[MÉMOIRE] Hauts potentiels & Troubles Spécifiques des Apprentissages : étude de la présence de TSA auprès d’une population de collégiens HP

Je partage ce matin un mémoire de fin d'études d'orthophoniste portant sur les enfants surdoués & les troubles de l'apprentissage (souvent connus sous le nom de troubles Dys)

 

Ce mémoire est signé de Caroline Mann Kiefer, & intitulé : "Hauts potentiels & Troubles Spécifiques des Apprentissages : étude de la présence de TSA auprès d’une population de collégiens HP"

 

Préparé à l'université de Strasbourg, il est basé sur des études récentes de chercheurs & de neurologues

 

... & les Tribulations y sont citées

 

Je pense que ce passionnant mémoire (de 141 pages) pourra intéresser de nombreux lecteurs du blog :

 

Mémoire de fin d'études de Caroline Mann Kiefer
(cliquez pour ouvrir, au format PDF)

 

 

Et par ici, mon lexique pour celles & ceux qui ne seraient pas familiarisés avec cette montagne de sigles qui peuplent le monde de la douance

 

 

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2 commentaires à “[MÉMOIRE] Hauts potentiels & Troubles Spécifiques des Apprentissages : étude de la présence de TSA auprès d’une population de collégiens HP”

1. Bonjour dit :

   20 décembre 2015 à 14:00

   Bonjour
   Je suis heureux de voir que des notions comme cela apparaissent progressivement dans les recherches sur le HPI .
   1- Abandon de la notion d’un QIT> 130 dans la définition du HPI , car réductrice et éliminant de fait les HPI fortement hétérogènes , qui sont manifestement ceux qui nécessitent un dépistage précoce pour pouvoir être aidés en temps utile , c’est à dire avant échec scolaire (Fabrice BAK parle d’un taux de 80 à 90% des HPI vus en consultation présentant un QI fortement hétérogène).
   Or qui dit forte hétérogénéité du QI, dit QI in interprétable , voir si calculé par estrapolation 100 , en effet c’est le différentiel entre deux indices qui est pertinent et non le niveau absolu.
   Or, il suffit d’une chute de 30 points pour se retrouver à deux écarts types entre deux indices et être potentiellement dans une situation de DYS, ce qui s’avère facile si l’on a l’ICV entre 130 et 150 et les autres indices entre 100 et 110.
   5- je suis content de voir une jeune orthophoniste reprendre l’idée novatrice que les résultats d’un test ( orthophonique en l’occurrence ), doivent être interprétés différemment selon la population observée :
   Un résultat normal dans la population « normale », DOIT être considéré comme « chuté »dans la population »HPI »!
   il s’agit d’une modification de paradigme tout à fait significative dont HABIT et RÉVOL, ont souligné depuis longtemps contre vents et marées la pertinence.
   Espérons que le corps des psychologues arrivera progressivement à en percevoir toute l’importance!!

   Je me suis fait jeté il y a 2 ans pour avoir déjà souligné ces éléments clés sur un site de surdoués avec un ensemble d’orthophoniste et de psychologues , qui m’ont raillé sur ces points de détail, il est vrai que le prémices de ce site est que l’on ne peut être surdoués sans un QIT>130……
   Il y a encore beaucoup de chemin à faire même voir surtout en France.
   Bon weekend

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   • A. Zebrounet dit :

     20 décembre 2015 à 14:48

     C’est le Pr Michel Habib (& non Habit)

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