dit :

    Bonjour,

    je lis avec un grand intérêt un grand nombre de vos billets. Je suis une maman totalement perdue aujourd’hui.

    Il y a deux ans, mon fils aîné a été diagnostiqué atteint de TDA/H avec hyperactivité et impulsivité. Son frère aussi un an après. Et moi, je me suis reconnue dans ce trouble.

    Puis, des rencontres (avec une référente handicap et une maîtresse A.E.) nous ont poussés à établir un profil psychologique des enfants. Le bilan est que le grand de 10 ans est « précoce », son petit frère aussi (mais encore très gêné par son hyperactivité physique qui l’empêche d’être « au top »)!

    Du coup, je m’informe. Je lis, je regarde. Néanmoins, je reste perdue. Les caractéristiques d’une personne surdouée (adulte / enfant) me parlent aussi bien pour moi que pour mes fils. TDA/H, surdouance? Est-ce compatible? Quelles sont les solutions pour y voir clair? Comment vivre harmonieusement tous ensemble? Peut-on être sûr de ce que l’on est? Et une fois la réponse obtenue, est-ce que cela permet d’avancer?

    Merci à tous pour votre aide.

  19. Adrien dit :

    Bonsoir !

    Je viens ici dans le but d’avoir un début de réponse. Cela fait quelques temps que je me renseigne sur la douance, car je suis frappé par la similitude de certaines caractéristiques avec mon propre vécu. Mais, je suis méfiant des témoignages internet, alors je doute.
    Cet article m’a redonné la croyance en mon appartenance à cette catégorie :
    En fin de primaire, je me rapprochais beaucoup de ce que vous appelez le type III : Absolument aucune confiance en moi malgré de bons résultats scolaires, adoptant l’attitude du caméléon pour mieux me fondre dans la masse. Je me trouvais déjà étrange, en marge, mais je ne savais pas d’où venait ce mal-être.
    Je suis passé au type II assez rapidement au collège, oscillant toujours avec le type III, selon les personnes, les profs.. Quand le prof m’intéressait je passais plus volontiers au type I, bon c’était rare, il fallait que ce dernier trouve le moyen de me motiver à travailler.
    Lycée ca a été l’élève décrocheur, je n’ai continué que parce que mes parents m’y forçaient (et ils ont eu raison).
    Depuis la fac, je suis plutôt dans le profil autonome.

    Bref. En somme, je ne veux pas vraiment être un « zèbre » parce que ça confirmerait une différence qui m’a toujours fait souffrir au fond de moi. Mais mes lectures sur le sujet ne me laissent que peu de doute sur ma nature. Dois-je me faire dépister ? Quel intérêt aujourd’hui alors que j’ai 20 ans ? D’un autre côté je vous l’avoue, faire ce genre de test me stresserait énormément, je verrai un peu ça comme « Le test qui déterminera qui tu es avec fatalité ». Je sais que c’est stupide.
    Voilà, ça fait toujours du bien de coucher sur un support matériel ce genre de pensées, merci d’avance pour les hypothétiques réponses !

    • Gauthier-Lurty dit :

      Les test ne servent en réalité à rien .
      Ils donnent une valeurs numérique et classifie les personnes selont leurs coefficient intellectuel.
      Ces tests furent d’abord utiliser pour classifié les troubles mentaux mais de déformation en déformation , ils ont fini par classé les personne sur un bareme numérique.

      Quoi qu’il en soit , les tests ne sont là que pour répondre à tes questions et tes doutes . Ils ne changerons pas la personne que tu est. Si pour toi ce test serais un poids , ne le fait pas !

      Le Qi ne détermine pas l’intelligence mais tris les personne par catégorie.
      Croire qu’ils confirmeraient tes différence est idiot , tout le monde est différent voyons !
      Je ne vois pas en quoi un simple numéro te transformerais en un « zèbre » (pour reprendre tes mots) Au contraire , ils ne feront rien ni à ta vie , ni a ta réputation , ni à ce que tu est .

      Donc stop la paronia , on s’accepte comme on est ou on crève , voilà comment ça fonctionne la vie . Marche ou crève , les faibles s’éliminent d’eux même. (suicide ect …. mais la c’est un autre sujet)

      • A. Zebrounet dit :

        « Les test ne servent en réalité à rien »
        Et bien… que de certitudes à côté de la plaque :-x

      • Bibouille dit :

        Ah, ça c’est merveilleux.
        « Les faibles s’éliminent d’eux-mêmes ».

        C’est gentil d’émettre des jugements à droite, à gauche, comme ça et dire que ceux qui se suicident sont « faibles ».
        Je ne me retrouve pas du tout dans ce que vous dites, comme tous les dépressifs devraient le faire.

        Je suis fort pourtant, j’ai des idées suicidaires. J’ai du mal à vivre, entouré de gens que je ne comprends même pas et ça me déçoit beaucoup.
        Pourtant, j’arrive à être forte. Je ne me tue pas. Et Dieu sait que j’en ai envie.
        Je supporte pas les rires, je ne supporte rien, mais je me retiens.

        Ce sont les autres qui m’ont pourri la vie, et ça devrait être ceux qui m’ont fait devenir ce que je suis aujourd’hui qui devraient être faibles.
        Parce qu’ils n’ont pas su se contrôler, parce qu’ils se sont défoulés sur moi.
        Ils étaient tous stupides, apparemment.
        Et j’ai eu le malheur d’être différent.

        Je ne vous laisserai en aucun cas dire que ceux qui veulent se suicider, c’est complètement bête.

      • Lamikaouette dit :

        Pour quelqu un qui pretend donner des lecons de vie tel un sage sur sa colline, les jugements sont bien hâtifs… Je ne sais pas quel âge vous avez, ni même si vos neurones sont aussi remplis que votre commentaire semble tendre à prétendre, mais il est clair que vous ne faites pas illusion: vous etes adolescent.

        Alors toi, « jeune », qui croit tout savoir de la vie, je te dis ceci:

        Les modalites de detection, si stupides qu elles puissent te paraitre, sont une base objective permettant le debut du vrai travail de fond. Celui du recensement. Pour pouvoir émettre cette série de profils comportementaux dans lesquels tu te reconnais si bien sans pour autant passer les tests. Et qui te font te questionner (quoi que tu en dises) sur ta nature profonde, sur ton identite. Meme si se faire confirmer en HQI ou THQI ne changera pas ta vie… Ou pas…

        Quant a tes elans concernant les « forts » et les « faibles », que peux tu donc bien savoir de la force et de la faiblesse, et de la durete de la vie en general? Manifestement pas grand chose à te lire. Relis Darwin mon petit, ce ne sont pas les forts qui survivent, mais les mieux adaptés. Et dans le cas de l etre humain, etre le plus adapté inclus forcement beaucoup d interactions sociales.

        Pour ce qui est du cas du suicide, reflechis bien a ce que tu dis. En profondeur. Car si pour toi le suicide est l acte du faible qui dans un elan de facilite va mettre fin a ses jours, tu te gourres royalement. C est tout le contraire. Il faut beaucoup de force et de courage pour aller a l encontre de ses instincts les plus profonds. Et cet acte resulte d un long processus intellectuel. Je ne parle pas des mises en scenes où tout est fait pour que la personne soit sauvee, et qui sont des appels a l aide. Je parle des gens qui font en sorte que ca reussisse. On arrete pas cette grande aventure qu est la vie sur un couo de tete et la fleur au fusil. Et pour finir sur ce sujet: je te conseille de reflechir sur le rapport entre la force et la mort. Qui survit? Qui meurt? Qui fait le choix de mourir? Et est ce que vivre a tout prix est la cle du bonheur?

        Pardon pour la longueur de ce commentaire et son ton acerbe.

  20. Gauthier-Lurty Lucas dit :

    Je suis précoce de type 6 , confiance en mes performances et mon potentiels et j’assume tout à fait d’être , non pas forcément supérieurs à mes camarades mes surtout différents .

    Il ne faut pas voir la précocité comme une fatalité ! Au contraire , vous êtes différents des autres et analyser chaque situation d’une manière unique !

    Je suis maintenant en 4ème mais durant mes premières année de collège , j’étais trop « sûr » de moi et j’ais négliger quelque matière tel que l’anglais ou les maths , j’ais en quelque sorte sélectionner mes matières .

    Aujourd’hui , je doit réagir car mes moyennes sont anormalement basse en math , en Allemand et en Anglais par rapport à mes autres moyennes . Mes professeurs sont avec moi et veuille m’aider , il m’invite à travailler plus rigoureusement et d’utiliser mieux mes compétences car je l’avoue moi même , durant quelques année je ne fessait rien du tout pour avoir de bonnes notes . Elles tombait dans certaine matière toute seuls et d’autre non . Mais la 6ème et la 5ème sont des année d’apprentissage et non d’examens. Maintenant , le brevet approche et je doit vite remonter me notes , tout reprendre ci cela est nécessaire . Dans tout les cas , je n’ais pas encore passer de tests mais tout porte à croire que je suis différents des autres voir même plus en avance mentalement , plus sérieux ,brillant , observateurs …

    Bref , mais même si maintenant j’ais su me faire accepter de mes camarades , cela na pas toujours été le cas comme en primaires ou je me fessait rabaisser et humilier à longueur de temps ! J’étais isolé et incompris , mes professeur me prenais comme un mauvais élève mais ne me comprenais pas .

    Bon serte je suis encore jeunes et je peu remonter mes moyenne d’une manière fulgurante si je n’implique vraiment dans mon travail . Mais un conseil à tout personne dite précoce , ne lâcher pas prise et rester sûr de vous et de vos compétences , ne doutez pas de vous même et assumer qui vous êtes . Les tests ne sont la que pour confirmer ce que vous pensez , c’est à vous de voir si vous voulez faire vos tests de QI. Ne pensez pas que vous serez isoler ! Que ce soit avant ou après le test , vous restez la même personne et précoce ou non , vos amis resterons vos amis . Qu’est-ce-que l’honneur et la réputations face à notre potentiels et notre besoins de nous identifié soit même ? Rien de plus que des choses superflus dont nous ne somme pas dépendant !

    Enfin , pour résumer , Précoce ou non , test ou non vous restez le même et ceux , quoi qu’il arrive . Vous évoluez et vous vous adaptez au besoin mais ne croyez pas que vous serez isoler à cause de votre différences et de votre potentiels caché . Ce n’est pas une fatalité mais un avantages !

  21. Théo dit :

    Adrien, je me reconnais beaucoup dans votre analyse, j’ai moi aussi la « crainte » de me découvrir zèbre, surdoué ou quoi que ce soit.
    Concernant les profils, j’ai actuellement 17 ans, terminale, et je voudrais en savoir plus, je me sens seul, perdu, je ne sais pas si je suis incompris ou incompréhensible, je ne me lie a personne, très basse estime de moi, periode de souffrance, de déprime, de solitude, etc etc très récurrente, j’en arrive a un point ou je déballe tout ça sur internet, ce que je répugne a faire mais j’ai besoin d’aide, sinon de soutien..
    merci d’avance si vous avez des conseils, des témoignages ou quoi que ce soit

  22. TOSANIC dit :

    Bonjour,
    Mon fils serait plutot du style type 4, il a été « diagnostiqué » ‘je n’aime pas ce mot car ce n’est pas une maladie…EIP à 13 ans (il en a 14), et comme la personne aynat établi son profil lui a intelligement dit qu’elle ne se faisait pas de soucis pour lui, que même si il ne travaillait pas il réussirai, résultat de résultats scolaires justes moyens, nous passons à 0 travail et en échec scolaire.
    Il est en 3 ème et ne passera certainement pas en seconde.
    Il m’a bien averti qu’il n’en ferai pas plus de toute façon, car selon lui il n’y arrive pas.
    Je ne sais plus quoi faire ni vers quoi l’orienter, alors que mon discours reste que je ne le force pas à faire des études par la suite, qu’il fera selon son choix et que je ferai tout pour l’aider à aller vers ce qu’il voudra, rien n’y fait.
    Je ne sais vraiment pas comment faire.
    Je ne peux pas le déscolariser à 14 ans, il faut qu’il fasse un minimum d’études…

  23. rabih dit :

    Bonjour
    j’ai découvert votre site par hasard en cherchant qqs infos…
    Je suis confronté à un dilemme et à un système qui me conduit toujours à un cul-de sac…
    mon fils type II donc, a de fort troubles du comportement mais il ne veut pas être suivi… j’ai essayé plusieurs formes de thérapies mais il accroche à aucune en concluant  » je n’ai pas besoin d’aide ».
    Seulement, nous vivons « l’enfer » pendant ses crises émotionnelles et ses multiples menaces de suicide pour des « broutilles »… un rien peut tout faire basculer! une fois la crise passée, il ne se souvient presque de rien… en tout cas il ne se souvient pas de sa réaction hors du commun.
    il rentre bientôt au collège et je crains que le système ne lui soit pas adapté, un directeur a même refusé de le prendre si il n’est pas suivi…

    Tous les écrits sont état d’un test puis d’un suivi mais que faire quand le suivi est refusé?

    comment peut-on laisser un enfant de 10 ans sans aide et en déni de sa détresse juste parceque le protocole indique qu’il doit être volontaire?

    Avez vous été confronté à cela? que faire?

    merci d’avance

    • CarolineW dit :

      Bonjour Rabih,

      Le plus dur , dans ce genre de situation est de trouver la bonne discipline et surtout la bonne personne, c’est à dire une personne à qui votre enfant accepte de parler et de se confier.
      Il existe , de nos jours, une multitude d’approche de la psyché humaine différentes:
      – les psychothérapies « classiques » ( chez mon fils pas le plus efficace: le psy qui le bombarde de questions l’a vite « gonflé » et il s’est rapidement fermé)
      -la gestalt thérapie
      – des approches plus corporelles: Bio-energie, massages, apprendre à se relier à son corps et émtions …( voir les ouvrages d’I.Filioza)
      – des thérapies par le biais des animaux , je pense au cheval notamment , voir  » Le cheval miroir de nos émotions » d’I.Claude ( je fais de l’équitation et ce contact avec ce gros animal si sensible m’apporte beaucoup)
      Bonne chance. En espérant que votre fils finisse par trouver « chaussure à son pied ».

    • Maud dit :

      Bonjour,
      Je me retrouve très bien dans la description de votre fils (j’ai aujourd’hui 23ans).
      J’ai depuis toujours ces mêmes crises émotionnelles, très violentes, ces envies de suicide pendant ces crises, à cause de cette sensation que ça ne sert à rien d’avancer, que le futur ne sera que souffrance. Tout comme votre fils une fois la crise passée, je n’en mesure pas vraiment l’étendue, l’on me les raconte surtout.
      La « thérapie » avec les animaux, comme vous le suggère un autre commentaire, m’a énormément apaisé. Je n’ai pas fait de thérapie, j’ai tout simplement été bénévole (durant 6ans) à l’école de chiens guides d’aveugles de Paris, et cela dès mes 13ans et je peux vous garantir le bien incroyable que cela m’a fait. J’ai tenu tout le collège grâce à cela, je venais m’évader prêt de ces chiens si affectueux, attentifs et loyaux dès que je le pouvais.
      Par ailleurs attention avec votre fils, il est encore jeune, mais lorsque l’on est comme nous, l’on a vite tendance à chercher à s’évader de la réalité, et l’on retrouve beaucoup de personnes comme nous plongés des jours entiers dans les jeux vidéos… j’en suis sortie mais j’ai perdu des années de ma vie. Ça soulage, l’on ne pense plus, l’on ne ressent plus, ça devient donc terriblement addictif ! Mais ça ne fait que regarder le moment où l’on doit se confronter à la réalité du monde, notre monde. Aujourd’hui tout va beaucoup mieux et je serais ravie d’en parler avec vous si vous avez des questions !
      lovakim@free.fr
      Maud

      • Lamikaouette dit :

        S’il n’y avait que les jeux vidéo, ce serait le meilleur des mondes!

        Mais ne croyez pas que vous avez perdu votre temps. Ou attendez un âge avancé avant de l’affirmer. Qui sait, vous en tirerez peut être bien quelque chose de très positif de cette « perte de temps ». En soi, le fait de décider de sortir de la torpeur est un élan dont on peut être fier. Et qui est peut être le point de départ de votre vie, celle où vous faites le choix d’agir et non de subir.

        Il y a une definition du mot « crise » que j affectionne particulierement:
        « En chinois mandarin, le mot « crise » se dit « weiji » (危机). Ce mot comprend deux caractères : le caractère 危(wei) que nous retrouvons dans le mot 危险(weixian) qui veut dire « danger » ; et le caractère 机(ji) que nous retrouvons dans le mot 机会(jihui) qui veut dire opportunité, occasion. Il est très intéressant de voir que pour un Chinois, la crise est la concomitance du danger et de l’opportunité, une occasion au cœur du danger… » de Philippe LAURENT sur son site http://www.philippelaurent.org/index.php/blog/175-crise

        Cette définition colle assez bien à toutes les situations critiques de la vie.

        Bon courage pour la suite!

  24. Zaza_99 dit :

    bonjour, j’ai 15 ans et je viens de lire tous l’article, j’ai 138 de QI mais j’ai été « dépistée » l’annéé derniere. j’ai toujours eu de bons resultats scolaires mais en 3eme, j’ai commencé a flancher. je n’ai donc jamais vraiment « appris » atravailler et ca cause des petits problemes… je serais plutot du type I, et je n’ose pas m’investir a fond dans ce que je fais, par peur que ca ne change rien. j’aurais besoin de quelques conseils puisque j’ai l’impression qu’ici tous le monde est ou a un EIP. on m’a aussi parlé de domaine dans lequel en enfant est plus doué, comme un domaine de prédilection. probleme: dans mes résultats, la psycholoque a dit que j’etais trés homogene. donc je ne sais pas dans quel domaine je suis plus « douée’ si on peut dire . quelqu’un pourrait m’aider ? svp

    merci d’avance, Elza

    • Gauthier-Lurty dit :

      Elza , t’investir dans ton travail est serte ennuyeux voir lassant mais cela porte toujours ses fruits.

      En ce qui concerne les « sujets de prédilection » il ne faut pas confondre enfant Précoce et enfant Surdoué !

      L’enfant précoce est avancer dans un quelconque domaine par rapport à ses camarades (intellectuellement , biologiquement ect ….)

      L’enfant surdoué n’est pas forcément intelligent mais est plus habile et possède certaines facultés inné pour certain domaine (il peut être très bon en math mais mauvais en physique et vis versa…)

      Si tu est homogène , tant mieux. Ne pense pas que tu est une extra-terrestre ou je ne sait quoi , dit-toi simplement que tu est différente et que ce n’est pas plus mal.

      • A. Zebrounet dit :

        « En ce qui concerne les « sujets de prédilection » il ne faut pas confondre enfant Précoce et enfant Surdoué !  »
        NON !!!!!!!!!!!!!!!!!!!! C’est faux.
        Ce sont 2 termes qui renvoient à une seule réalité ! :-| « Enfant Intellectuellement Précoce » a été préféré par l’Education Nationale, lors du Rapport Delaubier (-> https://les-tribulations-dun-petit-zebre.com/2010/01/06/les-differents-rapports-officiels-francais/), car terme ts politiquement correct qui était moins connoté, moins « élitiste » selon certains que le mot surdoué.
        Mais un enfant « précoce » = un enfant surdoué, ni plus, ni moins :!:

        Vous devriez lire https://les-tribulations-dun-petit-zebre.com/2015/03/25/que-sais-je-les-enfants-intellectuellement-precoces/ :-?

  25. Mymy dit :

    Bonjours j’ai 13 ans et j’ai fait beaucoup de recherche sur internet avant d’écrire …. Enfaite moi j’ai fait un test sur le web et mon resultat est de 150 de QI alors depuis je recherche d’autre critères qui défini « surdoué » et je me trouve dedans dans la plupart … Sauf que je n’ai rien dit à mes parents … J’ai soupçonné des doutes d’être surdoué quand mes parents m’ont appris que j’aurai dû sauter le cp, ce1 et ce2 et qu’ils n’avaient pas accepté je n’ai pas pu connaître la raison…. L’an dernier on m’a diagnostiqué une dépression… Je voulais savoir si vous penser que je suis vraiment surdoué ? Si je dois en parler a mes parents ? Et si oui comment faire ? Je n’ose pas …

  26. Jalsaghar dit :

    Je viens de tomber par hasard sur cet article car nous sommes en plein tumulte avec notre fille aînée. Jusqu’à la fin de collège elle correspondait surtout au type I, c’était l’élève brillante à la limite du perfectionnisme, très appréciée des enseignants et profs. Elle a un saut de classe à son actif donc arrivée en seconde à tout juste 14 ans. 1er trimestre plutôt très bon mais sans se fouler, je précise qu’elle a quand même acquis dans le passé le goût de l’effort d’une part par ses activités, d’autre part car elle est passé par le privé entre la 6e et 4e qui chargeait pas mal les élèves.
    Le problème, c’est que ma fille s’est tjrs sentie décalée et a subi la harcèlement moral qui a débouché sur l’isolement au collège, très mal vécu car elle est naturellement extravertie. Elle se traînait une dépression sous-jacente qu’elle compensait par ses occupations extra-scolaires. Il y a 3 mois, grosse déception sentimentale, quelques railleries ou mauvaises remarques des copines de classe, elle a décompensé et depuis c’est la catastrophe, décrochage total, absentéisme :( elle s’est dit que puisque sa personnalité « bonne élève et gentille fille » ne l’a pas menée au bonheur, elle s’auto sabote, se fait passer pour celle qui n’en a plus rien à faire. C’est un rôle qu’elle se donne en fréquentant désormais un groupe d’ados un peu paumés, pas forcément pour les m^mes raisons qu’elle mais qui la maintiennent dans cette spirale auto-destructrice. C’est terrible de la voir comme ça, à faire croire qu’elle a choisi cette no-life mais je sais qu’au fond elle souffre terriblement de s’être mise en échec qui lui semble insurmontable. Nous avons démarré un suivi psy mais le chemin est long, il préfère ne pas la mettre sous anti-dépresseur à son âge et passer par la thérapie cognitive car il la sent réceptive. Je me sens tellement impuissante, ma fille est en pleine rébellion et rejette nous les parents car elle nous tient responsables de son malheur (à comprendre notre éducation qui a fait d’elle la « gentille et brillante » que les autres rejetaient).
    Avez-vous eu une expérience similaire ? J’ai tellement besoin de me raccrocher à un espoir qu’il s’agit juste d’un mauvais passage et qu’elle arrivera à repartir :oops:

    • Bridgette dit :

      Votre histoire Jalsaghar me fait penser à la mienne et j’éprouve en vous lisant de la tristesse et le désir de vous aider. « Brillante et gentille », c’est ce qu’on pouvait dire aussi de ma fille ainée. Nous (ses parents) avions conscience de son intelligence, mais absolument pas du décalage avec ses pairs qui engendrait chez elle un sentiment d’étrangeté douloureux. Nous ignorions tout de la douance et des problématiques s’y rattachant. Elle a « déraillé » en seconde : des crises de panique l’obligeaient à sortir des cours. Elle m’a alors expliqué que des pensées intrusives horribles la torturaient à tous instants. C’est comme si le ciel m’était tombé sur la tête : j’étais glacée de peur et de souffrance pour elle. Notre généraliste a évoqué la schizophrénie. Un psychiatre a finalement écarté cette hypothèse et diagnostiqué des tocs, puis prescrit un traitement médicamenteux. Parallèlement, une psychologue l’a accompagnée pendant plusieurs mois. Elle revenait de chaque séance avec des questions sur ce qui s’était passé dans son enfance, comment nous avions géré telle ou telle situation. Ses souvenirs étaient presque tous négatifs, et nos relations sont devenues très tendues et conflictuelles. Mais petit à petit, elle a pu « apprivoiser » ses troubles anxieux et reprendre les cours. En apparence, les choses s’étaient normalisées. Néanmoins les presque 10 années qui ont suivi ont été assez chaotiques, elle a dû consulter différents psychiatres car dans les périodes de stress, ses tocs lui faisaient la vie dure. AUCUN de ces spécialistes de santé mentale n’a décelé sa douance ! Il a fallu un burn-out et la rencontre avec une généraliste elle-même surdouée pour qu’enfin cette piste soit explorée. Le test psychométrique a révélé un THQI. Cette découverte n’a rien changé… et TOUT changé. Son regard sur elle, sur nous, sur la vie. Il l’a autorisée à se faire confiance (un peu, c’est un long travail) pour aller de l’avant. Sa fragilité psychologique est toujours là, mais elle n’a plus le pouvoir de destruction que notre ignorance lui conférait.
      Vous ne dites rien Jalsaghar d’un éventuel test de QI… Votre fille en a-t-elle passé un ? C’est un préalable essentiel (au sens littéral : savoir qui l’on est). Ce n’est pas seulement un score, c’est la mise au jour d’un fonctionnement particulier avec ses forces et ses faiblesses. Si elle est concernée par la douance, ce qui me parait assez probable, s’informer le plus possible sur le sujet vous aidera. Pour comprendre, pour relativiser, pour se déculpabiliser. Ce site est idéal pour cela, il regorge d’infos sérieuses et de témoignages constructifs. Et puis, s’entourer des bonnes personnes ressources : une psychothérapie ne sera véritablement efficace que si la douance est prise en compte. Je vous souhaite bon courage, la route est escarpée, mais elle n’est pas sans issue. :)

      • Jalsaghar dit :

        Merci pour votre réponse Bridgette. Je suis heureuse pour vous d’apprendre que votre fille a trouvé un peu d’apaisement depuis.
        Pour les tests de QI, je sais que la psychologue scolaire lui a fait passer le WPPSI en dernière année de maternelle car ma fille allait mal à cause de son décalage avec d’autres enfants. Malheureusement elle s’en était servie juste comme d’un outil diagnostique, je n’ai pas eu de résultat chiffré et encore moins détaillé. La psy m’avait juste dit que le résultat du test confirmait le fait que ma fille était très en décalage au niveau des apprentissages, du fonctionnement, en maturité et qu’effectivement elle était en souffrance car elle ne partageait pas grand chose avec les autres enfants. A ce moment-là elle ne m’apprenait rien de nouveau, je le constatais au quotidien et j’ai donc fait l’erreur de ne pas lui demander au moins le chiffre. Je me suis adressée à l’école où j’ai encore mon dernier enfant scolarisé mais leurs archives ne remontent qu’à 2007 alors que ma fille a été testée en 2006. Je n’ai pas fait faire de tests par la suite mais le psy (hospitalier) qui a démarré le suivi de ma fille envisage de lui faire passer le WISC4 avec d’autres bilans en vue d’une éventuelle hospitalisation, elle va très mal et se met vraiment en danger avec une tendance à l’autodestruction mais qui ne touche pas directement son intégrité physique, plutôt sa personnalité, son potentiel, ses objectifs. Ce n’est plus la même personne, elle est devenue très négative, cynique, plus aucune émotion ne filtre, elle est comme un mur :( C’est une énorme souffrance pour nous tous de la voir au fond du trou, à refuser toute aide, elle qui était tellement rayonnante de douceur, de volonté, d’empathie. J’en suis à me demander comment peut-on arriver à se relever de là sans y laisser quelques plumes.

        • Bridgette dit :

          C’est une bonne chose que votre fille passe le test… J’espère que les conditions de passation et de restitution seront optimales et que vous serez associés à l’accompagnement qui sera mis en place suite à ce bilan. Je ne sais pas du tout comment cela se passe en milieu hospitalier… peut-être que d’autres parents ici ont des expériences qui pourraient vous éclairer à ce sujet.
          Cette crise est évidemment très douloureuse pour vous tous, parents et enfants, mais elle était sans doute inévitable. J’ai envie de vous dire de faire confiance à votre fille, et ce malgré son comportement actuel et toutes les blessures qu’elle vous inflige (et s’inflige à elle-même) en ce moment. Nos enfants ont des vulnérabilités spécifiques mais ils ont aussi des ressources extraordinaires, et les valeurs que nous leur avons transmises, même s’ils nous les jettent à la figure quand ils vont mal, constituent des garde-fous puissants. C’est en tous cas ce que j’ai observé chez ma fille aînée, qui malgré ses troubles handicapants, a réussi des concours très sélectifs et fait preuve d’une grande force de travail pour avancer dans son projet professionnel. Elle est tombée … et puis elle s’est relevée, et nous avec elle. C’est ce que je vous souhaite…
          :)

  27. Isabelle dit :

    ma fille et moi sommes incontestablement du type 3 !!!!
    merci pour ce billet

  28. des dit :

    Si mon ainé 8 ans1/2 est precoce ( redultat du test demain), il est type 2 provocateur.
    A la maison et depuis cette année ( ce2) a l ecole.

  29. des dit :

    C confirmé, il est bien precoce.
    Il est en ce2, on va essayer de le faire passer en cm2 a la rentrer de septembre.
    Je veux bien des conseils

    • Joelle dit :

      Il a l’intime conviction qu’il est dans le vrai sans etre pour autant compris par les autres enfants ni par le prof lui meme souvent. Et c’est ca qu’il le frustre: il extériorise cette frustration parce qu’il se rend compte que personne ne pense comme lui alors que tout est si limpide pour lui. Le filtre qu’on met en place en grandissant pour dissoudre un peu ce sentiment exacerbé : il ne l’a pas encore . Il se mettra en place parce que c’est une nécessaire adaptation .

  30. Emma dit :

    Bonjour, je m’adresse à vous car je cherche une école pour les enfants précoces sur Marseille. C’est pour mon fils de 7 ans. Il est au CE1 dans une ecole publique et l’école n’a pas une programme adaptée. Merci d’avance pour votre réponse.

  31. CarolineW dit :

    Bonjour Emma,

    Vous pouvez chercher par là:
    http://www.cpegm.fr/-ecolepriveepourenfantprecoceamarseillepaca-135.html
    Vous pouvez également vous rapprocher de l’association Zebra.
    Sinon pour plus tard, vous connaissez certainement le lycée Thiers, pas labélisé « Surdoué » mais avec un très bon niveau. Peut-être ont-ils des annexes pour primaire et collège.

  32. Emma dit :

    Merci infiniment. Je vous tiens au courant pour la suite.

  33. Jessy dit :

    Bonsoir,
    Mon fils de 7ans qui est en CP, a du mal à apprendre, à lire, il refuse de grandir et dés qu’il me voit il fait le bébé. il refuse de travailler avec moi, c tout de suite des crises, du coup je ne lui fais plus c devoirs et il accepte mieux les cours particuliers :(
    Il passe son tps à casser ses voitures pour voir le moteur comment il fonctionne et comment les files électriques sont branchés…On l’appelle le bricoleur tjs avec ses vis et ses tournes vis.
    il ne veut pratiquer aucun sport aucune activité physique. Il adore les ateliers de bricolages et les pts stages en robotique.
    En classe il est dans son pt coin il ne dérange personne, il est dans sa bulle dans son monde, tjs à inventer des histoires à dormir debout. A la cour de récréation il refuse de jouer avec ses camarades de classe, il ne joue qu’avec sa sœur qui a 8ans et son cousin de 9ans…
    L’assistance pédagogique de l’école m’a envoyé chez un pédopsychiatre pour lui faire un teste de WISK4, cette dernière refuse de lui en faire, me disant qu’il n’est pas prêt et qu’on va lui coller une étiquette à vie si le teste s’avère pas bon…
    Je sais plus quoi faire, ni comment procéder…
    Qu’en pensez vous??
    Merci d’avance

  34. x dit :

    Franchement : votre article est sympa… mais j’ai été largué dès le début ! Vous n’indiquez pas les définitions des acronymes… Et là franchement, je viens d’apprendre que (bizarrement comme moi) ma fille est « enfant précoce » : ce qui signifie pour moi qu’elle va avoir les mêmes problèmes que j’ai eus… Je cherchais des réponses, pas des questions. Très sincèrement : dans votre article, ça commence dès le début : c’est quoi EIP ????????????? et par la suite HQI, et autres… vous vous adressez sûrement à des gens déjà informés… dommage car on tombe sur votre article très bien référencé quand on veut savoir ce que signifie aujourd’hui être « enfant précoce »… et au final, on est un peu déçu.

    • A. Zebrounet dit :

      J’entends ce que vous dites, cependant il ne s’agit pas que d’un article isolé… mais d’un blog entier, existant depuis 2009 & TRÈS fourni ;)
      Aussi, toutes les explications, les définitions, les éclaircissements nécessaires st à votre disposition, au fil des pages de ce blog :up:

      Par exemple, sur la page d’accueil, qui présente volontairement de quoi il est question : https://les-tribulations-dun-petit-zebre.com/ :)

  35. Stephanie L dit :

    Bonjour,
    Merci pour votre article très très interessant. Mon petit garçon de 6 ans et demi est classe II. Très difficile à vivre au quotidien. Il a « raté » son test juste parce qu’il
    en avait marre de travailler et la psy n’a rien vu…
    On recommencera dans quelques mois avec une autre personne un peu plus
    fiable, on espère.

  36. Christine A dit :

    Bonjour,
    Je viens de lire tous les commentaires et je ne sais plus quoi faire.
    Ma fille à 5 ans et demi. Depuis qu’elle a commencé la maternelle les maîtresses me disent que ma fille n’est pas comme les autres. Elle est dans sa bulle par moment, elle a que très peu d’amis et surtout elle ne travaille qu’avec l’ATSEM. Elle comprend tout ce qu’on lui demande mais il faut toujours la « poussée ». Elle fait un blocage pour écrire mais par contre apprend à lire des mots seules. C’est le grand paradoxe ! Elle a un grand manque de confiance en elle.
    Certains la dise précoce et d’autres on parlé d’autisme.
    Je ne sais plus quoi faire et je voudrai savoir si certains de vous ont vécus la même chose.

  37. July dit :

    Bonsoir,
    Je viens de lire tout vos messages et je me pose la question de la précocité depuis longtemps sur mon fils de 7ans ,
    Depuis son entree a la maternelle jusqu’à aujourd’hui les nombreuses maîtresses nous ont convoqué pour nous faire part de l hyperactivite de mon fils en PS puis en CP qu il serait peut être « dys » apres un bilan orthophoniste RAS mais j ai rdv bientôt chez une psy pour une éventuelles précocité ,
    Mon fils a Tjrs tres bien parlé , a l école les maîtresse nous disaient qu il avait du mal à se faire des amis , il n aime pas l école encore moins les devoirs , ne respecte pas la vie scolaire , pas très apprécié des adultes , ne respecte pas les règles de la maison a Tjrs son mot à dire , tres anxieux , il est moyen a l école mais sa maîtresse nous dit qu il pourrait être le leader de la classe par son intelligence , il est très pertinent peu passer pour insolent des fois , les autres nous disent qu il n est que dans le « plaisir » ne fait que ce qu il aime , il n est pas tres courageux pour lire seul ou jouer seul … En faite je me pose tellement de questions depuis qu il est né et encore plus depuis l Ecole avec ces convocations permanente !!! Merci de me dire si éventuellement il pourrait être precoce ? Par ses signes , même si je sais que seul un bilan peut le confirmer

  38. ShemJawn dit :

    Je suis plutôt type II…
    Je me reconnais pas mal dans la personnalité du fils de July, mis à part l’hyperactivité.

    • July dit :

      Mon fils pour moi n est pas hyperactif il est vif certe mais pas hyperactif , c est en fait depuis son entré à l école en PS à l’époque que sa maîtresse nous a dit qu il serait sûrement hyperactif , mais je n ai jamais cru en ce diagnostique, car si j avais du écouter tous les diagnostiques de toute ses maîtresses depuis qu il est scolarisé ( hyperactif , dislexique dysorthographique puis precoce …) il est different c est certain mais je ne sais pas si c est réellement de la précocité , d ou le rdv chez l ortho ( j aurai dû patienter 18 mois d attente mais l ortho apres m avoir écouter m a donner un rdv en 1 mois ) apres le bilan RAS pour les « dys » mais apres l entretient d avec mon fils de 7 ans elle nous a dit qu il était que dans le plaisir !!! Mais nous a conseiller une psy cliniticienne psychothérapeute afin de faire tester mon fils , après avoir lu et m etre renseigner sur la précocité quelques trucs me font penser à mon fils mais pas tout !!!
      Il n a jamais appris à lire seul , n aime pas lire , n est pas très courageux , c est la crise pour faire les devoirs tous les jours !!! Mais il est different je le sais au fond de moi !!! Il a interpellé toute les maîtresses classe apres classe
      pas Tjrs dans le bon sens ( c était souvent l éducation qui nous était reproché !!! Ou l enfant roi car seul enfant …) mais on a décider d aller au bout cette fois pour la maîtresse de l an prochain lol ,
      Je ne sais pas si c est de l ennui le fait qu il n aime pas l
      Ecole , mais il est pourtant piétinant et sa maîtresse de cE1 nous dit qu il devrait être bien meilleur que ce qu il transcrit !!! Aisance a l oral ( il a parlé tôt et tres bien ) mais l écris une torture ( pour lui et les lettres lol)
      Enfin je suis à bout de solution pour l aider au mieux d ou le rdv psy car si il était precoce je m aperçoit que le
      Fonctionnement est different

  39. Jawn dit :

    Pour ma part je pense plutôt être Type I, mais sans le côté « conformiste »… ce qui me pose pas mal de problèmes :-P !

  40. Martin dit :

    Bonjour,

    J’ai besoin de conseils !!!
    Mon fils est clairement de type 1, il fini sa grande section de maternelle et il lit très fluidement, il écrit (sans qu’on le lui ai appris d’ailleur) il sait résoudre des additions du type 147+372+589, et il à compris le principe des multiplications, bref il est impressionant.

    La semaine dernière on a été à l’inscription à l’école primaire et il a impressionné la directrice qui nous dit que si l’année prochaine ils ont une classe de CP-CE1 ça serait super pour lui (je suis assez d’accord) mais que si il n’y a pas de classe mélangée il devrait commencer par le CP car il y a d’autres choses à apprendre en CP (comme l’utilisation d’un cahier de texte…). Moi j’ai peur qu’il s’ennuie si il doit passer des mois à apprendre l’alphabet comme les autres alors qu’il le connaissait déjà en petite section de maternelle.

    Quelle est la meilleure solution pour lui ?

    Merci de m’aider

    Martin

    • Konrad dit :

      Je vous comprends.
      Dans la même situation il y a 4 ans, notre prems a finalement sauté le CP à la Toussaint. Sur demande de son institutrice qui ne savait qu’en faire. Mais ça veut dire qu’aujourd’hui il finit son CM2 alors qu’il est né au mois de novembre. Il sera donc en 6ieme en septembre à 9 ans 1/2…
      Difficile de faire une option sport, comment va-t-il s’acclimater à ce nouvel environnement, il est un décalé dans ses goûts. Brrrr ça m’effraie déjà.
      Pour Deuz, il lisait des romans en milieu de GS, et a bcp moins de cotés « brillants » qu’avait son grand frère (moins de fulgurance, de connaissances encyclopédiques), mais sur les capacités purement scolaires, il aurait pu faire les exercices de fin de cp avant même de le commencer (je sais j’ai essayé à la maison en maths et en français). on a choisit de le laisser « moisir » une année en CP… On verra si plus tard, c’est plus ou moins facile pour lui. Bref… Ce ne sont pas des situations faciles à gérer et il n’y a que vous et vous seuls qui pouvez choisir la meilleure solution pour votre enfant (avec sa maman).
      Nous il nous reste TROIZ…Pfff… on n’en est pas là encore…

      J’ai lu récemment que certaines familles aux USA retardait l’entrée de leur enfant à l’école pour les mettre en situation de supériorité. les enfants se trouvant ainsi plus à l’aise dès le départ restait meilleur tout au long de leur scolarité…

      • Martin dit :

        donc soit il se fait chier toute sa scolarité, soit il est ridicule quand ses camarades de classe seront des ado et lui tjrs un enfant… et ya des gens qui osent me dire que c’est génial d’avoir un enfant surdoué, enfin je dis pas que c’est mal, je suis fier de lui, mais c’est problématique et l’éducation nationale n’est pas adaptée à ces élèves qui demandent une attention particulière.

  41. evangelyne dit :

    je crois que je suis un eleve autonome mais le seul hic c’est que je n’ai aucune confiance en moi du point de vue de mes resultats scolaires
    Par exemple en ce moment c’est la derniere ligne droite pour l’année prochaine, donc les examens en realite et depuis le debut, j’en suis à 5 examens, et je n’arrive pas à me dire que tout va bien aller et que j’ai bien reussi
    Ma question est donc la suivante: est -il possible que je fasse parti de deux categories ? si non, existe-t-il une autre catégorie?
    ps: je n’ai absolument pas relu l’orthographe et la ponctuation, mea culpa

    • CarolineW dit :

      Bonjour,

      Pourquoi ce désir absolu d’entrer dans une case ou une sous-case ?
      Vous êtes Vous : avec votre ADN et votre histoire. Tout est là .

  42. evangelyne dit :

    oh en me relisant je vois quej’ai oublié de dire bonjour^^
    alors Bonjour!!!

  43. Barth dit :

    Je suis plutôt type II meme si les trois derniere phrase ne reflète pas trop mon caractère , car j’ai appris à me maîtriser dans quelque rare situation qui sont énoncé avec une éducation bien encadré et des vidéos de relaxation et confiance en soit , donc j’aimerai savoir si je suis vraiment un enfant precoce

  44. Lulu dit :

    Bonjour!
    Je viens d’être détectée il y a quelques jours. La psy qui m’a fait passée le test m’a conseillée de faire quelques recherches sur les enfants à Haut potentiel. Car je ne m’étais jamais vraiment penchée sur ça. Ma grande soeur avait été détecté plusieurs mois avant et étant très…. Conserviste? dans ses positions on ne lui a rien dit car elle nous répète qu’elle sur-douée (etc). Du coup je cherche un peu sans trop m’y risquer. Mais je suis étonnée par toutes les études qu’il y a. Effectivement on peut essayer de « classer » les sur-doués ou haut potentiels pour que les chercheurs puissent y voir plus clair, si ils le veulent. Même si certaines études aident à mieux « comprendre » ou étonne parce qu’on se sent décrit de la tête au pied, c’est un sentiment étrange. Parfois ça aide mais d’autres fois ça ne fait que nous perdre.
    Enfin comment expliquer ça? Disons que ces 6 profils m’ont permis d’y voir plus clair car je suis plutôt celle du type III pour autant c’est toujours moi qui fait avancer la classe. Et je ne suis pas spécialement à l’aise dans les relations avec les autres.
    Mais d’autres fois essayer d’absolument trouver, classer est impossible car nous sommes tous différents. Voilà ce qui m’étonne dans toutes ces études et pourtant je suis bien de ceux qui se posent depuis leur plus jeune âge des questions existentielles! LOL
    Dans tous les cas merci pour cet article, qui permet à des personnes comme moi de comprendre un peu ce monde dans lequel les gens vont essayer de nous classer.
    Bonne journée!

    • Sarah dit :

      Je suis entièrement d’accord avec toi lulu, j’ai été détectée il y a un peu moins d’un mois et est fait le choix de ne pas connaître mon qi. Je pense que c’est mieux et que celà évite de se comparer aux autres ou encore une fois d’être classé. Après tout ce n’est qu’un chiffre :roll: Savoir que j’étais surdouée m’a beaucoup aider à me comprendre. Moi aussi j’ai lu de nombreux témoignages. c’est troublant de se sentir si incompris et de se voir pourtant si bien décris. Moi aussi je suis plutôt type trois même si au fond j’ai une tendance deux refoulée :-D

      • Sarah dit :

        Désolé pour les petites fautes d’inattention éparpillées par ci par là. Je vous souhaite d’être heureux comme vous êtes. Essayez de ne pas trop vous caser dans des normes (après tout qu’est ce que la normalité ?) vivez librement mes amis 8)

  45. yan dit :

    Moi je suis type 4 avec résultat moyen et sinon tout du type 5 c est impressionnant !

  46. Delphine dit :

    Bonjour,
    En lisant les commentaires, j’ai remarqué le nombre important de témoignages fustigeant le fait de mettre des gens dans des boites…. Leur démarche est certainement louable, mais je pense qu’elle tronque une partie de la réalité. :-?
    Je m’explique : de par mon expérience personnelle, pour refuser d’être mis dans une boite, il faut déjà bien se connaitre soi-même et donc s’accepter. L’acceptation de soi passe aussi par l’acceptation de ce que l’on est par la société, c.a.d comprendre quelle est sa place, et pour se sentir intégré à cette société, il faut bien « choisir » une boite (ou en redéfinir une nouvelle ou plusieurs personnes pourront se retrouver et trouver la réassurance mutuelle si aucune ne convient :-D ).
    A mon sens, les types mentionnées plus haut ne sont à prendre que comme des tuteurs qui vont aider à grandir et à s’épanouir (d’ailleurs, il est bien dit que l’on pouvait changer de cases suivant les moments de la vie), et en aucun cas comme des boites qui vont enfermer les personnalités.
    Donc pour finir, bravo à ceux qui ont réussi à trouver leur tuteurs, et bravo à ceux qui n’en n’ont plus besoin ! :)

  47. Mlle C dit :

    Bonjour,
    Ma fille âgée de 4 ans serait peut-être douée selon sa psychologue. À lire votre article, je crois qu’elle est du type « provocatrice ».. auriez-vous des lectures à me suggérer pour m’aider dans son éducation? Je crains pour son avenir…

  48. sabine dit :

    Bonjour,
    Mon zèbre a 6ans et vient de rentrer en première primaire et il est du type 2.
    Comme je le craignais, il perturbe la classe, monte sur les bancs, défi ses instits ( il en a 2).
    Bref déjà 4 punitiins et 2 notes + visite chez la directrice.
    Il dessine sur ses feuilles et bacle son travaille.
    Ses devoirs n en parlons pas. C est la cata et je pense qu’il a déjà une étiquette collée.
    Avez un enfant avec les mêmes soucis?
    J aimerais avoir vos conseils.

    Sabine

  49. Korilana dit :

    Je suis un type VI, dans mes premières années, de la maternelle au CE2, j’éatit un type I, mais le divorce de mes parents, un accident, la perte de mes amies que je jugeaient trop immatures, je suis devenue un type IV, je refusait de travailler ou de faire quoi que ce soit (je l’ai vécu un peu comme on vit un burn out et je pense encre qu’on peu qualifier ça comme ça) j’en ai vulu au monde entier et plus particulièrement à mes parents qui ne réagisaient pas du tout, d’autant plus qu’on m’avait diagnostiqué dyslexique. Je trouvais l’rthophoniste totalement débille et m’en voulais d’avoir focé mes difficultés au test. Dans mon année de CM1 je me suis faite de nouvelles amies, je suis devenue un type III je cachait tout, mentait constament, m’inventait une vie, mais à l’interieur je restait un type IV qui faisait néanmoins de son mieu pour faire plaisir à ses parent et ne plus perdre des heures chez l’orthophoniste.
    En entrant en 6eme je suis redevenue un type I, j’e me trouvais toujours insufisante, pas terrible… Cette manie de toujours vouloir être mieux ma fait entamé une lente dé-construction de moi même, je me suis mise à me détester, à me trouver nule, moche, débille, ridicule, trop rêveuse. Je me suis petit à petit « divisé en deux ». Je n’aimait pas une partie de moi et me persuadais que je n’était pas vraiment ça. Je ne disait rien à personne, faisait semblant, je mentait à tout le monde et leur en voulait de ne rien voir, de ne pas me sauver du calvaire que je vivait, je me trouver d’autant plus ridicule, car je me dissait  » mais quel calvaire tu vit, il n’y a rien arrête de t’inventer une vie, arrête de voyuloire être plainte ! ». La partie « méchante » cntinuait de m’insulter tandi que j’obtenait d’exélents résultats scolaires et que la partie « vicime » tombais en dépression avait l’impression d’être enfermé, étouffé, caché.Le soir, enfermé dans ma chambre, seule, comme toujours, je faisait des recherches sur les troubles psycolgiques quand j’avais un peu de répis de la part de mon « autre moi ». Je suis bien entendu fini par tombé sur la page Wikipédia de la schizophrénie et de la personnalitémultiple. Persuader que si je parlait , on m’enfermerait, me donnerait des médicaments qui, je l’avaient lu, réduisaient l’espérence de vie. Je me suis encore plus renfermé sur moi même, chaques soir, je laisait à la porte de ma chambre l’insuportable harceleuse qu’était l’autre, et fondait en larmes partie pour pleurer pendant plusieurs heures recreucvillé sur mon lit. Je sortait par la fenêtre de ma chambre, et la croyance que l’autre m’attendais à la porte me permettait d’être tranquille pour quelques heures. Je ne dormais que très peu et très mal, je ne révait plus et compensait ma vie pas terribles par de longues heures d’écriture de romans inombrables. Mais ça n’allais pas du tout. Je dessinait aussi énormément, toujours la même chose, une fille qui pleurait, seule dans le noir et le brouillard avec sa lenterne à huile, éfrayé enfermé qui appelle à l’aide en esspérant que personne ne l’entende. Du coup j’ai aussi commenceré à croire que j’étais bipolaire.
    Un jour , allors que je pleurait depuis de heures je vu une fille dans ma chambre, elle pleurait elle aussi, elle avait l’ai déssepéré. Au fond je savais que c’était mon reflet mais je m’en moquais, je voulait aider cette fille, la protéger de cette fille qui l’attendait elle aussi à la porte de sa chambre. C’était mon double dans une dimension parallèlle. Elle voulais m’

    • Korilana dit :

      (suite)Elle voulait m’aider elle aussi, et petit à petit j’ai fait disparaitre la source de tout mes problèmes. Je restait très angoisé par le collège et j’avais très peur de l’échec et continuait de pleurer tout les soirs. Un jour ma mère est entrée dans ma chambre et m’a trouvé en larmes. Après une séries d’évenements elle m’a emmené chez la psycologue et j’ai commencer à reprendre confience en moi.
      Aujourd’hui je suis un type VI qui s’épanouit au lycée mais qui n’a jamais dit toute la vérité à quelqu’un comme je vien de le faire.
      Deésolé pour ce long roman, en cmencant je n’avait pas l’intention d’écrire tut ca, mais une fois lancé j’ai choisi de continuer et de ne pas publier. C’est une érreur si j’ai publié, mais en fin de compte je sais pas encore si je regerte vraiment.
      En espérant que mon parcour aidera quelqu’un…

      PS: désolé pour les fautes, je n’ai pas relu ;)

  50. lxlxxlxlxl dit :

    J’ai été un savant mélange du type 2 et 4 … avec une moyenne de 150 au Mensa et au WAIS , j’espère que ma petite sera du type 1 , si jamais elle est comme son papa :-?



:) :-D 8) :oops: :( :-o LOL :-| :-x :-P :-? :roll: :smile: more »

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